Après avoir sauvé Adèle, Charles est parti. Normalement, il ne voulait sauver personne, mais cette fois-ci, il l’avait sauvée juste parce qu’il croyait qu’Adèle n’était pas une mauvaise personne et qu’elle n’avait pas de mauvaises intentions. Comme elle l’avait emmené quand César voulait casser ses jambes, il pouvait dire que c’était une fille au bon cœur. Charles est allé trouver un autre restaurant pour reprendre le petit-déjeuner.En même temps, dans la Rue d’Asclépios de Centre-Fleuve.Sylvain a emmené Alex et a déjà rendu visite à des dizaines de vieux médecins chinois, mais ils ont tous secoué la tête, exprimant qu’ils ne pouvaient rien faire contre la maladie d’Alex.« Papa, que dois-je faire ? Je ne suis pas encore marié. Je ne me suis pas assez amusé et je veux toujours coucher avec plus de femmes. » Alex voulait vraiment pleurer. Hier soir, la jolie vedette l’avait aidé toute la nuit, mais il ne pouvait rien faire.Sylvain était également dans un dilemme. Il avait vu tant de
Charles n’avait pas envie de les rejoindre. Il préférait laisser la famille Cyr souffrir un peu d’abord, puis l’aider après la conférence de médecine chinoise. Donc il est retourné dans sa chambre.Christine était assise au bureau, tenant un livre et le regardant sérieusement.« Chérie, qu’est-ce que tu lis ? »Christine a posé le livre et a répondu avec un sourire : « Je m’ennuyais à la maison, je ne savais pas quoi faire. Alors je viens d’acheter quelques livres. » Charles a hoché la tête avec appréciation : « Eh bien, c’est très bien. » Charles était très satisfait que Christine ne s’est abandonnée à la suite des affaires de la famille Cyr et qu’elle n’a pas oublié de se perfectionner jusqu’à présent.À ce moment-là, son téléphone a sonné. C’était un numéro inconnu. Il a répondu au téléphone.« Allô, qui est à l’appareil ? »« C’est moi, Aurélie. » En entendant la voix de Aurélie, Charles n’a pas pu s’empêcher de froncer les sourcils et a demandé : « Alors ? Qu’est-ce qu’il y a ?
Cette petite secrétaire était quad même très gentille, car elle n’a pas embarrassé Charles. À son avis, Charles était simplement curieux et voulait visiter le bureau du vice-président.« Madame Herve m’a vraiment demandé de venir ici. Si tu n’y crois pas, tu peux toujours lui demander. Je pars, mais si elle te blâme, peux-tu prendre la responsabilité ? »Camille Bazin a vu que Charles ne semblait pas mentir.Regardant Charles avec méfiance, elle a dit : « Attends un instant, je vais confirmer. »Elle a marché sur ses talons hauts et s’est dirigée vers le bureau, puis elle a frappé à la porte et a demandé : « Madame Herve, il y a un vendeur nommé Charles. C’est vous qui lui avez demandé de venir ? »La voix d’Aurélie est venue du bureau : « Laisse-le entrer. »Ce n’était qu’alors que Camille s’est retournée, s’est dirigée vers Charles et a dit : « Bon, c’est confirmé. Vas-y. »Ce n’était qu’alors que Charles s’est dirigé vers le bureau et a directement ouvert la porte. Aurélie était la
« Madame Dublanc. » Sur le chemin, les employés de l’entreprise l’ont saluée avec respect.Susie les a ignorés. Elle est arrivée à la porte du bureau d’Aurélie et a légèrement frappé à la porte.« Qui est-ce ? » Aurélie était en train de regarder Charles quand elle a entendu frapper à la porte. Elle s’est retournée involontairement et a demandé : « N’as-tu pas vu que je suis occupée ? »« Frère Ducasse, c’est moi, Susie Dublanc. » La voix de Susie venait de l’extérieur de la porte. Aurélie a été abasourdie et s’est demandé : « Elle l’a appelé Frère Ducasse ? » Charles a également froncé les sourcils et s’est demandé : « Susie est venue ? » Après qu’Aurélie a été légèrement surprise, elle a jeté un coup d’œil à Charles qui était assis sur le canapé. Puis elle est allée ouvrir la porte elle-même. Elle a salué Susie en souriant : « Madame la présidente, vous êtes là. Entrez, s’il vous plaît. »Susie est entrée dans le bureau. Elle s’est approchée de Charles en marchant sur des talons h
Charles s’est frotté le nez et a demandé : « Pourquoi me regardes-tu de cette façon ? » « Qui êtes-vous exactement ? » Aurélie a demandé encore une fois.L’identité exposée de Charles aujourd’hui avait dépassé son imagination et avait subvertissé ses perceptions. Personne n’aurait pensé qu’une homme qui était prêt à être un gendre matrilocal dans la famille Cyr était en fait le vrai patron de Nouvelle Ère. Non seulement il avait investi des milliards d’euros pour acheter la Cité de Nouvelle Ère, mais maintenant il allait investir cent millions pour la disposition afin de créer un empire commercial. Combien d’argent avait-il ? Aurélie ne pouvait pas l’imaginer.Charles a souri légèrement et a dit : « Qui suis-je ? Je suis Charles, le gendre matrilocal de la famille Cyr et le mari de Christine. » « Non... » Aurélie a rétorqué : « Vous êtes le Dragon Noir. Vous êtes le Dragon Noir, Charles. » Charles a redressé : « Le Dragon Noir est mort. Comment puis-je être le Dragon Noir ? Ah, y a
À travers les âges, de nombreuses personnes avaient sacrifié leur vie pour l’argent. Mais maintenant il a donné dix milliards d’euros à Charles et il n’en voulait pas.« Est-ce vraiment un ermite hors du monde, indifférent à l’honneur et à la richesse ? » César a murmuré doucement. Après avoir quitté Nouvelle Ère, Charles n’est pas rentré à la maison, mais il est allé à l’hôpital militaire pour voir Pascal. César est également retourné chez la famille Dumont.Dans une grande villa à Centre-Fleuve.« Mademoiselle, il les a refusés. »« Quoi, refusés ? » Adèle avait l’air surprise et a dit à voix haute : « Dix milliards d’euros, il les a refusés ? » « Oui, ça me rend perplexe. C’est dix milliards d’euros. Il travaille dans le groupe de Nouvelle Ère. Son salaire de base n’est que de cinq mille, avec la commission de performance, il ne peut obtenir que vingt mille euros par mois au plus. D’ailleurs, la famille Cyr est en faillite maintenant. Il devrait avoir besoin de cet argent, pourqu
Charles est rentré à le maison. Antoine et les autres sont finalement partis. Christine s’est changée d’une robe qui allait parfaitement à sa ligne et s’est maquillée légèrement. Sa coiffure a également été soigneusement arrangée et ses longs cheveux raides noirs ont été transformés en boucles ondulées. Elle portait une robe blanche avec un col en V et un collier étincelant autour du cou. Tout cela lui allait parfaitement. Elle était charmante.Charles a regardé Christine et n’a pas pu s’empêcher de demander : « Chérie, est-ce que tu vas sortir ? » Christine a hoché la tête et a répondu : « Oui, Céline m’invite à dîner. Elle a tellement aidé la famille Cyr, alors je dois la remercier en personne. » Charles n’a pas encore dîné, donc il a demandé en souriant : « Puis-je aller dîner avec toi ? » « Oui, si tu veux, allons-y. » Christine ne l’a pas refusé.« Parfait. »À peine que Charles était entré dans la maison qu’il en est resorti sans même s’asseoir. Les deux sont sortis ensemble.
Florent s’est présenté, mais Céline l’a ignoré.Fernand la lui a présenté avec un sourire : « Frère Dubois, elle s’appelle Céline, c’est ma petite amie. » Le visage de Céline s’est instantanément assombri et a demandé : « Fernand, ne sois pas éhonté. Qui est ta petite amie ? » « Pas maintenant, mais à l’avanir. » Fernand avait du toupet, pas gêné du tout et a dit avec un grand sourire : « Tu seras ma petite amie tôt ou tard. » « Ah, n’est-ce pas Christine ? » Florent a vu Christine et n’a pas pu s’empêcher d’illuminer ses yeux. Christine avait une grande réputation à Centre-Fleuve récemment. Elle avait d’abord été considérée comme la femme la plus belle de Centre-Fleuve, puis elle a eu un mari bon à rien. Un peu plus tard, elle a été fiancée à Kevin Vincent de la famille Vincent, mais elle s’était repentie de son mariage, ce qui avait entraîné des représailles contre la famille Cyr. Sa famille avait connu une faillite complète et était réduite à une famille ordinaire.Florent fixai