Mia Nous sommes arrivés à cette cérémonie , il y a du monde , beaucoup de monde ! Déjà à l'entrée , les caméras des journalistes nous éclairent de leur lumière . La femme de Juan selon ses dires à voulue arriver plus tôt . Donc , elle doit être déjà là . Il me prend la main et nous pénétrons dans cet immense hôtel .Nous parcourons une longue distance avant d'arriver dans la salle de réception . On nous ouvre la porte , et je regarde ce qui s'y trouve derrière : Tout est éclairé par des lumières satinées . Les tables sont disposées avec les chaises et de la nourriture dessus . Le silence se fait quand nous pénétrons dans la salle . Tout le monde se lève pour nous accueillir avec les applaudissements . Main dans la main , nous avançons alors que des personnes sortent de table pour nous serrer les mains . Juan continue avec moi jusqu'à l'estrade , où la lumière se met sur nous . Juan demande à sa femme de nous rejoindre : - Ma chère épouse , s'il te plaît , viens te joindre à nous . J
Mia Livia me regarde et me montre quatre femmes à la table d'à côté .- Tu vois ces femmes ?-. Oui , elles sont les cheffes des quatre territoires qui composent notre territoire .Notre territoire est composé de cinq territoires distincts . - Et qui est la cheffe du cinquième territoire ? - C'est moi . Et nous cinq , c'est-à-dire les quatre autres et moi sommes sous les ordres de cette méchante . Depuis son arrivée elle demande plus aux cheffes que ce qu'elles sont capables d'offrir . Nous allons dès demain tenir une réunion pour choisir notre nouvelle cheffe et je veux que tu poses ta candidature pour ce poste . Je serai là pour t'aider . Je ne montrerai les pièges que mettront cette femme sur ton chemin . - D'accord , si tu acceptes de m'aider , je le ferai . - Très bien , dès demain , avant la réunion , je serai là pour te dire ce qu'il faut faire . - Très bien , mais , où se tiendra la réunion ? - Nous le déciderons de soir . - Où elle se tient d'habitude ? - Dans la mai
Mia Je me suis réveillée très tôt , pour faire du sport , depuis un mois , je me fais entraîner par une femme qui est aussi mon garde du corps personnelle , elles sont au nombre de quatre car Juan ne veux pas qu'un homme soit mon garde du corps . Il n'a confiance en personne . Je me demandais de quoi il avait peur ? Après une heure de sport intense , je vais prendre ma douche . Je crois qu'avec mon sport , je vais pouvoir donner une bonne correction à une certaine personne . Elle ne perd rien pour attendre , à la première occasion , je lui mets mon point dans le visage . J'en ai plus qu'assez de la voir me lorgner et parfois me lancer des piques . Aubois , je reçois pour la première des amies et j'espère être une hôtesse bien comme il faut . Je dois demander à Sophie de faire des petits fours et de mettre du champagne au frais . Il faut qu'elles soient bien reçues . Une fois lavée , je m'habille pour descendre . Je trouve Sephora dans la cuisine :- Bonjour Sephora , comme vas-t
Mia Elle a le regard lointain comme pour bien visualiser ce qui s'est passé :- La bataille était rude , car elles étaient plus perfides les unes plus que les autres . Il y avait des coups bas , par exemple droguer l'une pour la faire coucher avec un homme et prendre des vidéos comme preuve . - Ce n'est pas croyable ! - Oui , j'ai été la plus maline on dirait .Nous continuons à manger notre casse-croûte et Livia prend la parole : - J'ai pu parler avec les autres directrices et elles sont d'accord pour t'apporter leurs voix , et tu sais comme en politique , elles demandent ce qu'elles vont gagner en retour .- Hum ....je vois et qu'as-tu répondu à ma place ? - Déjà , elles n'auront plus à supporter cette mégère et avec toi au commande elles seront plus libres de leurs mouvements et de leurs décisions . - C'est déjà beaucoup .- Exactement , elles sont acceptées sans trop réfléchir .- Alors dites-moi , nous les femmes de quel secteur des activités nous nous occupons ?- Tout ce
Mia - Nous risquons d'être en retard .- Ce n'est pas grave , il faut que je prenne mon pied , me dire Tiana .Elles me regardent , elles attendent que je m' exécute . J'appelle Sephora qui n'est pas loin de nous : - Dis à Julia de nous apporter d'autres coupes de champagne . Demande lui de faire vite ! - Bien madame .- Sephora , ce serait mieux que tu l' accompagne jusqu'ici . Pour ne pas qu'elle traine ses pieds comme elle a l'habitude de nous . - D'accord madame ! Sephora s'en va et je regarde mes invitées , elles se frottent les mains comme des enfants attendant leurs jouets . Dix minutes après , nous voyons apparaître Sephora puis Julia juste derrière elle. elle avance à petit pas . Comme si elle retardait le moment de se retrouver devant nous . Elle arrive enfin et Tiana oui demande :- Bonjour Julia ... comme le monde est petit ! Comment vas-tu mon amie ? On regarde toutes Julia qui ne sait pas où se mettre . Mais , elle répond : - Bonjour Tiana ...Mais Tiana l' inte
Mia Je les regarde toutes , et mon regard arrive enfin vers Freya , son visage est rouge de colère . Elle les regarde toutes , je crois que je ne suis pas la seule à avoir peur d'elle ! Elle affiche finalement un sourire et demande :- Qui veut qu'on fasse une vote pour choisir une nouvelle cheffe ? Timidement , les autres soulèvent les mains , elle les observe , et si un regard pouvait tuer , elles seraient toutes mortes . Toutes les femmes ont soulevé leurs mains , je crois que le message est clair :Elles veulent un changement .- Très bien , nous allons passer aux votes . Mais , je m'étais dit que... puisque Mia est nouvelle , il ne faudrait pas la fatiguer avec tous ces travaux , vous savez comme c'est difficile au début . Elle se tourne vers moi et me demande :- Mia , veux-tu t'encombrer avec tout ça ? Surtout que tu n'y comprends rien ! - Je vais apprendre . Si elles m'en donnent l'opportunité . Je sais que ma réponse ne lui a pas plu . Mais , je ne peux pas la laisser t
Alba Des mains me caressent les fesses , hum...il est insatiable . J'apprends à connaître ses caresses , et celles-ci me disent qu'il a encore fini . Ses doigts me pénètrent , j'écarte les cuisses pour lui donner plus d'accès à ma chatte , il l'explore comme un bon explorateur . Il m'arrache un doux gémissement . Je sens son souffle sur mes fesses , ses dents qui me mordent .- aïe.... Ça fait mal ...- Mais , je suis sûr que tu ne veux pas que j'arrête !- Ne t'arrête pas . - C'est ce que je pensais . Il me mord encore pendant que ses doigts me ba(i)sent lentement .- Humm..... s'il te plaît.... s'il te plaît ...- Que veux-tu mon amour ? Il continue de jouer avec moi , ses mains actives ne me laissent pas de répit . - Hooo....Hummmm....je n'en peux plus.... remplies-moi....- Attends encore un peu , j'aime voir ton visage refléter ce désir pour moi , cette faim... que seul moi peux te le faire sentir . Il joue avec mon clitoris me rendant folle de désir . - Je t'en prie....
Jade Je prends une douche et je me change . Elle vient me chercher deux heures plus tard . - es-tu prête ? - Oui b, allons-y . Je sors avec Blanche , nous pénétrons dans une grande salle où se trouvent beaucoup d'employés . Elle passe avec moi devant pour me présenter à tous :- Bonjour à toutes et à tous , je vous présente Marlène Petit , elle vient rejoindre notre groupe . Elle commence ce soir .Je regarde tout le monde , il y a dans la salle une trentaine de personnes , au moins dix hommes et vingt femmes . Ils répondent à notre salutation . Nous nous installons à une table et elle le dit :- C'est ici que nous mangeons . Si tu as faim , tu peux venir ici autant que tu le voudras . - D'accord , merci pour ton aide . Nous prenons des couverts pour aller chercher notre nourriture . Après avoir mangé , je prends mon temps pour visiter le casino . Il est vraiment immense . Donc ce soir , ce monsieur viendra . J'aurais du travail à faire . Il faudra que j'attire son attention .
FreyaJ’entends encore ses mots résonner dans ma tête, comme des coups de poignard. "C’est toi qui as manipulé." Chaque syllabe est une attaque, chaque mot une gifle qu’il m’a donnée sans pitié. Je n’étais pas prête pour ça. Je croyais que, d’une manière ou d’une autre, je pouvais le garder. Je croyais qu’il finirait par comprendre que tout ce que je faisais, c’était pour lui, pour nous, pour notre avenir. Mais non… non, il m’a vue comme une ennemie, comme une femme qui a trahi sa confiance.Je serre les poings, mes ongles enfoncés dans ma paume. La douleur physique est la seule chose qui semble encore réelle, qui m’ancre dans ce monde. Je lève les yeux vers le plafond, le souffle court, ma poitrine se soulevant sous la pression de cette frustration dévorante.Comment a-t-il pu me faire ça ? Comment a-t-il pu croire que j’étais la responsable de tout ce qui s’était passé ? Tout ce que j’ai fait, je l’ai fait pour protéger notre vie, pour nous offrir un futur où nous pourrions enfin vi
Le Cobra Je suis toujours accompagné de mes gardes, une présence constante qui m'écrase encore davantage . Le trajet vers la maison se fait dans un silence lourd, presque oppressant. Chaque tour de roue, chaque virage, m’éloigne un peu plus de Mia, mais aussi un peu plus de moi-même. Je sais qu'une décision a été prise, que je vais devoir affronter la réalité de ce que Freya a causé, de ce qu’elle a manipulé.Nous arrivons devant la maison, et je n'ai même pas besoin de frapper. Je n’en ai pas envie. Je n’ai plus de temps pour les formalités. Je suis celui qui revient, celui qui revient réparer les morceaux brisés de cette vie qu’elle a foutue en l'air. Je la sens m'attendre, je le sais. Elle sait que je viens, que j’arrive, et quelque part, je suis déjà en colère avant même d’avoir franchi le seuil.Un de mes gardes ouvre la porte, sans un mot, et je traverse l'entrée de la maison. L’atmosphère est lourde, comme si la maison elle-même était imprégnée de la tension qui me ronge.Je v
MiaLe silence entre nous est lourd, oppressant. Chaque mot que nous échangeons, chaque regard échangé, semble pousser un peu plus loin la distance qui nous sépare. Je suis perdue dans ma colère et ma frustration, ne sachant plus à qui m’en prendre, ne sachant plus si quelqu’un, même lui, pourra réparer ce qui est déjà brisé.Juan ne bouge pas, ses mains jointes devant lui comme s’il était en train de prier pour que la tempête cesse. Mais au fond de ses yeux, je vois cette lueur de résignation. Il n’a pas réponse à tout, je le sens. Son regard se fait plus distant, et je vois qu’il prend une décision, une décision qui va me laisser seule face à tout cela.— Mia, il faut que tu te calmes, commence-t-il d’une voix grave, mais une voix qui trahit une fatigue, un poids de plus en plus lourd sur ses épaules.Je le regarde, ne comprenant pas tout de suite. Mais la dureté de son ton me frappe comme une gifle.— Calmer ? Comment veux-tu que je me calme, Juan, alors que tout est en train de pa
MiaJe suis assise dans le canapé, les yeux rivés sur mon téléphone. Les notifications s'affichent en continu, chacune d'elles venant me rappeler que mon monde s'effondre petit à petit. Les commentaires pleins de haine, les insultes, les rumeurs… tout cela se mêle dans un tourbillon de frustration et de colère. Je n'avais jamais imaginé que ma vie serait exposée de cette manière. Tout ce que j'avais vécu, tout ce que j'avais fait, tout était désormais tourné contre moi. Et là, devant mes yeux, des inconnus m'accusent d'être une femme sans morale, une traînée, une usurpatrice. Comment ont-ils pu m'assimiler à cela ?Mon cœur bat plus vite à chaque article que je lis, à chaque message que je reçois. Je me sens comme si j'étais acculée, sans possibilité de m'échapper. Mais ce qui me brise le plus, c'est l'indifférence de Juan. Lui qui savait ce que je traversais, lui qui était censé me soutenir. Il reste là, distant, à regarder le chaos se déchaîner autour de moi. Pourquoi ne réagit-il p
Richard La pièce est baignée dans une lumière douce, presque magique, tamisée par les rideaux légers qui dansent au gré du vent. Chaque murmure de la brise avec le léger crépitement de la chaleur ambiante crée une atmosphère enveloppante, propice à l'intimité. Nos baisers deviennent de plus en plus fébriles, animés par une tension palpable. Je suis submergé par l'adrénaline et l'euphorie de cette connexion inexplicable entre nous. Je la tire doucement vers moi, nos corps mêlés, irrésistiblement attirés l’un vers l’autre.Je la dépose lentement sur le canapé, un geste tendre mais empreint d'une détermination brûlante. Mes lèvres explorent son cou, traçant des chemins de douceur qui provoquent des frissons dans son dos. Chaque gémissement qui s'échappe de ses lèvres me pousse à vouloir en découvrir plus d'elle, à franchir les frontières de notre complicité naissante.Ses mains deslissent sur mon dos, ses doigts s'agrippent à ma peau comme si elle redoutait que ce moment ne s'échappe.
Rachelle Je suis assise sur le lit de ma chambre les jambes repliées contre ma poitrine, le regard perdu dans le vide. L’obscurité de la pièce ne me dérange pas. Elle reflète parfaitement ce que je ressens à l’intérieur.Tout s’effondre autour de moi .Mon mari. L’homme avec qui j’ai tout partagé, qui m’a aimée, touchée, protégée… Il m’a rejetée. Il m’a mise dehors sans une explication, comme si je n’étais plus rien.Et maintenant, alors que je cherche désespérément des réponses, une seule évidence me frappe : Alba.Je serre les poings.C’est elle.Elle lui a tourné la tête.Depuis des mois, elle rôdait, attendant le moment parfait pour frapper. Elle a patienté, semé ses graines, manipulé. Et maintenant, elle a réussi.Richard n’est plus lui-même.Il ne peut pas m’avoir abandonnée de son propre chef.Je me lève brusquement et commence à faire les cent pas. Mon cerveau tourne à toute vitesse, analysant chaque détail, chaque regard échangé entre eux, chaque mot laissé en suspens.Tout
Rachelle Allongée sur le lit d’hôtel, je fixe le plafond, incapable de fermer l’œil. L’obscurité de la chambre semble peser sur moi, m’écraser sous le poids de mes pensées.Je suis seule .Le mot tourne en boucle dans ma tête, un écho lancinant qui refuse de se taire.Richard m’a rejetée. Mon père aussi.J’essaie de comprendre. De trouver un sens à ce qui m’arrive. Qu’est-ce qu’il croit savoir ? Quelle raison pourrait être assez grave pour qu’il me ferme ainsi la porte de notre maison ?Rien ne me vient.Je tourne sur le côté, tirant la couverture contre moi. Le matelas est trop dur, l’oreiller trop mou. Ou peut-être est-ce simplement mon corps qui refuse de se détendre.Un soupir s’échappe de mes lèvres.Qu’est-ce que je vais faire maintenant ?Avant hier, j’avais une maison. Un mari. Une vie.Aujourd’hui, je n’ai plus rien.Mon téléphone est posé à côté de moi, écran noir, silencieux. Pas de message. Pas d’appel.Je pourrais essayer de rappeler Richard, mais à quoi bon ? Il ne répo
Rachelle Je suis là depuis des heures et on ne le laisse pas entrer , je suis épuisée , et très furieuse .Le froid de la nuit s’infiltre sous ma peau, mais je reste immobile. Mes bras sont toujours croisés, mon dos raide contre le mur du portail. La fatigue me pèse, mais la colère me tient éveillée .Je jette un regard à mon téléphone : 3h27 du matin.Richard n’a pas ouvert. Pas un appel, pas un message . Rien !Les gardes n’ont pas bougé non plus, même s’ils ont fini par arrêter de me regarder comme une folle. L’un d’eux a soupiré vers minuit, l’autre a évité mon regard depuis la dernière heure. Peu importe.Je serre ma veste autour de moi et inspire profondément. J’ai passé la nuit devant cette maison. Ma maison. Là où j’ai vécu, aimé, construit une vie. Et pourtant, je suis ici, dehors, comme une étrangère.L’humiliation me brûle la gorge, mais je ravale mes larmes.Le ciel commence à pâlir . L’aube approche. Les lumières de la ville s’éteignent lentement, une par une. Je sens me
Rachelle ( femme de Richard)Je rentre de mes vacances , mes depuis quelques semaines je n'arrive plus à joindre Richard et celà m'inquiète . A-t-il su ce que j'avais fait ? J'ai peur car s'il le sait , je suis foutue . Je suis morte .Je me suis bien amusée pendant cette croisière , Oui , j'ai ba(i)sé avec plusieurs hommes , j'étais saoulé mais j'ai quand même adoré . Je n'ai jamais ressenti autant de sensations qu'avec tous ces hommes . J'ai aimé leurs ba(i)sers , leurs coups de reins . Hum , j'ai passé des vacances merveilleuses !Le bruit du moteur du taxi s’estompa alors que je refermais violemment la portière derrière moi. Mes doigts crispés serraient la poignée de mon sac de voyage, et mon cœur battait déjà plus vite en voyant la façade familière de notre maison. Enfin chez moi .Le voyage avait été long, épuisant, et tout ce que je voulais, c’était poser mes affaires, retirer mes chaussures et retrouver Richard. Il n’avait pas répondu à mes messages ces derniers jours, ce qui é