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Chapitre 6

Auteur: Maître Yu qui fume
last update Dernière mise à jour: 2024-10-29 19:42:56
Pascal a appelé Fortuné sans se presser : «Fortuné, aidez-moi à vérifier les récents projets de coopération de Valérie avec le laboratoire pharmaceutique Santé, à connaître s'il y a une commande d'un million d’euros, à trouver quelle est la société de l'autre partie et qui est responsable.»

À l'autre bout du fil, la voix respectueuse de Fortuné s'est fait entendre : «Jeune maître, Le laboratoire pharmaceutique Santé est une entreprise familiale, je vais demander à Robert Huang du laboratoire pharmaceutique Santé de vous rendre une visite personnelle.»

Quoi ?

Le laboratoire pharmaceutique Santé était en fait une entreprise à capital familial.

Génial !

Pascal a soudainement regretté de ne pas avoir hérité de l'entreprise familiale plus tôt.

«Pas besoin, vous devriez vous dépêcher de vérifier, dites à l'autre partie de donner le feu vert et de ne pas rendre les choses difficiles pour Valérie.» Pascal a dit avec indifférence.

«Jeune maître, en fait je vous suggère d'acheter sa société, vous ne manquez pas d'argent», a suggéré Fortuné.

Putain de merde !

Le racheter ?

Vous étiez sûrement un majordome né dans une famille riche.

Fortuné, vous étiez si fier maintenant ?

«Savez-vous comment rester modeste ? Si je voulais l'acheter, pourquoi devrais-je attendre maintenant ?» Pascal a répondu sans bonne humeur.

«D’accord, jeune maître, donnez-moi dix minutes», dit Fortuné avec sarcasme.

Dès qu’il a raccroché le téléphone, Fortuné a immédiatement demandé à sa secrétaire de prévenir le président Robert du laboratoire pharmaceutique Santé.

Au moment où Robert a reçu l'appel de la secrétaire de Fortuné, il est devenu entièrement excité, «M. le président Qiao, vous voulez me voir pour quelque chose ?»

C'était l'homme le plus riche de la ville Haute-Rivière !

Le président du Groupe Prospérité !

Combien de personnes ont pensé à prendre un repas avec lui.

«M. le président Huang, ce n'est pas moi qui vous cherche, c'est mon jeune maître qui vous cherche», a dit Fortuné au téléphone, son ton léger portant une majesté incontestable.

Il ne pouvait pas refuser, Fortuné était au moins l'homme le plus riche de la ville Haute-Rivière !

Devant le jeune maître, il était respectueux, mais devant les étrangers, il était un gros bonnet.

Il était naturel d'avoir un sentiment de supériorité.

«Jeune ... Jeune maître ?»

Robert était assis dans le bureau du président du laboratoire pharmaceutique Santé en ce moment-là, il était entièrement gelé dans une sueur froide.

Le jeune maître de Fortuné !

L'homme le plus riche de la ville Haute-Rivière avait en fait un jeune maître au-dessus de lui !

C’était vraiment épouvantable.

«Alors qu'est-ce qu’il veut de moi, votre jeune maître?» Robert a demandé avec précaution, craignant de mettre en colère Fortuné s'il ne faisait pas attention.

«Il y a une certaine Valérie dans votre société, qui est le client avec lequel elle a été en contact récemment ?», a demandé Fortuné.

Robert connaissait Valérie, la directrice générale adjointe du département marketing, une femme forte, et lui-même la convoitait depuis longtemps.

Seulement, elle était mariée.

Cependant, ça n'avait pas d'importance.

Immédiatement, Robert transpirait abondamment en trottinant jusqu'au département marketing.

Tout le personnel du département marketing du laboratoire pharmaceutique Santé s'est tu en voyant Robert.

«Où est Mme Jiang ?», a demandé Robert.

«Elle est sortie pour des affaires», a répondu un employé.

«Quelles affaires ?», a demandé Robert à nouveau.

«M. David Wang, directeur général du laboratoire pharmaceutique Victoire», a répondu l'employé.

Robert a directement décroché le téléphone et s'est retourné pour répondre respectueusement, «M. le prédisent Qiao, c'est David Wang du laboratoire pharmaceutique Victoire.»

«Bien, j'ai compris.» Fortuné a fini de parler et a raccroché le téléphone immédiatement.

Ensuite, Fortuné a utilisé son pouvoir pour donner directement un avertissement au laboratoire pharmaceutique Victoire.

Ayant été le majordome pendant tant d'années, Fortuné a naturellement compris ce que le jeune maître avait en tête.

Il était possible que David du laboratoire pharmaceutique Victoire avait offensé le jeune maître.

Six minutes plus tard, Pascal, qui était de retour à l'hôpital, a reçu un appel de Fortuné : «Jeune Maître, c'est fait.»

«Hum, ne parlez pas de ça à Valérie, et demandez aussi aux autres de se taire, je ne veux rien entendre», a dit Pascal.

«J’ai bien compris, jeune maître. Il faut rester discret», a ri Fortuné.

En raccrochant le téléphone, Pascal a jeté un coup d'œil sur le bâtiment de l'hôpital devant lui et a souri amèrement.

Valérie, tu disais tout le temps que tu ne pourrais pas t'aider.

Maintenant, je voulais te dire, il était très simple de t'aider.

Si tu savais un jour que c'était moi qui t'avais aidé, quelle serait ton expression ?

Dans le restaurant occidental du sixième étage del’hôtel Hilton.

David était ivre en ce moment-là, et ses mains et ses pieds commençaient à être indisciplinés.

«Mme Jiang, vous ne prenez que les plats et sans vin, vous me méprisez ?» David avait un visage sévère et un ton morose.

Valérie s’est empressé d’expliquer en souriant : «M. Wang, vous avez mal compris, je ne me sens pas bien ces jours-ci et je ne peux pas boire.»

Ce gros type, qui n'arrêtait pas de déplacer ses mains et ses pieds vers elle, était vraiment ennuyeux.

«Hum ! Mme Jiang, puisque vous avez dit ça, alors nous n'avons rien à nous dire.»

David a reniflé froidement et a menacé : «Mme Jiang, vous devriez savoir qu'il n'y a pas que votre société, le laboratoire pharmaceutique Santé, qui veut coopérer avec moi, beaucoup de gens supplient de me rencontrer.»

À ces mots, les sourcils de Valérie se sont froncés et elle a regardé avec hésitation le vin rouge sur la table.

«Très bien alors, je vais prendre un verre avec M. Wang.»

Sur ce, Valérie a pris la bouteille de vin rouge et en a versé dans un verre.

David a souri en regardant Valérie, une femme qui était vraiment charmante sous la lumière.

Valérie l'a terminé en une seule gorgée, «M. Wang, est-ce que ça va ? Vous voyez, notre coopération...»

«Mme Jiang, ne soyez pas pressée à ce sujet, pourquoi ne pas aller à l'étage et parler lentement ?» David a complètement révélé son but pour la nuit.

Dès que les mots ont quitté sa bouche, la main de David a touché la jambe de Valérie à la légère, et a voulu aller plus loin !

Paf !

Valérie s'est directement levée et a lancé une gifle à son interlocuteur avec colère : «M. Wang, arrêtez !»

«Salope, comment osez-vous me frapper ?» David a jeté un regard furieux et s'est levé en colère, jetant sa main et s'apprêtant à la gifler.

Dring...dring !

La sonnerie urgente du téléphone l'a interrompu, et il a pris le téléphone sur la table, regardant Valérie qui était partie, et a grogné, «Qui est-ce ?»

«David Wang, Comment vous me parlez !» A l'autre bout du fil, le même grognement de colère a retenti.

«M. le president Li, je suis vraiment désolé, quelques vendeurs viennent de m'appeler, qu'est-ce que je peux faire pour vous ?» Immédiatement, David était aussi abasourdi.

Le president Li était le président du laboratoire pharmaceutique Victoire, son propre patron !

Pourquoi l'appelait-il maintenant ?

Bien qu'il ait ruiné sa propre bonne affaire, David n'a osé rien dire.

«C’est à moi de vous demander ! Avez-vous délibérément bloqué la coopération avec Mme Jiang, directrice générale adjointe du département marketing du laboratoire pharmaceutique Santé?» Le president Li a demandé furieusement.

A l'instant, il avait reçu un appel de l'homme le plus riche de la ville Haute-Rivière, Fortuné Qiao.

Les mots étaient pleins de réprimandes.

Maudit David, comment osait-il offenser un si grand homme ?

Vous ne vouliez plus vivre ? !

«M. le president Li, comment avez-vous su ça ?» David s’est figé, se pourrait-il que Valérie ait intenté un procès ?

Cela ne devrait pas être le cas, elle était une petite directrice générale adjointe du département marketing, elle n'était pas qualifiée pour parler au président Li.

«Comment pensez-vous que je le sais ? Vous ne voulez plus travailler !» Le president Li était vraiment furieux et il a beuglé : «Notre coopération avec le laboratoire pharmaceutique Santé est terminée ! Aussi, dépêchez-vous de présenter vos excuses à Mme Jiang personnellement, et si vous n'obtenez pas son pardon, vous n'avez pas besoin de retourner à la société, sortez simplement !»

Pop !

Le téléphone a été raccroché, David était abasourdi !

Il pouvait entendre que le president Li était vraiment en colère.

Sans dire un mot, David s'est précipité et a rattrapé Valérie qui était devant lui : «Mme Jiang, restez s'il vous plaît !»

Valérie s'est retourné et a regardé David avec une certaine crainte : «M. Wang, que voulez-vous ?»

David a hoché la tête et s'est excusé avec les mains croisées, «Je suis désolé, Mme Jiang, j'étais confus tout à l'heure, notre accord de coopération sera signée immédiatement, j'espère que Mme Jiang me pardonnera pour ma confusion momentanée.»

Valérie était stupéfaite et a regardé David avec incrédulité, «M. Wang, êtes-vous sérieux ?»

C'était une commande sur laquelle elle avait travaillé pendant un mois, un million d’euros !

Sa propre commission serait de plusieurs dizaines de milliers !

L'argent pour le traitement de Méline serait suffisant.

En seulement dix minutes, David a signé l’accord avec Valérie.

Tout s'est passé si vite que Valérie ne s'était pas encore remise du choc.

«M. Wang, vous avez dit qu'il a été approuvé par votre président personnellement ?» Valérie a demandé avec incrédulité.

David a gardé un sourire sur son visage à ce moment-là et a dit, «Oui, Mme Jiang, vous deviez me dire plus tôt que vous connaissez le president Li, on s’est presque entre-tué.»

Valérie a hoché la tête d’un air perplexe, comment pouvait-elle connaître le president Li du laboratoire pharmaceutique Victoire ?

Alors, qui lui avait apporté une aide exactement ?

Ça pourrait être Julien ?

Ce n'était que le matin qu'elle lui en avait parlé.

Non, j'ai dû lui demander.

Lorsque Valérie a pensé à cela, elle a inconsciemment comparé Pascal avec Julien dans son cœur, et naturellement, elle a détesté Pascal davantage.

Son propre mari était si inutile !

À ce moment-là, Pascal ne savait pas qu'après avoir aidé Valérie à résoudre le problème, elle avait mal compris que c'était son rival amoureux Julien qui l'avait aidé.

S'il savait ça, il vomirait probablement du sang.

Le lendemain à midi.

Pascal est monté dans une voiture Bentley devant l'hôpital.

Il avait un rendez-vous aujourd'hui pour rencontrer quelqu'un avec Fortuné.

Au moment où Pascal est monté dans la voiture et est parti, une fille non loin derrière a jeté un regard suspicieux et a marmonné : «Son profil ressemble un peu à celui de Pascal ... »

Louise est venue à l'hôpital aujourd'hui pour rendre visite à la fille de sa cousine.

Elle était à l'origine très réticente à venir, mais ses propres parents ont dit qu’il lui manquait de la politesses pour ne pas aller voir l’enfant de la famille de Jiang.

Non, au moment où elle est arrivée à l'entrée de l'hôpital, Louise a vu Pascal monter dans la voiture.

Cependant, elle n'aurait pas pensé que son beau-frère, ce soliveau ait pu prendre une voiture aussi luxueuse.

C'était une Bentley !

Ainsi, Louise ne l'a pas pris à cœur et s'est rendue au service des hospitalisations.

Dans la voiture Bentley en mouvement, Pascal a demandé paresseusement : «Fortuné, quel genre de personne rencontrez-nous aujourd'hui, est-ce que ça vous posera un problème ?»

Fortuné a répondu respectueusement : «Jeune Maître, ce n'est pas un problème, c'est un grand collectionneur dû pays, un de mes amis.»

«Pourquoi je rencontre votre ami ?» Pascal a posé une question rhétorique.

Vous, Fortuné, étiez-vous un homosexuel ?

Vous étiez si vieux et vous vous amusiez encore avec ça ?

Fortuné a dit en souriant : «Jeune maître, il s'agit d’une petite affaire d'un milliard d’euros, vous devez suivre et apprendre afin d'hériter des biens de la famille le plus tôt possible.»

En entendant cela, Pascal n'a pu s'empêcher de lever les yeux vers Fortuné.

Une affaire d'un milliard d’euros, c’était une petite affaire ?

Il a résisté à l'envie de cracher et a dit, «Fortuné, savez-vous ce que c’est un fanfaron ?»

Cela faisait sept ans qu’il n’avait pas vu ce vieux bougre qui se vantait de plus en plus.

Et lui-même, l'héritier d’une famille riche avait en fait l'illusion d'être intimidé.

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    « Valérie, pourquoi es-tu soudain venue me voir ? »  Au même moment, Zoé est entrée dans le hall latéral, pleine de sourires doux, et se tenait devant Valérie.  À ce moment-là, Zoé était tout à fait différente de celle qu'elle avait été dans le hall plus tôt.  Valérie a vu deux dos disparaître dans la nuit et sortir de la villa.  « Tante Zoé. » l'a saluée Valérie poliment.  Zoé l'a tirée, s'est dirigée vers le canapé et s'est assise, ordonnant à ses hommes de préparer des collations.  Pascal a quitté la villa avec Ludovic, mais il a soudain jeté un coup d'œil en arrière, car il lui semblait avoir entendu "Valérie" tout à l'heure.  Secouant la tête, il a ouvert la portière et est monté dans la voiture.  Quant à Valérie, elle se sentait mal à l'aise, surtout face à Zoé.  Cette femme était la belle-mère de Pascal, et il y avait un malentendu entre eux.  « Valérie, viens ici, goûte des dim sum fraîchement préparés, une spécialité de la région du Sud. »  Zoé a souri do

  • Le Premier Héritier   Chapitre 472

    Ludovic s'est assis sur le canapé, a penché la tête et a ri bruyamment : « Zoé, si tous les membres de la famille Yun sont si imprudents, quel genre de grandeur atteindront-ils à l'avenir ? »  Du début à la fin, Pascal s'est assis sur le côté et n'a rien dit.  C'était parce qu'il savait que c'était son deuxième oncle qui intervenait maintenant.  Zoé avait l'air sombre, elle voulait tuer Ludovic dès maintenant pour que la famille Chen perde une force énorme.  Cependant, elle n'osait pas.  Elle avait peur du pouvoir que Ludovic avait entre les mains.  Bien sûr, après toutes ces années, Ludovic avait également peur du pouvoir de Zoé.  Les deux camps s'étaient battus ouvertement et secrètement pendant plus de dix ans, s'entravant mutuellement.  « Ce n'est pas grave, nous sommes tous de la même famille. »  Serge a pris la parole à ce moment-là, assis sur le siège principal du canapé, les mains posées sur sa canne à tête de dragon, il a jeté un coup d'œil à Pascal assis là-

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