Vincent a immédiatement répondu : « M. Lucas, à la Cité J, j’ai plus de dix mille disciples qui travaillent dans des boîtes de nuit, des bars et des karaokés. Dîtes-moi à qui vous voulez donner des leçons, je vous promets que d’innombrables personnes vont le battre dans la rue tous les jours. »Sur ce, Léo était tellement paniqué qu’il s’est agenouillé devant Lucas en disant : « Lucas, mon bon beau-frère, je plaisantais, ne sois pas en colère contre moi, je m’en prie. »Lucas lui a demandé d’une voix froide : « Tu reconnais ta faute ? »Léo s’est empressé de répondre : « Oui, je ne serai plus arrogant. » Il avait vraiment peur à ce moment-là. À la Cité J, Vincent avait de nombreux subalternes. S’ils venaient tous le battre, il serait probablement battu à mort.Lucas, le téléphone à la main, a dit d’une voix froide : « Alors, excuse-toi auprès de moi. »Sachant que Lucas ne le laisserait pas tranquille facilement, Léo, sans dire un mot, a immédiatement fait des courbettes en disant : «
Après avoir entendu ces mots, Léo, qui était presque mort de peur, s’est empressé de s’écrier : « Grand-mère, dis la vérité ! Tu dois dire la vérité à Lucas ! Sinon, je pourrais mourir ! »Michel avait aussi tellement peur qu’il tremblait, alors il s’est empressé de supplier Mme Jolivet : « Maman, dis la vérité, s’il te plaît ! »Mme Jolivet avait renoncé à hésiter. Elle a soupiré, puis elle a dit : « Ce que Lucas avait dit était vrai. Je suis venue ici pour inciter Carina à revenir travailler au Groupe des Jolivet en excitant sa pitié. »Après avoir dit ça, Mme Jolivet a essayé d’inventer des prétextes, alors elle a repris : « Mais je… »Lucas l’a directement interrompue : « Tais-toi. Puisque tu as terminé tes paroles, tu peux partir maintenant. »Mme Jolivet l’a regardé avec colère et a dit : « Non, je n’ai pas terminé ma phrase. Laisse-moi te faire connaître la vérité, je connais des difficultés… »Lucas a dit froidement : « Si tu connais des difficultés maintenant, c’est parce que
Avec tant de dépenses et sans bénéfices, le Groupe des Jolivet ne pouvait plus tenir.D’ailleurs, Laura avait eu à l’origine une chance d’épouser Félix, mais après, la famille Tailleur a rompu le contrat de mariage avec la famille Jolivet. Ainsi, la famille Jolivet a perdu son dernier espoir.En pensant à cela, Mme Jolivet n’a pu s’empêcher de fondre en larmes.Après la mort de son mari, elle tenait les rênes de la famille et elle n’avait jamais imaginé la chute de sa famille.Si les affaires ne pouvaient pas prendre une bonne tournure, le Groupe des Jolivet devrait prononcer sa faillite et elle serait accablée d’énormes dettes. Si c’était le cas, elle n’aurait pas d’autre choix que de vendre sa ville. Mme Jolivet avait vraiment de regret, parce que tout cela était dû à son égoïsme.Si elle n’avait pas essayé d’arracher la Villa de Paradis à Lucas, Luc et Carina n’auraient pas rompu avec la famille Jolivet.Si Carina n’avait pas quitté le Groupe des Jolivet, le Groupe de Florès n’aura
Au moment où tous les membres de la famille Jolivet étaient plongés dans la tristesse, deux Rolls-Royce se sont lentement arrêtées à l’entrée de leur villa.Dans la seconde qui suivait, six gardes du corps vêtus de costumes noirs sont descendus des deux voitures, l’un d’eux a ouvert la porte arrière de la voiture derrière, et un homme d’âge moyen d’environ cinquante ans en est sorti.Cet homme était vêtu d’un magnifique costume fabriqué à la main, et il avait l’air très distingué.Dès que l’homme d’âge moyen est sorti de la voiture, il a tenu un épais livre de l’arbre généalogique de la famille Jolivet et a demandé à Didier, son assistant : « Est-ce la famille Jolivet de la Cité J ? »Didier a hoché la tête et a répondu : « Oui, Monsieur, j’ai déjà confirmé que c’est la maison de la famille Jolivet. »« Bien. » L’homme d’âge moyen a hoché la tête, a regardé la villa et s’est lamenté : « Je ne m’attendais pas à ce que la maison de la famille Jolivet de la Cité J soit si modeste, il semb
Après une pause, Garcia a repris : « Peut-être qu’ils se sont rencontrés là-haut. »Michel a hoché la tête à plusieurs reprises et a dit humblement : « M. Garcia, entrez ! »Garcia a souri, « Merci beaucoup ! »Michel s’est empressé de répondre : « Avec plaisir ! »Michel a conduit Garcia jusqu’au salon. Une fois entré au salon, il a dit en hâte à Mme Jolivet : « Maman ! Garcia, le PDG du Groupe de sincérité, est arrivé ! »À ces mots, Mme Jolivet a sursauté !Le Groupe de sincérité ? C’était un grand groupe de renommée dans tout le pays !Pourquoi s’est-il retrouvé chez eux ?Même si elle était très perplexe, elle s’est quand même levée pour le saluer avec beaucoup d’excitation et a dit : « Bienvenue, M. Garcia, veuillez me pardonner de ne pas avoir pu vous accueillir ! »Garcia a souri en disant : « Ce n’est pas grave, Madame, ne le prenez pas au sérieux. » Soudain, il a vu à Laura qui venait de pleurer pendant un long moment, dont les yeux étaient rouges. Au premier abord, il trouv
En pensant à cela, Mme Jolivet n’a pas pu retenir son excitation et a dit à Garcia : « Garcia, votre père est vraiment un honnête homme qui sait payer de retour la gentillesse de l’autrui ! C’est incroyable qu’il se souvienne encore de choses qui se sont passées il y a tant d’années ! »Garcia a hoché la tête : « Après tout, M. Jolivet lui a sauvé la vie. Puisqu’il s’agit d’une faveur salvatrice, mon père n’osait pas l’oublier. »Après avoir dit cela, Garcia a sorti de sa poche une boîte à bijoux rouge de haute qualité et l’a tendue à Mme Jolivet en disant : « Mon père m’a demandé de m’assurer que cet objet soit livré au M. Jolivet, mais il est décédé, alors je vais vous le donner ! »Mme Jolivet avait pensé qu’il s’agissait d’un trésor, alors elle a pris la boîte avec excitation. Cependant, quand elle l’a ouverte, elle s’est figée et le sourire sur son visage a disparu.Étonnamment, c’était une tête de balle rouillée !Mme Jolivet a regardé Garcia avec une grande perplexité : « Garcia
Mme Jolivet s’est empressée de présenter Michel en premier, « M. Garcia, voici mon fils aîné, Michel. »Garcia a fait un signe de tête à Michel, semblant ne pas s’intéresser à lui.Puis, Mme Jolivet a présenté Léo en disant : « Voici mon petit-fils, Léo. »Léo a dit d’un ton flatteur : « Enchanté, M. Garcia. »Garcia a hoché la tête d’une manière nonchalante, et avant que Mme Jolivet ne présente Laura, il avait déjà tourné les yeux vers Laura.Voyant cela, Mme Jolivet a laissé échapper un sourire satisfait avant de présenter Laura en disant : « M. Garcia, voici ma petite-fille, Laura. »À ces mots, Garcia a été instantanément soulagé.Puisque c’était la première fois qu’il est venu chez Mme Jolivet, il avait peur que Laura soit la femme de Léo. Si c’était le cas, il n’aurait pas la chance de poursuivre Laura. Heureusement, elle était la petite-fille de Mme Jolivet.Bien que Laura ne soit pas la plus belle femme, elle était certainement bien charmante, sinon, Félix ne s’était pas attach
Après avoir entendu que Garcia pouvait leur aider, Mme Jolivet est devenue folle de joie.Quant à Laura, elle n’était pas excitée du tout, parce qu’elle ne s’intéressait pas à l’avenir du Groupe des Jolivet. Elle voulait seulement trouver un riche homme et l’épouser, dans ce cas-là, sa vie aurait connu un changement complet.Quand elle serait la femme d’un riche homme, que le Groupe des Jolivet fît faillite ou non ne la regarderait plus.Malheureusement, Félix avait rompu avec elle, ce qui a jeté Laura dans l’accablement.Quand Mme Jolivet a vu l’air indifférent de Laura, elle s’est empressée de lui donner une poussée en disant : « Laura, pourquoi restes-tu figée là ? Dépêche-toi de remercier M. Garcia ! »Laura, confuse, a levé les yeux et a demandé : « Pourquoi dois-je le remercier ? »Mme Jolivet a répondu avec exaspération : « Parce qu’il est capable de nous aider ! Tu es stupide ? »Laura a répliqué : « Ce qui m’importe, c’est mon mariage avec Félix, pas le Groupe des Jolivet ! »
Lucas a dit avec un sourire : « Si tu ne me crois pas, on verra. »L’entraîneur a ricané : « Bon, je vais attendre ici et voir comment Françoise va perdre ce match. »Après avoir dit ça, il s’est directement dirigé vers le siège de spectateur à côté de lui et s’est assis, ses bras croisés devant sa poitrine. Selon lui, Française perdrait définitivement ce match.Lucas ne lui a plus prêté d’attention, mais a regardé Françoise et lui a dit à voix basse : « Ne sois pas nerveuse plus tard et lance des attaques sur ton adversaire comme je te l’ai dit, je pense que tu seras capable de vaincre cet adversaire. »Françoise a hoché la tête avec un air déterminé, puis a dit d’un ton suppliant : « Maître Lucas, après le départ de mon entraîneur, je n’aurai plus d’entraîneur à partir de maintenant. Si je gagne ce match, je devrai participer à plusieurs tours de match, pouvez-vous venir et être mon entraîneur ? »Sans réfléchir, Lucas a répondu : « Pas de problème, je serai ton entraîneur à partir d
En entendant les mots de Lucas, Françoise l’a regardé avec une grande excitation et s’est écriée : « Maître Lucas ! »Après avoir dit cela, elle a repris avec un peu de honte : « Je suis désolée, je n’ai pas bien fait. »Lucas a souri pour la réconforter : « Ce n’est pas grave. Il est normal de ne pas pouvoir trouver la faiblesse de ton adversaire. Si tu choisis la bonne stratégie, tu seras capable de gagner. »Françoise a hoché la tête avec excitation et a dit avec révérence : « Je vois. Maître Lucas, merci pour vos enseignements. »À ce moment-là, l’entraîneur à côté de Françoise a regardé Lucas avec un visage mécontent et a dit : « Qui es-tu ? As-tu le droit d’éduquer Françoise ? Connais-tu le combat libre ? Françoise est maintenant au moment le plus critique. Si elle ne peut pas changer la situation au 3ème set, elle perdra probablement. Tu lui donnes encore de mauvaises instructions, n’essaies-tu pas délibérément de lui nuire ? »Lucas a dit avec indifférence : « Ce que je viens d
Lucas pouvait voir que les coups de poing de cette boxeuse thaïlandaise étaient rapides et qu’elle était très agile. De plus, elle était presque dix centimètres plus petite que Françoise, ce qui lui permettait de maintenir l’équilibre plus facilement. D’ailleurs, la Thaïlandaise jouait intelligemment, sachant que son avantage se situait dans la partie inférieure et que celui de Françoise se situait dans la partie supérieure, elle lançait donc de fréquentes attaques à la partie inférieure de Françoise.Comme son adversaire ne cessait d’attaquer, Françoise ne pouvait que se protéger contre ses attaques et elle jouait donc un peu dans le désordre au début.Dans le premier set, la Thaïlandaise a eu beaucoup plus de coups efficaces que Françoise, de sorte qu’après un set, elle avait une avance sur Françoise.Pendant la courte pause, l’entraîneur de Françoise s’est empressé de lui donner des instructions tactiques en disant à ses oreilles.Après une courte pause de quelques minutes, le matc
Dès que William a prononcé ces mots, Lucas a immédiatement vu Françoise.Aujourd’hui, Françoise portait un soutien-gorge de sport ainsi qu’une culotte de sport, si bien que son excellente silhouette était exposée.Ce à quoi Lucas ne s’attendait pas, c’était les incroyables lignes musculaires sur le corps de Françoise. Avec ses muscules, Françoise était vraiment indifférente des autres filles.De plus, la peau de Françoise était aussi blanche que la neige, et il n’y avait pas la moindre imperfection. Ainsi, avec sa silhouette aussi stupéfiante, elle était tout simplement parfaite au point d’être impeccable.Maintenant, les longs cheveux de Françoise étaient attachés à l’arrière de sa tête et elle portait une paire de gros gants de boxe rouges aux mains, ce qui la rendait très cool.Une jeune femme à la peau brune, voire un peu bronzée, marchait aux côtés de Françoise.William l’a présentée à Lucas en disant : « Maître Lucas, ma cousine joue contre cette joueuse thaïlandaise aujourd’hui,
Lucas a hoché la tête, puis est entré dans le gymnase avec Justus.Le gymnase de la Cité J était extrêmement grand et contenait non seulement une piscine, mais aussi des salles de compétition standard pour l’athlétisme, le badminton, le tennis de table et le basket-ball et la compétition de combat libre aurait lieu dans toutes les salles, à l’exception de la piscine.L’ensemble du site était divisé en plusieurs carrés, chacun doté d’une estrade pour le match de combat libre.Justus a pointé du doigt ces estrades et les a présentées à Lucas en disant : « Maître Lucas, il y a un total de 8 estrades et ces 8 estrades correspondent à 8 groupes. 8 groupes jouent leurs préliminaires respectivement sur leurs estrades et celui qui gagne à la fin est l’un des 8 meilleurs joueurs. »Sur ce, il a désigné à nouveau l’estrade 5 et a dit : « Maître Lucas, Françoise sera en concurrence avec son rival sur l’estrade 5 et son match commence dans 10 minutes, allons-y ! »Lucas a dit oui et s’est dirigé v
Après que Lucas et Luc ont quitté la maison, ce dernier a dit avec un sourire tout en conduisant : « J’ai attendu depuis si longtemps et il y a enfin une opportunité que l’université pour les personnes âgées organise un échange culturel avec notre association de calligraphie et de peinture. Ce n’est vraiment pas facile. »Lucas a souri et a demandé : « L’as-tu déjà dit à Méline ? »Luc a souri : « Pas encore. Je prévois lui faire une surprise. Après tout, je ne l’ai pas vue depuis quelques jours. »Lucas a hoché la tête en disant : « Mais tu devrais quand même être plus prudent pour ne pas laisser Sylvie savoir que Méline est retournée en France, et encore moins la laisser savoir que tu as eu un contact avec Méline. Sinon, tous les membres de notre famille n’auront pas une vie tranquille. »Lucas connaissait très bien le caractère de Sylvie. Il y avait deux tabous qu’on ne pouvait pas mentionner devant Sylvie, l’une était l’argent et l’autre était Méline.Même si Sylvie était en colèr
Françoise a dit timidement : « Je ne suis pas une petite fille... »Lucas a souri et a demandé : « Alors qu'est-ce que tu es ? »Françoise a dit : « Je... Je... Je suis une petite beauté et une petite mignonne ! »Après avoir dit cela, sans attendre la réponse de Lucas, elle a raccroché immédiatement le téléphone d'un air timide.Lucas a écouté le changement soudain en un bip de l'autre côté du téléphone, et ne pouvait s'empêcher de secouer la tête et de rire, en se disant que cette petite fille était vraiment très mignonne....Après avoir terminé son repas, Carina s’est rendue à son studio.Son studio, qui s’était récemment agrandi par rapport à sa taille précédente, qui avait recruté quelques employés et qui avait plusieurs projets de rénovation en cours, était pour ainsi dire en plein essor.Luc s’activait tous les jours à l'Association de calligraphie et de peinture.Aujourd'hui, après le petit-déjeuner, il était impatient de se rendre à l'Association de calligraphie et de peintur
Lucas a enfilé son tablier et s’est rendu à la cuisine pour préparer le repas.Mais à ce moment-là, son téléphone portable a sonné à nouveau.Contre toute attente, l'identification de l'appelant indiquait qu'il s'agissait de Françoise, une jeune fille de la famille Raoult.Lucas se disait :« Cette petite fille n'a pas l'habitude de m'appeler souvent, aurait-elle encore des ennuis aujourd'hui ? »En pensant à cela, il s’est pressé alors de décrocher le téléphone et a demandé : « Françoise, qu'est-ce qui s’est passé ? »Françoise a dit timidement : « Monsieur Lefevre, vous vous souvenez de ce que je vous ai dit à propos de ma participation à la compétition internationale de combat pour étudiants ? »Lucas a souri et a dit : « Bien sûr que je m'en souviens, ne t'ai-je pas promis que je serais là pour t'encourager ? D'ailleurs, tu ne m'as pas dit exactement quand elle aura lieu. »Françoise a souri joyeusement et a dit : « Alors, Monsieur Lefevre, vous vous souvenez encore, je suis vra
Lorsque Lucas a entendu cela, il a dit : « Alors, nous le vendrons aussi à 150 euros la boîte, si notre médicament est plusieurs fois plus puissant et a le même prix que les médicaments d’autres pays, nous pouvons évincer directement ces médicaments japonais et coréens du même type ! »Cassandre a dit précipitamment : « Pas de problème, Monsieur Lefevre, alors je fournirai les médicaments aux distributeurs à 150 euros la boîte. »« Bien », a dit Lucas d’un ton sérieux, « essaie de produire autant que tu le peux, ne t’inquiète pas des ventes de ce médicament, nous devons maintenant vendre ce médicament non seulement aux utilisateurs nationaux, mais aussi au Japon, à la Corée et à l’Asie du Sud-Est. Nous devons non seulement les concurrencer dans notre propre pays, mais aussi les concurrencer dans leurs propres pays. Si nous voulons les vaincre, nous avons besoin de suffisamment de forces. »« Je vois, Monsieur Lefevre ! »Excité, Cassandre s’est exclamé : « Les médecines japonaises e