« Tu veux m’intimider ? »Josselin était tellement furieux qu’il s’est mis à ricaner. Il a rugi en regardant Pascal avec un visage féroce: « Je ne suis pas un poltron ! Tante Gisèle m'a dit que tu n'es qu'un raté! Pour qui te prends-tu ? Tu cherches quelques personnes, tu mets un costume et tu te prends pour un gros bonnet ? Crois-le ou non, si tu oses me toucher aujourd'hui, tu seras coupé en pièces dès que tu sortiras de l’hôtel ! »Pascal, où diable a-t-il trouvé le courage de me parler comme ça ?Statut ?Tu n'as pas de putain de statut !« Oh ? Alors, tu ne me crois pas ? »Pascal a souri et son sourire était teinté de cruauté.« Oh, Pascal, j'admets que je t'ai sous-estimé, mais dans le territoire de la ville Haute-Rivière, il n'y a personne que je n'ose pas toucher ! Il n'y a également personne qui ose me toucher ! »Josselin riait froidement, ne se souciant pas du tout du tueur assis sur le canapé.Oserait-il vraiment le tuer ?Alors, ce qui l’attendait était un désastre !Tout
Une femme élégante portant un bébé à côté de Karr est partie avec l'aide de sa nounou.Karr a demandé l'adresse, a raccroché tout de suite le téléphone, a pris la bouteille Moutai sur la table et l’a vidée d’un seul trait !Paf !En claquant la bouteille sur le sol, Karr s’est débarrassé du manteau de martre sur son corps, révélant un corps robuste tout tatoué d’un dragon vert !Il était dans le métier depuis qu'il était enfant et avait vu toutes sortes de combats et de meurtres.Il avait plus d'une douzaine de blessures au couteau sur le corps et deux cicatrices profondes sur le visage, qui demeuraient à ce jour.Certaines personnes appelaient Karr en privé le « Dragon aux deux couteaux ».Car, il n'avait besoin que de deux coups de couteau pour couper quelqu'un, un dans le cœur et l’autre dans le cou.« Frère Karr, qui a intimidé notre jeune maître He ? On va le couper ! »« Celui qui offense la famille He cherche à se faire tuer ! »« Frère Karr, les frères sont armés en attendant v
En une dizaine de minutes, l’avenue longue de dix kilomètres devant l'hôtel Marriott était déjà remplie des personnes de Karr !À perte de vue, elle était densément remplie de gens !Ils étaient tous farouches et féroces !Ils avaient tous de longs poignards et des barres d’acier dans leurs mains !C'était la façon d’agir de Karr qui était le plus agressif de la ville !C'est la même tactique que Karr utilisait depuis tant d'années pour devancer les autres !Un tel spectacle est suffisant pour effrayer l'autre partie !« Le Hall Dragon Noir ! À mort ! »« Le Hall Dragon Noir ! À mort ! »Une clameur résonnait comme un tonnerre sourd dans le ciel nocturne de la ville Haute-Rivière !À cet instant, tous les piétons dans l’avenue se sont dispersés et tous les magasins et centres commerciaux alentour ont fermé !Des milliers de personnes se cachaient à l'intérieur de leurs maisons en regardant à travers leurs fenêtres la scène choquante à l'extérieur.Même les enfants bruyants avaient cess
Sifflement !De nombreuses personnes ont aspiré une bouffée d'air froid !Des centaines de gardes interdits armés spéciaux !C'est comme une brigade de gardes interdits armés spéciaux !Karr était abasourdi !Les centaines d'hommes derrière lui étaient également abasourdis !Il avait combattu pendant toute sa vie, quel genre de scènes n'avait-il pas vu ?Cependant, ce soir était le jour le plus choquant pour lui. Il n'avait jamais vu une telle scène auparavant. Il ne l'avait vue que dans des films !C'était terrifiant !Il se tenait sous l'énorme tourbillon, le grondement sifflait à ses oreilles et ses vêtements étaient soufflés partout sur lui.« Quoi, qu'est-ce qui se passe? » Karr était effrayé et avait déjà l'intention de battre en retraite.Malheureusement !Ce n'est qu'à ce moment-là que Karr a vu un froid glacial et un soupçon de dédain dans les yeux du jeune homme, lorsqu’il a levé les yeux vers lui qui se tenait à la fenêtre.Oui.Du dédain !Dans les yeux du jeune homme, il m
Le fait qu'il ait utilisé sa femme et ses enfants pour menacer Pascal était une mauvaise idée qui a accéléré la disparition et la destruction de Karr.Lorsque Karr a vu le visage de Pascal changer soudainement, son cœur était ravi. Il a voulu se précipiter pour montrer sa puissance.Cependant !Bang !Avec les mains dans les poches de son pantalon, Pascal a donné un coup de pied féroce à l'abdomen de Karr !Ce dernier est tombé par terre sur le dos !Avant qu'il ne puisse réagir, deux gardes en treillis de camouflage vert portant leurs armes ont posé leurs fusils instantanément sur la tête de Karr en criant : « Ne bouge pas ! »Karr a froidement ri et s’est rendu : « Hahaha, qu'en est-il ? Tu penses qu'en faisant un tel spectacle, tu peux alors me dominer ? N'oublie pas que c'est la ville Haute-Rivière, c'est mon territoire ! Un puissant dragon ne peut pas supprimer un serpent local. Je te conseille de prendre tes hommes et de partir, et d'oublier l'incident d'aujourd'hui. Qu'en penses
Bang !Karr était complètement abasourdi, ses yeux s'écarquillaient, ses jambes tremblaient et une odeur d'urine se répandait. C'était un jet de merde et d'urine !À ce moment-là, il était entièrement abasourdi !Pour la première fois, il a senti que la mort était si proche de lui !Ce n'est qu'après un long moment qu'il s'est rendu compte qu'il n'était pas mort !Un trou de balle sur le côté de sa tête !Ce n'est qu'alors qu'il sentit la douleur dans son oreille !La balle avait traversé l'oreille de Karr. L’oreille avait été complètement arrachée et la moitié de sa tête était couverte de sang !Il avait l'impression que son oreille droite était complètement sourde et qu'il ne pouvait rien entendre !Ce n'est qu'à ce moment-là que la foule des badauds dans la rue a prononcé un torrent de bavardages !Ils n'avaient vu pas la scène principale, mais ils avaient vu tous les hommes du Hall Dragon Noir être escortés vers les chars blindés qui arrivaient les uns après les autres !« Bravo !
La dizaine de fonctionnaires qui se trouvaient devant Sylvestre regardaient cela avec indifférence et n'étaient pas pressés de l'emmener.« Madame, vous devez m'aider ! Il y a un problème ! » Sylvestre a dit avec anxiété.Pendant ce temps, sur l'une des routes principales de la ville Haute-Rivière, une Bentley blanche se dirigeait à toute vitesse vers l'hôtel Marriott.À travers la vitre de la voiture, on pouvait vaguement voir une femme assise à l'intérieur. Elle a décroché le téléphone et a dit avec le visage légèrement mécontent : « Je vois. Ton fils est vraiment stupide. Pourquoi l'a-t-il provoqué pour rien ? »L’Interrogation et la réprimande !Sylvestre n'a pas osé répondre pendant un longtemps. À ses yeux, cette dame était une personne puissante.À cet instant, Sylvestre a clairement senti que Madame ne voulait pas non plus se faire un ennemi du jeune maître Chen.Terrifiant !Effrayant !Quelle était l'origine du jeune maître Chen pour que même Madame montre de la peur.« Madam
Valérie ?Non, non, non !Elle est à Pascal. Elle est à Frère Chen !La vie est plus importante.Josselin s’est aplati comme une carpette. Toute la personne qui était à genoux sur le sol en faisant constamment des courbettes devant la caméra et implorant la pitié !Pascal se tenait à l'entrée de l'hôtel pour regarder Josselin sur l’écran. Il a dit en souriant froidement : « Les choses ne se répètent pas trois fois. Tu as déjà défié ma patience de nombreuses fois. De plus, tu as même convoité Valérie. Désolé, tu devras dire au revoir à ce monde aujourd'hui avec la famille He. »« Frère Chen, j'ai tort. J'ai vraiment tort. Je mérite de mourir. Je n'aurais pas dû draguer Valérie. S'il vous plaît, épargnez-moi cette fois. Je vais quitter la ville Haute-Rivière immédiatement et ne jamais revenir ici dans cette vie. »Josselin était extrêmement paniqué. Ses yeux étaient écarquillés et son corps était ensanglanté alors qu'il se prosternait devant la caméra et implorait la pitié.Il n'avait au
Mais l'homme tatoué en tête leur a bloqué directement le passage et a dit : « Jolie fille, ne sois pas pressée. M. Lu m'a dit que ce type cherchait les ennuis, nous sommes venus pour résoudre le problème. » « J'ai une idée. Il y a un hôtel juste à côté, tant que tu couches avec moi, je ne vais pas blesser ton petit ami, ça te va ? » « Frère Mathieu, vous n'avez qu'à donner une leçon à ce type... » Sur le côté, Fabrice s'est rendu compte que quelque chose n'allait pas. « Va-t'en ! Tu n'as pas le droit d’ouvrir la bouche quand je parle. Dégage de mon chemin ! » Mathieu lui a donné une gifle et un coup de pied en hurlant : « Comment ? Peux-tu aller à l'hôtel avec nous ? » « Oui ! » Fabrice était fidèle à Mélissa, il a montré un sourire contraint à cet instant. « Espèce d'imbécile ! Tu es dégoûtant ! » Mathieu s'est approché de Fabrice pour l'envoyer dans le coin. « Jeune maître Lu, je ne suis pas ton esclave ! Même si tu es riche, tu ne peux pas me faire fair
Mélissa s'est levée et s'est emportée contre Fabrice : « Ça suffit ! Tu es trop arrogant, Pascal est mon petit ami, je ne permettrai à personne de lui faire du mal ! » Fabrice est devenu plus furieux, a pointé Pascal du doigt et a demandé d'un air sombre : « Mélissa, tu m'accuses pour ce type ? » Il était peu convaincu dans son cœur, pourquoi le traitait-elle ainsi ? Oui, c'était à cause de cet homme appelé Pascal, c'était lui, c'était à cause de lui ! S'il n'était pas apparu, Mélissa ne l'aurait pas traité de la sorte ! « C'est à cause de toi ! » Fabrice a déversé sa colère sur Pascal, a attrapé une bouteille et l'a fracassée contre la tête de Pascal ! « Ah ! » Mélissa était si effrayée que son visage est devenu pâle et qu'elle s'est couvert la bouche en criant. La tête de Pascal allait définitivement se briser et saigner à cause de ce coup ! Fabrice a ricané, il pensait qu'avec ce coup, Pascal allait certainement lui demander pitié ! Mélissa saurait
Ce n'est que lorsque Mélissa s'est approchée que Pascal a repris ses esprits et a demandé d'un air absent : « Pourquoi es-tu là ? » Mélissa était vraiment trop belle, avec un visage petit et délicat, et bien qu'elle ne se maquille pas, sa peau était blanche et elle avait une beauté naturelle. « Tu as oublié ? Je suis venu te chercher comme promis. » Un peu mécontente, mais elle ne l'a pas montré. Ce type ne voulait pas la voir ? Pascal a secoué la tête : « Je n'ai pas le temps, je dois aller voir ma fille à l'hôpital. » Mélissa était stupéfaite, qu'est-ce qui n'allait pas chez ce type ? Elle était venue le chercher en personne et il ne l'acceptait pas ? Savait-il combien d'hommes rêvaient de sortir avec elle ? C'était la première fois qu'elle invitait un homme ! Même s'il était déjà marié, et alors ? Mélissa était une fille audacieuse, elle voulait déclarer son amour à Pascal. Même si elle ne pouvait être que sa maîtresse, cela n'avait pas d'importanc
Pascal a gratté son nez et a dit : « Ton mari n'est pas si nul, d'accord ? À partir de maintenant, je serai ton chevalier. » Valérie lui a jeté un regard. De son côté, Romain était furieux, et lorsqu'il a vu le couple marcher à deux, il a menacé : « Directeur Jiang, tu dois me donner une explication sur cette affaire aujourd'hui, sinon, je le rapporterai au conseil d'administration ! » Valérie s'est approchée, le visage froid, et a dit : « Directeur adjoint Li, si vous êtes mécontent, je m'excuse auprès de vous pour Pascal. » Après avoir dit cela, elle s'est tourné vers la foule et a dit : « Tout le monde, accueillons notre nouveau collègue, Pascal, à partir de maintenant, il sera l'assistant du bureau du directeur. » Il y avait des applaudissements enthousiastes. La plupart des gens avaient des protestations dans le cœur. Pascal était vraiment un raté. En appuyant sur sa femme, il est devenu l'assistant du bureau du directeur. Cependant, Pascal s'en fichait, il
« Pascal, pourquoi es-tu ici ? » Romain, un sourire froid aux lèvres, se tenait à l'entrée et l'a regardé d'un air amusé : « Et toi Myriam, qu'est-ce que tu fais ? Pourquoi tu n'es pas à ton poste ? Veux-tu être renvoyée ? » « Non, directeur adjoint, je suis... » Myriam voulait s'expliquer, mais Romain l'a interrompue. « Je ne veux pas entendre ton prétexte, je pense que tu ne veux simplement plus travailler. » Romain s'est assombri : « Tu es tellement irresponsable ! Tu es virée ! » Pascal a déclaré : « Romain, tu n'as pas besoin de viser les autres à cause de moi, ça n'a rien à voir avec elle. » « Pascal... » Myriam était quelque peu émue et a essuyé ses larmes. Pascal a continué en souriant : « Directeur adjoint Li, j'ai oublié de te dire qu'à partir d'aujourd'hui, je suis également membre de l'entreprise. » Quoi ? Tout le personnel de l'entreprise était stupéfait ! Pascal est devenu leur collègue ! C'était Directrice Jiang qui avait organisé
Face à la force de Zoé, Gisèle n'a pas osé lui résister du tout. Elle n'osait agir de manière arbitraire que dans sa famille. Si elle rencontrait un étranger, elle serait trop lâche pour prononcer un mot. Surtout s'il s'agissait d'une femme très forte comme Zoé, Gisèle était effrayée au plus profond de son cœur. « Moi...... » Gisèle s'est couvert le visage, ne sachant que dire. Clac ! Zoé lui a donné une autre gifle et a dit d'un ton menaçant : « Gisèle, je te préviens, laisse tomber tes pensées irréalistes. Penses-tu vraiment que les membres de ma famille Chen sont des lâches ? As-tu oublié l'avertissement que je t'ai donné en premier lieu ? » Cette femme était vraiment une personne mesquine, elle a déjà oublié ses douleurs passées. « Non, je n'ai pas... » Gisèle s'est couvert le visage et a baissé la tête, n'osant pas la regarder directement dans les yeux. Zoé l'a regardée froidement et est entrée directement dans la villa, la visitant quelques instan
« Pascal, me caches-tu quelque chose ? » a demandé Valérie, les yeux fixés sur Pascal. Pascal s'est approché et l'a serrée dans ses bras en riant : « Non, à quoi tu penses ? Je t'ai dit tout ce que j'aurais dû te dire. » Au fond de lui, Pascal pariait que Zoé n'avait rien dit. Il savait qu'il était impossible que Zoé le dise à Valérie. Ainsi, il pourrait amener Valérie et Méline à juste titre. Pourquoi il n'avait pas révélé son identité à Valérie ? Il avait ses propres raisons. Valérie venait d'une famille ordinaire, sans argent ni pouvoir. Si Pascal révélait son identité ou les ramenait chez lui, cela entraînerait inévitablement un retour de bâton de la part de la famille Yun et de nombreuses forces. Dans ce monde, la famille Yun n'était pas la seule à surveiller la famille Chen ! La situation actuelle était comme une corde de chanvre, avec de multiples forces luttant les unes contre les autres. Une fois que Pascal aurait rompu cet équilibre, une réaction en
« Valérie, pourquoi es-tu soudain venue me voir ? » Au même moment, Zoé est entrée dans le hall latéral, pleine de sourires doux, et se tenait devant Valérie. À ce moment-là, Zoé était tout à fait différente de celle qu'elle avait été dans le hall plus tôt. Valérie a vu deux dos disparaître dans la nuit et sortir de la villa. « Tante Zoé. » l'a saluée Valérie poliment. Zoé l'a tirée, s'est dirigée vers le canapé et s'est assise, ordonnant à ses hommes de préparer des collations. Pascal a quitté la villa avec Ludovic, mais il a soudain jeté un coup d'œil en arrière, car il lui semblait avoir entendu "Valérie" tout à l'heure. Secouant la tête, il a ouvert la portière et est monté dans la voiture. Quant à Valérie, elle se sentait mal à l'aise, surtout face à Zoé. Cette femme était la belle-mère de Pascal, et il y avait un malentendu entre eux. « Valérie, viens ici, goûte des dim sum fraîchement préparés, une spécialité de la région du Sud. » Zoé a souri do
Ludovic s'est assis sur le canapé, a penché la tête et a ri bruyamment : « Zoé, si tous les membres de la famille Yun sont si imprudents, quel genre de grandeur atteindront-ils à l'avenir ? » Du début à la fin, Pascal s'est assis sur le côté et n'a rien dit. C'était parce qu'il savait que c'était son deuxième oncle qui intervenait maintenant. Zoé avait l'air sombre, elle voulait tuer Ludovic dès maintenant pour que la famille Chen perde une force énorme. Cependant, elle n'osait pas. Elle avait peur du pouvoir que Ludovic avait entre les mains. Bien sûr, après toutes ces années, Ludovic avait également peur du pouvoir de Zoé. Les deux camps s'étaient battus ouvertement et secrètement pendant plus de dix ans, s'entravant mutuellement. « Ce n'est pas grave, nous sommes tous de la même famille. » Serge a pris la parole à ce moment-là, assis sur le siège principal du canapé, les mains posées sur sa canne à tête de dragon, il a jeté un coup d'œil à Pascal assis là-