Martial a regardé à nouveau Lucas qui était entouré de tonnerre et d’éclairs, comme un dragon descendant dans le monde ! Martial a crié affolement : « Papa, qu’est-ce que c’est ! Tue-le vite ! Dépêche-toi ! » Les jambes de Julien ont tremblé de peur et il a dit : « Je... je ne peux pas contrôler mes mains... Ce Lucas semble être capable d’attirer le tonnerre... » Martial a été pris de panique et a dit : « Personne ne peut attirer le tonnerre, je pense qu’il fait juste semblant d’être un fantôme, fusille-le ! » Lucas a riz au nez et a dit : « Martial, si tu ne crois pas que je suis un vrai dragon du ciel, alors je te laisserai le voir de tes propres yeux ! » Ensuite, Lucas s’est retourné vers Julien et a dit froidement : « Julien, sur le chemin à l’enfer, n’oublie pas que tu es tué à cause de ton fils ! » Puis, il a levé le doigt vers Julien et a crié : « Tonnerre, descends ! » On n’a pu entendre qu’un clic fort, un faisceau de lumière était si fort qu’il a même temporairement av
Voyant que ses jambes se sont transformées en cendre volante et flottaient dans l’air, Martial était si effrayé qu’il s'est effondré et a pleuré, et en même temps il est devenu incontinent. Ce n’était qu’alors qu’il a vraiment compris que Lucas était en effet un vrai dragon du ciel, et devant lui, il n’était même pas un ver. Il a dit en air indifférent : « Depuis le moment où tu as médité un plan sur ma femme, tu était destiné à n’avoir qu'un seul chemin à parcourir, c’est le chemin à l’enfer ! » En écoutant ces mots, Martial a été instantanément tellement effrayé que son corps a tremblé de façon incontrôlable.« Le chemin à l’enfer ? », en pensant à cela, il s’est encore plus effondré, a pleuré de rage et de désespoir, il a supplié : « Maître Lefevre, j’ai déjà perdu les deux jambes et je suis complètement handicapé. S’il vous plaît, épargnez-moi cette fois. S’il vous plaît ! » Lucas a ricané : « Sur le chemin à l’enfer, n’as-tu pas envie d’accompagner ton père ? N’oublie pas, il e
« N'es-tu pas seulement un gendre matrilocal, Lucas, qui est connu pour un salaud ? » Voyant qu’il n’osait pas parler, Lucas a dit avec un sourire : « Tu crois certainement qu’au plus je ne suis qu’un salaud, n’est-ce pas ? » Martial n’a pas osé lui rependre.Lucas a souri légèrement et a dit : « Franchement, je suis le jeune maître de la famille Lefevre de la Capitale Y et le président du Groupe de Florès. Que penses-tu que ta famille est devant moi ? » Martial a été terrifié tout d’un coup... « La famille Lefevre ? N’est-ce pas la famille au top du pays ? Pourquoi... Pourquoi le jeune maître de la famille Lefevre est-il venu dans la petite famille Jolivet de la Cité J pour être un gendre matrilocal ? » Il n’a pas pu s’empêcher de demander : « Je ne comprends pas... Je ne comprends pas... Si vous êtes vraiment le jeune maître de la famille Lefevre, pourquoi vous rester dans la famille Jolivet de votre plein gré et à être ridiculisé ? Vous pouvez évidemment faire la famille Jolive
En ce moment, Sylvie qui était à côté d’elle, a poussé un soupir de soulagement, a tapoté sa poitrine et a murmuré : « Quelle chance aujourd’hui ! J’ai presque été violée par ce Julien... » Carina l’a regardée et dit d’impuissance : « Maman, peux-tu faire attention à tout à l'avenir ? Sache le bien avant d’être vendue ! Si ce n’était pas Lucas aujourd’hui, nous péririons toutes les deux ! » Sylvie savait qu’elle avait tort, mais elle a dit à contrecœur : « Quel est le problème? Je suis aussi une victime ! De plus, cette affaire elle-même a été causée par Lucas, s’il n’avait pas provoqué Martial, nous aurions pu connaître un tel danger ? Après tout, tout est de sa faute ! » Carina a dit d’un ton fâché : « Pourquoi es-tu déraisonnable ! » Ceci dit, elle a poussé la portière en colère et elle est descendue de la voiture, montée à l’étage... Voyant Carina monter à l’étage, Sylvie a ouvert précipitamment la portière de la voiture et l’a poursuivie.Lucas les a rapidement suivies. Quand
Ceci dit, elle a dit à Lucas : « Chéri, va faire la valise ! » Bien sûr que Lucas a hoché la tête à plusieurs reprises et a répondu : « D’accord, je la fais tout de suite. » Carina a sorti son téléphone portable et a dit à Sylvie : « Je vais appeler mon père et lui dire que je vais déménager. Vous pouvez vivre tous les deux après. Peu importe ce que tu auras fait de mal, je ne te blâmerai plus. »Sylvie a immédiatement paniqué. Dans sa vie, son seul espoir était Carina. Sinon, elle ne pouvait jamais retrouver l’espoir dans sa vie avec de telles capacités de Luc. Cependant, cette fois-ci, Carina semblait avoir une attitude très ferme. Si elle appellerait vraiment Luc, il n’y aurait pas de place pour changer cette affaire.Alors elle s’est précipitée, a serré la jambe de Carina dans ses bras, « Carina, ne quitte pas maman, Carina ! Maman a tort, c’est bon ? Maman sait vraiment avoir tort ! C’est la faute de maman que maman était avide pour les petits gains. Je t’assure que je le change
Comme Sylvie avait reconnu sa faute et avait promis qu’elle ne commettrait pas de telles erreurs, Carina a décidé de lui pardonner.À la dérobée, elle a dit à Lucas : « Lucas, ma mère est juste comme ça, il ne faut pas trop lui en vouloir. Après tout, elle a promis de corriger ses fautes, fais confiance en elle, d’accord ? »En fin de compte, Sylvie était la mère de la femme de Lucas, ce n’était pas convenant pour lui de la blâmer, donc il ne pouvait que sourire et dire : « Je sais, chérie, tu peux prendre ta propre décision sans prendre moi en considération. Je suis ton mari et elle est ma belle-mère, je ne me retournerai pas contre elle. »Carina, émue, a doucement étreint Lucas dans ses bras en disant : « Merci infiniment, Lucas. Sans toi, maman et moi n’aurions pu partir vivantes. »Lucas a ri : « Arrête, chérie, ne me remercie pas toujours. »« D’accord, a répondu Carina en hochant la tête, eh bien, ne déménageons pas pour le moment, qu’en penses-tu ? »Bien que Lucas veuille vrai
Pendant ce temps, Garcia, qui avait été émasculé par Lucas, était chez Mme Jolivet et attendait l’appel de Julien.La nuit dernière, il avait rencontré Julien et Martial qui voulaient brûler le Pavillon de soin à tous de Silvan, et il a constaté que ces deux personnes étaient si stupides qu’elles pouvaient être dupées.Garcia avait initialement l’intention d’inciter Julien et Martial à faire partir Silvan, puis il changerait la fausse pilule qu’il avait préparée contre la vraie pilule de Silvan.S’il pouvait obtenir la vraie pilule de Silvan, il serait capable de retrouver son ancienne masculinité.Cependant, sans recevoir l’appel de Julien et de Martial, Garcia était un peu anxieux.Ne sachant pas comment s’appelait Julian, Garcia n’avait que le numéro de téléphone de Julien, il a donc dû lui donner un coup de fil, mais personne n’y répondait.Plus le temps s’écoulait, plus Garcia s’énervait.Mme Jolivet, Michel, Julia, Laura et Léo, tous les cinq membres de la famille Jolivet regarda
Si Lucas était vraiment si fort, Garcia ne serait pas capable de se venger de lui. De plus, il lui serait impossible d’obtenir la pilule miraculeuse de Silvan, parce que Julien et Martial ont disparu et qu’il n’y avait pas de bouc émissaire.À ce moment-là, Mme Jolivet a regardé Garcia et lui a dit d’un ton flatteur : « M. Garcia, pourquoi ne pas aller à un grand hôpital à la Capitale Y, peut-être que vous pouvez être guéri là-bas. »Maintenant, Garcia était sa dernière lueur d’espoir, donc Mme Jolivet était encore plus anxieuse que lui ; si Garcia ne pouvait pas se rétablir, elle perdrait le reste de l’investissement de 70 millions.À ces mots, Léo a également dit pour faire plaisir à Garcia : « C’est vrai, M. Garcia, je pense que Silvan est juste une personne qui cherche la gloire et la fortune. Il considère Lucas, ce bon à rien, comme son ami, je crois qu’il n’a pas le moindre talent ! »Pourtant, Garcia, après avoir entendu leurs mots, a dit avec mécontentement : « Tais-toi, je sai
Lucas a dit avec un sourire : « Si tu ne me crois pas, on verra. »L’entraîneur a ricané : « Bon, je vais attendre ici et voir comment Françoise va perdre ce match. »Après avoir dit ça, il s’est directement dirigé vers le siège de spectateur à côté de lui et s’est assis, ses bras croisés devant sa poitrine. Selon lui, Française perdrait définitivement ce match.Lucas ne lui a plus prêté d’attention, mais a regardé Françoise et lui a dit à voix basse : « Ne sois pas nerveuse plus tard et lance des attaques sur ton adversaire comme je te l’ai dit, je pense que tu seras capable de vaincre cet adversaire. »Françoise a hoché la tête avec un air déterminé, puis a dit d’un ton suppliant : « Maître Lucas, après le départ de mon entraîneur, je n’aurai plus d’entraîneur à partir de maintenant. Si je gagne ce match, je devrai participer à plusieurs tours de match, pouvez-vous venir et être mon entraîneur ? »Sans réfléchir, Lucas a répondu : « Pas de problème, je serai ton entraîneur à partir d
En entendant les mots de Lucas, Françoise l’a regardé avec une grande excitation et s’est écriée : « Maître Lucas ! »Après avoir dit cela, elle a repris avec un peu de honte : « Je suis désolée, je n’ai pas bien fait. »Lucas a souri pour la réconforter : « Ce n’est pas grave. Il est normal de ne pas pouvoir trouver la faiblesse de ton adversaire. Si tu choisis la bonne stratégie, tu seras capable de gagner. »Françoise a hoché la tête avec excitation et a dit avec révérence : « Je vois. Maître Lucas, merci pour vos enseignements. »À ce moment-là, l’entraîneur à côté de Françoise a regardé Lucas avec un visage mécontent et a dit : « Qui es-tu ? As-tu le droit d’éduquer Françoise ? Connais-tu le combat libre ? Françoise est maintenant au moment le plus critique. Si elle ne peut pas changer la situation au 3ème set, elle perdra probablement. Tu lui donnes encore de mauvaises instructions, n’essaies-tu pas délibérément de lui nuire ? »Lucas a dit avec indifférence : « Ce que je viens d
Lucas pouvait voir que les coups de poing de cette boxeuse thaïlandaise étaient rapides et qu’elle était très agile. De plus, elle était presque dix centimètres plus petite que Françoise, ce qui lui permettait de maintenir l’équilibre plus facilement. D’ailleurs, la Thaïlandaise jouait intelligemment, sachant que son avantage se situait dans la partie inférieure et que celui de Françoise se situait dans la partie supérieure, elle lançait donc de fréquentes attaques à la partie inférieure de Françoise.Comme son adversaire ne cessait d’attaquer, Françoise ne pouvait que se protéger contre ses attaques et elle jouait donc un peu dans le désordre au début.Dans le premier set, la Thaïlandaise a eu beaucoup plus de coups efficaces que Françoise, de sorte qu’après un set, elle avait une avance sur Françoise.Pendant la courte pause, l’entraîneur de Françoise s’est empressé de lui donner des instructions tactiques en disant à ses oreilles.Après une courte pause de quelques minutes, le matc
Dès que William a prononcé ces mots, Lucas a immédiatement vu Françoise.Aujourd’hui, Françoise portait un soutien-gorge de sport ainsi qu’une culotte de sport, si bien que son excellente silhouette était exposée.Ce à quoi Lucas ne s’attendait pas, c’était les incroyables lignes musculaires sur le corps de Françoise. Avec ses muscules, Françoise était vraiment indifférente des autres filles.De plus, la peau de Françoise était aussi blanche que la neige, et il n’y avait pas la moindre imperfection. Ainsi, avec sa silhouette aussi stupéfiante, elle était tout simplement parfaite au point d’être impeccable.Maintenant, les longs cheveux de Françoise étaient attachés à l’arrière de sa tête et elle portait une paire de gros gants de boxe rouges aux mains, ce qui la rendait très cool.Une jeune femme à la peau brune, voire un peu bronzée, marchait aux côtés de Françoise.William l’a présentée à Lucas en disant : « Maître Lucas, ma cousine joue contre cette joueuse thaïlandaise aujourd’hui,
Lucas a hoché la tête, puis est entré dans le gymnase avec Justus.Le gymnase de la Cité J était extrêmement grand et contenait non seulement une piscine, mais aussi des salles de compétition standard pour l’athlétisme, le badminton, le tennis de table et le basket-ball et la compétition de combat libre aurait lieu dans toutes les salles, à l’exception de la piscine.L’ensemble du site était divisé en plusieurs carrés, chacun doté d’une estrade pour le match de combat libre.Justus a pointé du doigt ces estrades et les a présentées à Lucas en disant : « Maître Lucas, il y a un total de 8 estrades et ces 8 estrades correspondent à 8 groupes. 8 groupes jouent leurs préliminaires respectivement sur leurs estrades et celui qui gagne à la fin est l’un des 8 meilleurs joueurs. »Sur ce, il a désigné à nouveau l’estrade 5 et a dit : « Maître Lucas, Françoise sera en concurrence avec son rival sur l’estrade 5 et son match commence dans 10 minutes, allons-y ! »Lucas a dit oui et s’est dirigé v
Après que Lucas et Luc ont quitté la maison, ce dernier a dit avec un sourire tout en conduisant : « J’ai attendu depuis si longtemps et il y a enfin une opportunité que l’université pour les personnes âgées organise un échange culturel avec notre association de calligraphie et de peinture. Ce n’est vraiment pas facile. »Lucas a souri et a demandé : « L’as-tu déjà dit à Méline ? »Luc a souri : « Pas encore. Je prévois lui faire une surprise. Après tout, je ne l’ai pas vue depuis quelques jours. »Lucas a hoché la tête en disant : « Mais tu devrais quand même être plus prudent pour ne pas laisser Sylvie savoir que Méline est retournée en France, et encore moins la laisser savoir que tu as eu un contact avec Méline. Sinon, tous les membres de notre famille n’auront pas une vie tranquille. »Lucas connaissait très bien le caractère de Sylvie. Il y avait deux tabous qu’on ne pouvait pas mentionner devant Sylvie, l’une était l’argent et l’autre était Méline.Même si Sylvie était en colèr
Françoise a dit timidement : « Je ne suis pas une petite fille... »Lucas a souri et a demandé : « Alors qu'est-ce que tu es ? »Françoise a dit : « Je... Je... Je suis une petite beauté et une petite mignonne ! »Après avoir dit cela, sans attendre la réponse de Lucas, elle a raccroché immédiatement le téléphone d'un air timide.Lucas a écouté le changement soudain en un bip de l'autre côté du téléphone, et ne pouvait s'empêcher de secouer la tête et de rire, en se disant que cette petite fille était vraiment très mignonne....Après avoir terminé son repas, Carina s’est rendue à son studio.Son studio, qui s’était récemment agrandi par rapport à sa taille précédente, qui avait recruté quelques employés et qui avait plusieurs projets de rénovation en cours, était pour ainsi dire en plein essor.Luc s’activait tous les jours à l'Association de calligraphie et de peinture.Aujourd'hui, après le petit-déjeuner, il était impatient de se rendre à l'Association de calligraphie et de peintur
Lucas a enfilé son tablier et s’est rendu à la cuisine pour préparer le repas.Mais à ce moment-là, son téléphone portable a sonné à nouveau.Contre toute attente, l'identification de l'appelant indiquait qu'il s'agissait de Françoise, une jeune fille de la famille Raoult.Lucas se disait :« Cette petite fille n'a pas l'habitude de m'appeler souvent, aurait-elle encore des ennuis aujourd'hui ? »En pensant à cela, il s’est pressé alors de décrocher le téléphone et a demandé : « Françoise, qu'est-ce qui s’est passé ? »Françoise a dit timidement : « Monsieur Lefevre, vous vous souvenez de ce que je vous ai dit à propos de ma participation à la compétition internationale de combat pour étudiants ? »Lucas a souri et a dit : « Bien sûr que je m'en souviens, ne t'ai-je pas promis que je serais là pour t'encourager ? D'ailleurs, tu ne m'as pas dit exactement quand elle aura lieu. »Françoise a souri joyeusement et a dit : « Alors, Monsieur Lefevre, vous vous souvenez encore, je suis vra
Lorsque Lucas a entendu cela, il a dit : « Alors, nous le vendrons aussi à 150 euros la boîte, si notre médicament est plusieurs fois plus puissant et a le même prix que les médicaments d’autres pays, nous pouvons évincer directement ces médicaments japonais et coréens du même type ! »Cassandre a dit précipitamment : « Pas de problème, Monsieur Lefevre, alors je fournirai les médicaments aux distributeurs à 150 euros la boîte. »« Bien », a dit Lucas d’un ton sérieux, « essaie de produire autant que tu le peux, ne t’inquiète pas des ventes de ce médicament, nous devons maintenant vendre ce médicament non seulement aux utilisateurs nationaux, mais aussi au Japon, à la Corée et à l’Asie du Sud-Est. Nous devons non seulement les concurrencer dans notre propre pays, mais aussi les concurrencer dans leurs propres pays. Si nous voulons les vaincre, nous avons besoin de suffisamment de forces. »« Je vois, Monsieur Lefevre ! »Excité, Cassandre s’est exclamé : « Les médecines japonaises e