La carte de VIP suprême que Lucas détenait était une carte unique. Cette carte lui permettait non seulement de se rendre au quatorzième étage qui était l’étage le plus élevé à tout moment, mais rendait également toutes les dépenses gratuites.Lucas, pourtant, ne voulait pas que Luc sache qu’il avait une telle carte. Sinon, avec le tempérament de Luc qui aimait faire étalage de sa richesse, il harcèlerait toujours Lucas pour qu’il puisse venir se distraire avec ses amis. Donc, il valait mieux ne pas laisser Luc en être au courant.Vincent a immédiatement compris la signification de Lucas et s’est empressé de sortir sa carte de membre, de la tendre au serveur et de dire : « Préparez une grande loge pour moi au neuvième étage, et je vais payer toutes les dépenses par cette carte. »Le réceptionniste a pris respectueusement la carte, puis a dit avec un sourire : « La loge 1008 du neuvième étage a déjà été préparée pour vous, vous pouvez y aller à tout moment, c’est une grande loge qui peu
Lucas a regardé Sophie et a souri en disant : « Mon beau-père est ici pour avoir une rencontre avec ses camarades de classe, donc je suis venu l’accompagner. Je ne veux pas te déranger, donc je ne l’ai pas dit à l’avance. »Sophie s’est empressée de dire : « M. Lucas, votre beau-père organise une réunion de classe ici, vous auriez dû me le dire plus tôt afin que je puisse préparer soigneusement une loge pour vous. »Lucas a ri : « C’est juste une rencontre entre des hommes âgés, ne le prends pas au sérieux. D’ailleurs, je n’ai pas dit à mon beau-père que j’avais une bonne amitié avec toi. Si tu l’accueillais en personne, il serait confus. »À ces mots, Sophie a hoché la tête. En se souvenant de quelque chose, Sophie a demandé : « Eh bien, le banquet d’anniversaire de mon grand-père aura lieu demain à midi. À l’origine, je voulais vous remettre l’invitation ce soir, mais je vous ai vu par hasard, donc je peux vous demander maintenant si vous aviez le temps de venir demain. »Après y avo
Julia a répondu avec un sourire : « C’est l’une de mes amies dont je t’ai parlé auparavant. Comme toi, elle aime beaucoup jouer aux cartes et au mah-jong. Honnête, elle ne revient jamais sur ses paroles ! »À ce moment-là, Sylvie s’est empressée de dire à cette riche femme : « Bonjour, Madame ! »La femme a doucement hoché la tête et a dit en souriant : « Bonjour, Sylvie. Je suis très heureuse de te faire connaître. Je n’ai pas beaucoup d’amies, donc, nous pouvons jouer aux cartes ensemble à l’avenir. »Sylvie s’est empressée de répondre : « Oh, c’est vraiment génial. Pour être honnête, l’une de mes amies va bientôt aller aux États-Unis, et je m’inquiète de trouver une amie avec qui je peux jouer au poker. »La femme a pris l’initiative de tendre la main et a dit poliment à Sylvie : « Je m’appelle Bercherie Bricet, enchantée ! »Sylvie avait hâte de lui serrer la main.En ce moment, Bercherie a repris : « Eh bien, tu vois, la décoration de ma villa s’est déjà terminée, et je pense que
Chacune ayant sa propre intention, tout le monde était impatient de commencer à jouer aux cartes.À ce moment-là, Bercherie a battu ses mains, et dans la seconde qui suivait, une autre femme est sortie. Bercherie l’a pointée du doigt en disant avec un sourire : « Eh bien, voici Sophia Faure, elle est aussi l’une de mes amies de poker. Bon, nous quatre commençons tout de suite ! »Sylvie était également excitée et a dit : « Très bien, commençons ! Pour être honnête, je suis déjà impatiente ! »Bercherie a dit d’une voix douce : « C’est la première fois que nous jouons aux cartes avec Sylvie, alors commençons par mettre seulement mille euros en jeu et augmentons au plus notre pari de 64 fois. »« Quoi ? » Sylvie était choquée, « Dans ce cas, la gagnante a de la chance d’avoir au maximum 64 000 euros. Mon Dieu ! Vous avez l’habitude de jouer gros jeu ? »Bercherie a agité la main en disant avec un sourire : « C’est surprenant ? Bof ! Quand je jouais avec d’autres il y a quelques jours, l’
« Hélas ! a dit Julia avec un regret délibéré, pourquoi j’ai sorti le trois ? Comment se fait-il que ma main soit si indisciplinée ! »Sylvie s’est empressée de dire : « J’ai déjà gagné, tu ne dois pas revenir sur son choix ! »En ce moment, Bercherie a dit : « Ne t’inquiète pas, Sylvie. Je suis toujours honnête. Puisque je suis l’hôtesse, je te donnerai certainement ce que tu as gagné ! »Julia a également dit : « C’est vrai, quelque mille euros est une petite somme pour Bercherie ! Ce qui est le plus important, c’est que nous pouvons nous distraire ! »Bercherie a remis 24 000 euros à Sylvie et lui a dit : « Tu as augmenté l’enjeu de 24 fois, n’est-ce pas ? Voici vingt-quatre mille, tiens ! »Sylvie, après avoir pris l’argent, était si excitée qu’elle continuait à jouer aux cartes avec les trois autres femmes.Par la suite, Sylvie était extrêmement chanceuse et a tiré toujours de parfaites cartes. De plus, avec l’aide de Julia, elle a toujours gagné. Après seulement une heure, elle a
Tout le monde est parvenu à un consensus sur ce changement, alors elles se sont mises à nouveau à tirer les cartes.Après avoir pris 26 cartes et après les avoir vues, Sylvie est devenue ravie une fois de plus ! Elle avait quatre rois, quatre reines, quatre valets, quatre dix, quatre neuf et un cinq. Tant qu’il y avait l’occasion pour elle de sortir son cinq, ses vingt-cinq cartes pouvaient être sorties d’un seul coup et elle gagnerait.Donc, cette fois-ci, il lui fallait d’attendre que quelqu’un sorte un quatre ou un trois. En pensant à cela, Sylvie ne pouvait pas cacher sa joie et a dit avec un gros sourire : « Mes cartes peuvent former une parfaite combinaison. Tant mieux ! »À ces mots, Bercherie était surprise et n’a pu s’empêcher de demander : « Mon Dieu, je ne m’attendais pas à ce que tu aies encore une fois de la chance ! Je t’envie tellement ! »Sylvie n’a pas pu retenir son sourire et a dit : « Eh bien, je ne sais pas non plus pourquoi je suis si chanceuse aujourd’hui. Ben
Bercherie a dit avec excitation : « Dans ce cas-là, j’ai gagné ! »Cela dit, elle a sorti quatre cinq, quatre six, quatre sept et deux trois. Ainsi, toutes ses cartes ont été sorties.À ce moment-là, Bercherie a repris : « Sylvie, tu n’as sorti aucune carte, non ? Alors, tu as perdu 480 mille euros. Je suis vraiment désolée ! »Sur ce, Sylvie s’est instantanément figée.Pendant seulement quelques minutes, elle a perdu 480 mille, et jusqu’à présent, elle n’a gagné que 300 mille. Maintenant, non seulement elle a perdu tout son argent gagné, mais aussi elle devait payer 180 mille elle-même.En pensant à cela, Sylvie était si triste qu’elle avait envie de pleurer.Après avoir vu l’air triste de Sylvie, Julia s’est empressée de la consoler en disant : « Sylvie, ne sois pas triste. Personne ne peut gagner tout le temps. D’ailleurs, tu as gagné à maintes reprises, une seule perte n’est pas grave du tout. Tu as encore de la chance de gagner, allez ! »Bercherie a également dit avec un sourire
Si Julia a dit cela, c’était parce qu’elle voulait consoler Sylvie afin de continuer à la tromper, mais en réalité, Sylvie était déjà plongée dans le désespoir. En fait, Sylvie était douée pour jouer aux cartes, mais elle était avare et ne voulait toujours pas admettre sa défaite. D’ailleurs, toutes ses humeurs pouvaient se lire par ses expressions. Par exemple, si elle gagnait, son visage rayonnerait, mais si elle perdait, elle laisserait échapper une expression mécontente.Elle avait gagné trois deux fois et n’avait réussi à gagner que trois cent mille environ, mais soudain, elle avait perdu deux millions, donc naturellement, elle était très triste. Deux millions, c’était presque toutes ses économies.Sylvie, elle-même, n’a jamais gagné beaucoup d’argent, et son mari était aussi incompétent, ainsi, deux millions étaient vraiment une grosse somme pour Sylvie.Auparavant, trompée par l’autrui, elle risquait de perdre tout son argent. Heureusement, Lucas l’avait aidé de le récupérer.
Lucas a dit avec un sourire : « Si tu ne me crois pas, on verra. »L’entraîneur a ricané : « Bon, je vais attendre ici et voir comment Françoise va perdre ce match. »Après avoir dit ça, il s’est directement dirigé vers le siège de spectateur à côté de lui et s’est assis, ses bras croisés devant sa poitrine. Selon lui, Française perdrait définitivement ce match.Lucas ne lui a plus prêté d’attention, mais a regardé Françoise et lui a dit à voix basse : « Ne sois pas nerveuse plus tard et lance des attaques sur ton adversaire comme je te l’ai dit, je pense que tu seras capable de vaincre cet adversaire. »Françoise a hoché la tête avec un air déterminé, puis a dit d’un ton suppliant : « Maître Lucas, après le départ de mon entraîneur, je n’aurai plus d’entraîneur à partir de maintenant. Si je gagne ce match, je devrai participer à plusieurs tours de match, pouvez-vous venir et être mon entraîneur ? »Sans réfléchir, Lucas a répondu : « Pas de problème, je serai ton entraîneur à partir d
En entendant les mots de Lucas, Françoise l’a regardé avec une grande excitation et s’est écriée : « Maître Lucas ! »Après avoir dit cela, elle a repris avec un peu de honte : « Je suis désolée, je n’ai pas bien fait. »Lucas a souri pour la réconforter : « Ce n’est pas grave. Il est normal de ne pas pouvoir trouver la faiblesse de ton adversaire. Si tu choisis la bonne stratégie, tu seras capable de gagner. »Françoise a hoché la tête avec excitation et a dit avec révérence : « Je vois. Maître Lucas, merci pour vos enseignements. »À ce moment-là, l’entraîneur à côté de Françoise a regardé Lucas avec un visage mécontent et a dit : « Qui es-tu ? As-tu le droit d’éduquer Françoise ? Connais-tu le combat libre ? Françoise est maintenant au moment le plus critique. Si elle ne peut pas changer la situation au 3ème set, elle perdra probablement. Tu lui donnes encore de mauvaises instructions, n’essaies-tu pas délibérément de lui nuire ? »Lucas a dit avec indifférence : « Ce que je viens d
Lucas pouvait voir que les coups de poing de cette boxeuse thaïlandaise étaient rapides et qu’elle était très agile. De plus, elle était presque dix centimètres plus petite que Françoise, ce qui lui permettait de maintenir l’équilibre plus facilement. D’ailleurs, la Thaïlandaise jouait intelligemment, sachant que son avantage se situait dans la partie inférieure et que celui de Françoise se situait dans la partie supérieure, elle lançait donc de fréquentes attaques à la partie inférieure de Françoise.Comme son adversaire ne cessait d’attaquer, Françoise ne pouvait que se protéger contre ses attaques et elle jouait donc un peu dans le désordre au début.Dans le premier set, la Thaïlandaise a eu beaucoup plus de coups efficaces que Françoise, de sorte qu’après un set, elle avait une avance sur Françoise.Pendant la courte pause, l’entraîneur de Françoise s’est empressé de lui donner des instructions tactiques en disant à ses oreilles.Après une courte pause de quelques minutes, le matc
Dès que William a prononcé ces mots, Lucas a immédiatement vu Françoise.Aujourd’hui, Françoise portait un soutien-gorge de sport ainsi qu’une culotte de sport, si bien que son excellente silhouette était exposée.Ce à quoi Lucas ne s’attendait pas, c’était les incroyables lignes musculaires sur le corps de Françoise. Avec ses muscules, Françoise était vraiment indifférente des autres filles.De plus, la peau de Françoise était aussi blanche que la neige, et il n’y avait pas la moindre imperfection. Ainsi, avec sa silhouette aussi stupéfiante, elle était tout simplement parfaite au point d’être impeccable.Maintenant, les longs cheveux de Françoise étaient attachés à l’arrière de sa tête et elle portait une paire de gros gants de boxe rouges aux mains, ce qui la rendait très cool.Une jeune femme à la peau brune, voire un peu bronzée, marchait aux côtés de Françoise.William l’a présentée à Lucas en disant : « Maître Lucas, ma cousine joue contre cette joueuse thaïlandaise aujourd’hui,
Lucas a hoché la tête, puis est entré dans le gymnase avec Justus.Le gymnase de la Cité J était extrêmement grand et contenait non seulement une piscine, mais aussi des salles de compétition standard pour l’athlétisme, le badminton, le tennis de table et le basket-ball et la compétition de combat libre aurait lieu dans toutes les salles, à l’exception de la piscine.L’ensemble du site était divisé en plusieurs carrés, chacun doté d’une estrade pour le match de combat libre.Justus a pointé du doigt ces estrades et les a présentées à Lucas en disant : « Maître Lucas, il y a un total de 8 estrades et ces 8 estrades correspondent à 8 groupes. 8 groupes jouent leurs préliminaires respectivement sur leurs estrades et celui qui gagne à la fin est l’un des 8 meilleurs joueurs. »Sur ce, il a désigné à nouveau l’estrade 5 et a dit : « Maître Lucas, Françoise sera en concurrence avec son rival sur l’estrade 5 et son match commence dans 10 minutes, allons-y ! »Lucas a dit oui et s’est dirigé v
Après que Lucas et Luc ont quitté la maison, ce dernier a dit avec un sourire tout en conduisant : « J’ai attendu depuis si longtemps et il y a enfin une opportunité que l’université pour les personnes âgées organise un échange culturel avec notre association de calligraphie et de peinture. Ce n’est vraiment pas facile. »Lucas a souri et a demandé : « L’as-tu déjà dit à Méline ? »Luc a souri : « Pas encore. Je prévois lui faire une surprise. Après tout, je ne l’ai pas vue depuis quelques jours. »Lucas a hoché la tête en disant : « Mais tu devrais quand même être plus prudent pour ne pas laisser Sylvie savoir que Méline est retournée en France, et encore moins la laisser savoir que tu as eu un contact avec Méline. Sinon, tous les membres de notre famille n’auront pas une vie tranquille. »Lucas connaissait très bien le caractère de Sylvie. Il y avait deux tabous qu’on ne pouvait pas mentionner devant Sylvie, l’une était l’argent et l’autre était Méline.Même si Sylvie était en colèr
Françoise a dit timidement : « Je ne suis pas une petite fille... »Lucas a souri et a demandé : « Alors qu'est-ce que tu es ? »Françoise a dit : « Je... Je... Je suis une petite beauté et une petite mignonne ! »Après avoir dit cela, sans attendre la réponse de Lucas, elle a raccroché immédiatement le téléphone d'un air timide.Lucas a écouté le changement soudain en un bip de l'autre côté du téléphone, et ne pouvait s'empêcher de secouer la tête et de rire, en se disant que cette petite fille était vraiment très mignonne....Après avoir terminé son repas, Carina s’est rendue à son studio.Son studio, qui s’était récemment agrandi par rapport à sa taille précédente, qui avait recruté quelques employés et qui avait plusieurs projets de rénovation en cours, était pour ainsi dire en plein essor.Luc s’activait tous les jours à l'Association de calligraphie et de peinture.Aujourd'hui, après le petit-déjeuner, il était impatient de se rendre à l'Association de calligraphie et de peintur
Lucas a enfilé son tablier et s’est rendu à la cuisine pour préparer le repas.Mais à ce moment-là, son téléphone portable a sonné à nouveau.Contre toute attente, l'identification de l'appelant indiquait qu'il s'agissait de Françoise, une jeune fille de la famille Raoult.Lucas se disait :« Cette petite fille n'a pas l'habitude de m'appeler souvent, aurait-elle encore des ennuis aujourd'hui ? »En pensant à cela, il s’est pressé alors de décrocher le téléphone et a demandé : « Françoise, qu'est-ce qui s’est passé ? »Françoise a dit timidement : « Monsieur Lefevre, vous vous souvenez de ce que je vous ai dit à propos de ma participation à la compétition internationale de combat pour étudiants ? »Lucas a souri et a dit : « Bien sûr que je m'en souviens, ne t'ai-je pas promis que je serais là pour t'encourager ? D'ailleurs, tu ne m'as pas dit exactement quand elle aura lieu. »Françoise a souri joyeusement et a dit : « Alors, Monsieur Lefevre, vous vous souvenez encore, je suis vra
Lorsque Lucas a entendu cela, il a dit : « Alors, nous le vendrons aussi à 150 euros la boîte, si notre médicament est plusieurs fois plus puissant et a le même prix que les médicaments d’autres pays, nous pouvons évincer directement ces médicaments japonais et coréens du même type ! »Cassandre a dit précipitamment : « Pas de problème, Monsieur Lefevre, alors je fournirai les médicaments aux distributeurs à 150 euros la boîte. »« Bien », a dit Lucas d’un ton sérieux, « essaie de produire autant que tu le peux, ne t’inquiète pas des ventes de ce médicament, nous devons maintenant vendre ce médicament non seulement aux utilisateurs nationaux, mais aussi au Japon, à la Corée et à l’Asie du Sud-Est. Nous devons non seulement les concurrencer dans notre propre pays, mais aussi les concurrencer dans leurs propres pays. Si nous voulons les vaincre, nous avons besoin de suffisamment de forces. »« Je vois, Monsieur Lefevre ! »Excité, Cassandre s’est exclamé : « Les médecines japonaises e