Mila était anxieuse et s'est laissée entraîner par Pascal en disant : « Pascal, oublie ça, je vais bien. C'est ta belle-mère après tout. Si vous vous battiez pour moi, j'en serais vraiment confuse. »Bien que Mila ait été lésée dans son cœur, elle savait toujours ce qui était important.Après tout, Gisèle était la belle-mère de Pascal, s'ils avaient des conflits à cause d'elle, elle serait très gênée.Elle n'était que l'enfant d'une famille pauvre, et ses parents lui avaient dit qu'elle devait retenir ses émotions et ne pas entrer en conflit avec les autres.De plus, Pascal avait été si gentil avec elle, elle ne pouvait pas lui attirer des ennuis.« N'aie pas peur, écoute-moi aujourd'hui. Bien qu'elle soit ma belle-mère, elle ne peut pas être si déraisonnable. » a dit Pascal de manière réconfortante, il pouvait supporter Gisèle pour Valérie pendant trois ans, mais il ne pouvait pas lui céder sur cette question.Gisèle avait déjà blessé les autres à cause de son mauvais caractère
Pascal a directement laché la main de Gisèle et a dit froidement : « C'est de ta faute, Mila est l'infirmière que j'ai engagée pour prendre soin de Méline, et tu es responsable de l'avoir battue sans raison ! Si tu ne veux pas être responsable, tu peux partir maintenant, mais j'appellerai la police ! »Dès que Gisèle a entendu que Pascal voulait appeler la police, elle a été choquée.« Toi...... Tu me fais chier ! Espèce de mauviette, comment oses-tu me menacer ? »Gisèle a pointé Pascal avec colère, elle pensait qu'il était un perdant qui n'osait pas se rebeller, mais de façon inattendue, il a osé être si audacieux.S'il appelait la police, elle ne pourrait certainement pas obtenir d'avantages.S'excuser auprès de Mila ?Pas question !Par conséquent, Gisèle a crié de manière déraisonnable : « Pourquoi devrais-je m'excuser ? Connais-tu les raisons de cette querelle ? Je vais battre cette petite salope à mort aujourd'hui ! »« Alors dis pourquoi. »Pascal l'a regardée avec ind
Clac !Le bruit de la claque a retenti dans le long couloir !Pascal a levé haut sa grande main et a donné une gifle sur le visage de Gisèle !Dans cette gifle, il y avait toute la colère et tous les griefs des trois dernières années. Pascal était furieux à tel point qu'il a fait tomber Gisèle directement au sol !« Ah ! » a crié Gisèle, se couvrant le visage et fixant Pascal avec incrédulité. Elle a juré avec honte et colère : « Toi, toi, toi, comment oses-tu me frapper ? Pascal, tu es fou ! Comment oses-tu, espèce d'ordure, me frapper ? Je suis ta belle-mère !!! »Elle était sur le point d'exploser de colère !Un perdant, comment a-t-il osé la frapper ?C'était tout simplement scandaleux !Est-ce que lui, Pascal, ne voulait plus vivre ?Ne voulait-il plus entrer dans sa famille ?Elle s'est levée du sol et a pointé Pascal du doigt, le maudissant et le bousculant avec colère : « Pascal, je vais demander à ma fille de divorcer de toi ! Tu auras affaire à moi ! »Clac !En c
Cela ne marchait pas et Mila savait que Pascal n'était pas issu d'une famille riche.Et au vu de la situation actuelle, le statut de Pascal dans la famille n'était pas élevé.Elle ne pouvait pas prendre cet argent.Cependant, Pascal l'a arrêtée et a souri : « Prends-le, ne fais pas des façons devant moi. Si tu ne l'acceptes pas, je n'aurai qu'à te renvoyer alors. »La renvoyer ?Le cœur de Mila tremblait, elle ne pouvait pas perdre ce travail, en mordant ses lèvres rouges, elle continuait à donner à Pascal une courbette et un signe de tête de remerciement : « Merci, Frère Pascal. »Pascal n'a rien dit.Le soir, Pascal a cherché Mila et l'a trouvée dans le petit jardin, au téléphone, pleurant à chaudes larmes.« Qu'est-ce qui ne va pas, Mila ? » Pascal s'est approché et a demandé avec inquiétude.Mila a raccroché, a essuyé ses larmes et a souri : « Ce n'est rien. »Pascal savait qu'elle était fière et n'a rien dit. Il s'est assis et a jeté un coup d'œil à son téléphone, le fon
Dans un salon de thé. Gisèle a été rudement poussée à l'intérieur.Elle était sur le point d'exploser de colère, pointant du doigt les deux hommes forts en costume noir à la porte et jurant : « Qui êtes-vous ? Laissez-moi sortir ! Ou j'appelle la police ! Vous faites du kidnapping ! C'est illégal ! »Gisèle était si effrayée que ses mains tremblaient, mais elle savait qu'elle ne pouvait pas agir de façon vulnérable et qu'elle devait faire semblant d'être imposante.Cependant, les deux hommes en costume noir qui bloquaient la sortie ont fait comme s'ils n'avaient rien entendu et sont restés indifférents.Ils n'ont pas bougé du tout alors que Gisèle les poussait et les bousculait.Gisèle a commencé à paniquer, cet endroit ne lui était pas familier, où diable était-elle ?À ce moment-là, une femme noble est entrée, suivie de sept ou huit gardes du corps. À travers la pompe de son arrivée, on pouvait savoir qu'elle était un personnage puissant. De plus, dès qu'elle est apparue, la
Quand Gilles est revenu et l'a découverte, il a été très choqué : « Chérie, qu'est-ce qu'il y a ? Qui t'a frappée ? »Avec l'aide de Gilles, Gisèle était de retour à la maison, l'air très endolori.Quand elle est rentrée chez elle, Gilles était occupé à lui poser des compresses d'eau froide.Assise sur le canapé avec colère, plus elle y pensait, plus elle était en colère.Elle ne connaissait même pas Zoé, alors pourquoi elle l'a frappée ?« Qu'est-ce qui se passe ? Qui t'a frappée ? »Gilles avait également le cœur brisé, après tout, c'était sa femme qui avait partagé son lit pendant plus de vingt ans.« Qui ? Ton bon gendre, Pascal, m'a frappée ! Comment ? Oses-tu le rappeler et lui donner une leçon ? »Gisèle est devenue folle, à tel point qu'elle ne savait même pas ce qu'elle avait dit. Quoi qu'il en soit, elle détestait Pascal.En entendant cela, Gilles a sursauté, il avait changé d'avis sur Pascal, mais il ne s'attendait pas à ce que cet imbécile ose battre sa belle-mère.
Gisèle s'est énervée, a pointé Pascal du doigt en disant avec colère : « Regardez, les gars, c'est comme ça qu'il s'excuse ! S'il ne se met pas à genoux aujourd'hui, je n'accepterai pas ses excuses ! »Gisèle s'est assise froidement sur le canapé avec une mauvaise attitude.Quoi qu'il en soit, elle avait bien réfléchi et allait passer toute sa colère sur Pascal.Cette mauviette, qui était-il pour la frapper à l'hôpital ?Gilles était également furieux, pointant Pascal du doigt et hurlant : « Écoute ta mère sur ce sujet aujourd'hui, agenouille-toi et fais des excuses ! »Très affligée, Valérie ne s'attendait pas à ce que Gisèle soit si déraisonnable : « Maman, peux-tu être plus indulgente ? Veux-tu que je dise à tout le monde ce que tu as fait ? »Gisèle avait peur, Pascal avait-il dit à Valérie ce qui s'était passé ?« Qu'est-ce qui s'est passé, Valérie, tu aides un étranger ? Je suis ta mère, comment oses-tu me parler comme ça ? »Gisèle ne se souciait plus de rien, a commencé
Valérie n'en pouvait plus et a tiré Mila en lui demandant : « Mila, dis-moi la vérité. Qu'est-ce qui s'est passé à l'hôpital ? Pourquoi ma mère t'a frappée ? Pourquoi Pascal a frappé ma mère ? »Mila a baissé la tête et a reçu un regard vicieux de Gisèle.Elle a vu Pascal continuer à lui faire un clin d'œil, mais elle n'a pas pu le supporter, elle a serré les poings et a pointé Gisèle en disant : « C'est elle, elle a frappé Méline, je ne pouvais pas le supporter alors je me suis disputée avec elle, puis elle m'a frappée et Pascal lui a donné deux coups pour me rendre justice. »Deux coups ?Valérie était suspicieuse, regardant les bleus sur le visage de sa mère, était-ce le résultat de deux coups ?Il devait y avoir des secrets cachés sur ce sujet.Mais Valérie ne s'en souciait plus, car Mila avait dit que Gisèle avait frappé Méline !Cela l'a mise en colère : « Maman, pourquoi as-tu battu Méline, n'est-elle pas ta petite-fille ? »Valérie était vraiment en colère et a pleuré,
Mais l'homme tatoué en tête leur a bloqué directement le passage et a dit : « Jolie fille, ne sois pas pressée. M. Lu m'a dit que ce type cherchait les ennuis, nous sommes venus pour résoudre le problème. » « J'ai une idée. Il y a un hôtel juste à côté, tant que tu couches avec moi, je ne vais pas blesser ton petit ami, ça te va ? » « Frère Mathieu, vous n'avez qu'à donner une leçon à ce type... » Sur le côté, Fabrice s'est rendu compte que quelque chose n'allait pas. « Va-t'en ! Tu n'as pas le droit d’ouvrir la bouche quand je parle. Dégage de mon chemin ! » Mathieu lui a donné une gifle et un coup de pied en hurlant : « Comment ? Peux-tu aller à l'hôtel avec nous ? » « Oui ! » Fabrice était fidèle à Mélissa, il a montré un sourire contraint à cet instant. « Espèce d'imbécile ! Tu es dégoûtant ! » Mathieu s'est approché de Fabrice pour l'envoyer dans le coin. « Jeune maître Lu, je ne suis pas ton esclave ! Même si tu es riche, tu ne peux pas me faire fair
Mélissa s'est levée et s'est emportée contre Fabrice : « Ça suffit ! Tu es trop arrogant, Pascal est mon petit ami, je ne permettrai à personne de lui faire du mal ! » Fabrice est devenu plus furieux, a pointé Pascal du doigt et a demandé d'un air sombre : « Mélissa, tu m'accuses pour ce type ? » Il était peu convaincu dans son cœur, pourquoi le traitait-elle ainsi ? Oui, c'était à cause de cet homme appelé Pascal, c'était lui, c'était à cause de lui ! S'il n'était pas apparu, Mélissa ne l'aurait pas traité de la sorte ! « C'est à cause de toi ! » Fabrice a déversé sa colère sur Pascal, a attrapé une bouteille et l'a fracassée contre la tête de Pascal ! « Ah ! » Mélissa était si effrayée que son visage est devenu pâle et qu'elle s'est couvert la bouche en criant. La tête de Pascal allait définitivement se briser et saigner à cause de ce coup ! Fabrice a ricané, il pensait qu'avec ce coup, Pascal allait certainement lui demander pitié ! Mélissa saurait
Ce n'est que lorsque Mélissa s'est approchée que Pascal a repris ses esprits et a demandé d'un air absent : « Pourquoi es-tu là ? » Mélissa était vraiment trop belle, avec un visage petit et délicat, et bien qu'elle ne se maquille pas, sa peau était blanche et elle avait une beauté naturelle. « Tu as oublié ? Je suis venu te chercher comme promis. » Un peu mécontente, mais elle ne l'a pas montré. Ce type ne voulait pas la voir ? Pascal a secoué la tête : « Je n'ai pas le temps, je dois aller voir ma fille à l'hôpital. » Mélissa était stupéfaite, qu'est-ce qui n'allait pas chez ce type ? Elle était venue le chercher en personne et il ne l'acceptait pas ? Savait-il combien d'hommes rêvaient de sortir avec elle ? C'était la première fois qu'elle invitait un homme ! Même s'il était déjà marié, et alors ? Mélissa était une fille audacieuse, elle voulait déclarer son amour à Pascal. Même si elle ne pouvait être que sa maîtresse, cela n'avait pas d'importanc
Pascal a gratté son nez et a dit : « Ton mari n'est pas si nul, d'accord ? À partir de maintenant, je serai ton chevalier. » Valérie lui a jeté un regard. De son côté, Romain était furieux, et lorsqu'il a vu le couple marcher à deux, il a menacé : « Directeur Jiang, tu dois me donner une explication sur cette affaire aujourd'hui, sinon, je le rapporterai au conseil d'administration ! » Valérie s'est approchée, le visage froid, et a dit : « Directeur adjoint Li, si vous êtes mécontent, je m'excuse auprès de vous pour Pascal. » Après avoir dit cela, elle s'est tourné vers la foule et a dit : « Tout le monde, accueillons notre nouveau collègue, Pascal, à partir de maintenant, il sera l'assistant du bureau du directeur. » Il y avait des applaudissements enthousiastes. La plupart des gens avaient des protestations dans le cœur. Pascal était vraiment un raté. En appuyant sur sa femme, il est devenu l'assistant du bureau du directeur. Cependant, Pascal s'en fichait, il
« Pascal, pourquoi es-tu ici ? » Romain, un sourire froid aux lèvres, se tenait à l'entrée et l'a regardé d'un air amusé : « Et toi Myriam, qu'est-ce que tu fais ? Pourquoi tu n'es pas à ton poste ? Veux-tu être renvoyée ? » « Non, directeur adjoint, je suis... » Myriam voulait s'expliquer, mais Romain l'a interrompue. « Je ne veux pas entendre ton prétexte, je pense que tu ne veux simplement plus travailler. » Romain s'est assombri : « Tu es tellement irresponsable ! Tu es virée ! » Pascal a déclaré : « Romain, tu n'as pas besoin de viser les autres à cause de moi, ça n'a rien à voir avec elle. » « Pascal... » Myriam était quelque peu émue et a essuyé ses larmes. Pascal a continué en souriant : « Directeur adjoint Li, j'ai oublié de te dire qu'à partir d'aujourd'hui, je suis également membre de l'entreprise. » Quoi ? Tout le personnel de l'entreprise était stupéfait ! Pascal est devenu leur collègue ! C'était Directrice Jiang qui avait organisé
Face à la force de Zoé, Gisèle n'a pas osé lui résister du tout. Elle n'osait agir de manière arbitraire que dans sa famille. Si elle rencontrait un étranger, elle serait trop lâche pour prononcer un mot. Surtout s'il s'agissait d'une femme très forte comme Zoé, Gisèle était effrayée au plus profond de son cœur. « Moi...... » Gisèle s'est couvert le visage, ne sachant que dire. Clac ! Zoé lui a donné une autre gifle et a dit d'un ton menaçant : « Gisèle, je te préviens, laisse tomber tes pensées irréalistes. Penses-tu vraiment que les membres de ma famille Chen sont des lâches ? As-tu oublié l'avertissement que je t'ai donné en premier lieu ? » Cette femme était vraiment une personne mesquine, elle a déjà oublié ses douleurs passées. « Non, je n'ai pas... » Gisèle s'est couvert le visage et a baissé la tête, n'osant pas la regarder directement dans les yeux. Zoé l'a regardée froidement et est entrée directement dans la villa, la visitant quelques instan
« Pascal, me caches-tu quelque chose ? » a demandé Valérie, les yeux fixés sur Pascal. Pascal s'est approché et l'a serrée dans ses bras en riant : « Non, à quoi tu penses ? Je t'ai dit tout ce que j'aurais dû te dire. » Au fond de lui, Pascal pariait que Zoé n'avait rien dit. Il savait qu'il était impossible que Zoé le dise à Valérie. Ainsi, il pourrait amener Valérie et Méline à juste titre. Pourquoi il n'avait pas révélé son identité à Valérie ? Il avait ses propres raisons. Valérie venait d'une famille ordinaire, sans argent ni pouvoir. Si Pascal révélait son identité ou les ramenait chez lui, cela entraînerait inévitablement un retour de bâton de la part de la famille Yun et de nombreuses forces. Dans ce monde, la famille Yun n'était pas la seule à surveiller la famille Chen ! La situation actuelle était comme une corde de chanvre, avec de multiples forces luttant les unes contre les autres. Une fois que Pascal aurait rompu cet équilibre, une réaction en
« Valérie, pourquoi es-tu soudain venue me voir ? » Au même moment, Zoé est entrée dans le hall latéral, pleine de sourires doux, et se tenait devant Valérie. À ce moment-là, Zoé était tout à fait différente de celle qu'elle avait été dans le hall plus tôt. Valérie a vu deux dos disparaître dans la nuit et sortir de la villa. « Tante Zoé. » l'a saluée Valérie poliment. Zoé l'a tirée, s'est dirigée vers le canapé et s'est assise, ordonnant à ses hommes de préparer des collations. Pascal a quitté la villa avec Ludovic, mais il a soudain jeté un coup d'œil en arrière, car il lui semblait avoir entendu "Valérie" tout à l'heure. Secouant la tête, il a ouvert la portière et est monté dans la voiture. Quant à Valérie, elle se sentait mal à l'aise, surtout face à Zoé. Cette femme était la belle-mère de Pascal, et il y avait un malentendu entre eux. « Valérie, viens ici, goûte des dim sum fraîchement préparés, une spécialité de la région du Sud. » Zoé a souri do
Ludovic s'est assis sur le canapé, a penché la tête et a ri bruyamment : « Zoé, si tous les membres de la famille Yun sont si imprudents, quel genre de grandeur atteindront-ils à l'avenir ? » Du début à la fin, Pascal s'est assis sur le côté et n'a rien dit. C'était parce qu'il savait que c'était son deuxième oncle qui intervenait maintenant. Zoé avait l'air sombre, elle voulait tuer Ludovic dès maintenant pour que la famille Chen perde une force énorme. Cependant, elle n'osait pas. Elle avait peur du pouvoir que Ludovic avait entre les mains. Bien sûr, après toutes ces années, Ludovic avait également peur du pouvoir de Zoé. Les deux camps s'étaient battus ouvertement et secrètement pendant plus de dix ans, s'entravant mutuellement. « Ce n'est pas grave, nous sommes tous de la même famille. » Serge a pris la parole à ce moment-là, assis sur le siège principal du canapé, les mains posées sur sa canne à tête de dragon, il a jeté un coup d'œil à Pascal assis là-