Yann a rapidement décroché le téléphone, et Sylvie s’est empressée de dire : « Allô ? C’est la mère de Carina qui est à l’appareil... »En effet, lorsque Yann avait rencontré Carina au banquet la dernière fois, elle l’avait émerveillée.Ces derniers jours, il se demandait comment approcher Carina. Par coïncidence, sa mère l’a appelé. Il a supposé que Sylvie ait rencontré des difficultés, alors, il devait saisir cette opportunité de lui offrir son aide.En pensant à cela, il a immédiatement dit poliment : « Mme Sylvie, avez-vous des problèmes ? »« Oui, j’ai besoin de ton aide, a dit Sylvie d’un ton anxieux, Yann, j’ai dépensé toutes mes économies pour contracter des assurances avec l’Entreprise de Bonheur, mais maintenant, j’ai constaté que j’ai été dupée par cette compagnie. Peux-tu m’aider à récupérer mon argent ? » Sur ce, Yann, ravi, a décidé de se montrer compétent, il a donc dit avec confiance : « Ne vous inquiétez pas. Je vais vous chercher et je vous aiderai certainement à ré
« Si ma fille pouvait l’épouser, je mourrais de joie ! -Tu rêves ! Même si tu vas mourir, ta fille ne sera pas digne de lui ! »À ce moment-là, après avoir vu Yann, Sylvie a immédiatement couru vers lui et lui a dit avec un regard ardent : « Yann, tu es enfin là ! Je vais mourir d’angoisse ! »Yann a répondu avec un sourire : « Désolé de vous avoir fait attendre ! »Sylvie s’est empressée de dire : « En fait, je n’ai attendu que dix minutes, tu es arrivé en si peu de temps ! »« Pour venir vous aider le plus tôt que possible, j’ai grillé le feu rouge pour plusieurs fois en chemin », a répondu Yann avec sourire.Sur ce, Sylvie était ravie et contente. Elle a demandé avec inquiétude : « Quoi ? Tu as grillé le feu rouge ? »« Ne vous inquiétez pas, ce n’est pas grave, a dit Yann d’un ton indifférent, et vous ? Combien d’argent vous a-t-on escroqué au total ? »Sylvie a soupiré et a dit : « J’ai investi plus d’un million. On m’a dit que je recevrais deux cent mille en dividendes ce mois-
Quand Sylvie était excitée, Yann a dit à voix haute : « Tout le monde, ne vous inquiétez pas, je vais aller négocier avec eux. Attendez-moi ici ! »Sylvie, en pensant qu’avec Yann, personne n’osait lui faire de mal, a immédiatement dit : « Yann, je viens avec toi ! »Lucas s’est empressé de dire à Sylvie : « Maman, tu ferais mieux de rester ici. Au cas où Yann ne pourrait pas résoudre ce problème, tu pourrais avoir des ennuis ! »Sylvie a dit avec colère : « Tu oses encore mettre en doute les capacités de Yann ? »Les autres personnes comptaient tous sur Yann pour les aider à récupérer leur argent, et maintenant, puisque Lucas doutait de Yann, ils étaient mécontents de lui.Face à leurs critiques, Lucas a dit avec indifférence : « Maman, restes ici, ne te mêle pas de cette affaire. »Sylvie, ne voulant pas l’écouter, a dit : « Tais-toi ! »Yann, avec un air d’arrogance, a dit d’un ton moqueur : « Puisque tu n’as pas de compétence, ne sois pas jaloux de l’autrui. Penses-tu que je suis a
A ce moment-là, dans le bureau du président de l’Entreprise de Bonheur, Roger Verley, le PDG de cette entreprise, avait un rendez-vous avec un homme d’une quarantaine d’années.Avec un sourire flatteur, il a sorti une carte bancaire du tiroir et l’a respectueusement tendue à cet homme en disant : « M. Vincent, il y a trente millions d’euros sur ce compte dont le mot de passe est votre date d’anniversaire, c’est le dividende pour vous. »L’homme d’âge moyen était habillé d’un costume noir. Il semblait si puissant que personne n’osait l’offenser.C’était Vincent Martin !Dans la Cité J, tout le monde savait que Vincent était le despote local et personne n’osait lui chercher des noises !Vincent, en regardant Roger, a dit avec un sourire approbateur : « Je ne m’attendais pas à ce que tu sois si sage. C’est très bien. »Roger s’est empressé de dire : « M. Vincent, qu’est-ce qu’on fait de ces gens-là en bas qui nous causent des problèmes ? »Vincent a dit avec indifférence : « Ne leur prête
A ce moment-là, Yann se tenait à l’entrée de l’Entreprise de Bonheur avec une expression fière. Il savait que c’était une bonne occasion pour lui de se montrer compétent devant la mère de Carina ; il devait saisir cette opportunité.Tant qu’il rendrait contente la mère de Carina, il aurait de la chance d’épouser Carina, la célèbre beauté de la Cité J. Rien que d’y penser, Yann était ravi !Il a donc dit à voix haute : « Ne vous inquiétez pas, tout le monde. Le propriétaire de cette entreprise viendra plus tard pour vous rendre votre argent ! »Sur ce, tout le monde, excité, a applaudi de joie.Seul Lucas regardait Yann avec un sourire moqueur. Cet Yann se prenait trop au sérieux, il recevrait une leçon plus tard.Au moment où Yann jouissait de l’admiration de tout le monde, la porte de la compagnie d’assurance a soudainement été poussée de l’intérieur.Ensuite, Roger, le patron de cette société, est sorti avec un homme d’âge moyen vêtu d’un costume noir.Bien que cet homme d’âge moye
Juste après que Yann avait fini de parler, un homme robuste derrière Vincent s’est avancé, a attrapé les cheveux de Yann et l’a giflé plusieurs fois.« Tu oses même provoquer M. Vincent, je te donne une leçon. »Cela dit, il a donné à Sylvie une gifle en disant : « Salope ! Tu oses gronder M. Vincent, je ne te laisse pas tranquille. »Sur ce, Yann et Sylvie étaient tous choqués !Quoi ?Cet homme en costume devant eux était Vincent, une grosse légume de la Cité J !Et ils venaient de l’insulter...En pensant à cela, ils ne cessaient de trembler avec un visage tout pâle. Yann, après avoir repris ses esprits, s’est jeté à genoux devant Vincent et l’a supplié en disant : « M. Vincent, c’était ma faute, veuillez m’excuser auprès de vous ! Je n’aurais pas dû t’offenser ! Je n’ai rien à voir avec ces femmes qui réclament de l’argent ! S’il vous plaît, épargnez ma vie ! »Après avoir dit cela, il s’est giflé pour s’excuser et a fondu en larmes.Il ne s’attendait vraiment pas à ce que la pers
Sylvie hurlait de peur et a déjà fermé les yeux, prête à recevoir la gifle. Cependant, à sa grande surprise, elle ne l’a pas reçue.Quand elle a ouvert les yeux, elle était choquée !Son gendre, Lucas, était sorti à ce moment-là pour arrêter cette gifle !C’était...Elle a été frappée de stupeur. Comment Lucas, le voyou, pouvait-il avoir l’audace de faire ça ?Vincent ne s'attendait pas à ce que quelqu'un ose défendre cette vieille salope à ce moment-là, et il a froidement demandé : « Qui es-tu ? Tu veux mourir aussi ? »Lucas a souri légèrement en répondant : « Tu es Vincent ? Fais-moi une faveur, tu peux frapper ce chien à côté de toi autant que tu veux, mais pas ma belle-mère ! »Vincent a dit d’un air sombre : « Cette vieille femme est ta belle-mère ? Alors qui es-tu pour m'obliger à te faire une faveur ? »En disant cela, Vincent était enflammé de colère.Il avait toujours été vénéré par d'innombrables personnes à la Cité J, mais aujourd'hui, il subissait continuellement un manque
Vincent a reconnu cette voix, n'était-ce pas Marc dont il avait cherché à gagner la faveur ?Marc a dit qu'il avait offensé le jeune maître de la famille Levefre ?Ça pourrait être ce jeune homme en face de lui ?D'ailleurs, Marc a su qu’ils étaient vingt-cinq dans sa famille, se pourrait-il qu'il ait connu sa famille dans les moindres détails depuis longtemps ?Marc était le porte-parole de la famille Levefre à la Cité J ! La famille Levefre était si puissante ! Si les membres de cette famille voulaient le tuer, c'était aussi facile que de tuer une fourmi !Dès que Vincent a entendu ça, il a eu une peur bleue.Ensuite, il a imploré la pitié : « M. Robin, M. Robin, ne vous fâchez pas, c’est un malentendu... »« Tais-toi ! Marc a grondé, l’identité de M. Levefre est hautement confidentielle, si tu le divulgues, je vais tuer toute ta famille ! »Le corps de Vincent n’arrêtait pas de trembler alors qu'il s’est empressé de dire : « M. Robin, j’ai tort, j’ai tort ! Je vais m'occuper de cett
Lucas a dit avec un sourire : « Si tu ne me crois pas, on verra. »L’entraîneur a ricané : « Bon, je vais attendre ici et voir comment Françoise va perdre ce match. »Après avoir dit ça, il s’est directement dirigé vers le siège de spectateur à côté de lui et s’est assis, ses bras croisés devant sa poitrine. Selon lui, Française perdrait définitivement ce match.Lucas ne lui a plus prêté d’attention, mais a regardé Françoise et lui a dit à voix basse : « Ne sois pas nerveuse plus tard et lance des attaques sur ton adversaire comme je te l’ai dit, je pense que tu seras capable de vaincre cet adversaire. »Françoise a hoché la tête avec un air déterminé, puis a dit d’un ton suppliant : « Maître Lucas, après le départ de mon entraîneur, je n’aurai plus d’entraîneur à partir de maintenant. Si je gagne ce match, je devrai participer à plusieurs tours de match, pouvez-vous venir et être mon entraîneur ? »Sans réfléchir, Lucas a répondu : « Pas de problème, je serai ton entraîneur à partir d
En entendant les mots de Lucas, Françoise l’a regardé avec une grande excitation et s’est écriée : « Maître Lucas ! »Après avoir dit cela, elle a repris avec un peu de honte : « Je suis désolée, je n’ai pas bien fait. »Lucas a souri pour la réconforter : « Ce n’est pas grave. Il est normal de ne pas pouvoir trouver la faiblesse de ton adversaire. Si tu choisis la bonne stratégie, tu seras capable de gagner. »Françoise a hoché la tête avec excitation et a dit avec révérence : « Je vois. Maître Lucas, merci pour vos enseignements. »À ce moment-là, l’entraîneur à côté de Françoise a regardé Lucas avec un visage mécontent et a dit : « Qui es-tu ? As-tu le droit d’éduquer Françoise ? Connais-tu le combat libre ? Françoise est maintenant au moment le plus critique. Si elle ne peut pas changer la situation au 3ème set, elle perdra probablement. Tu lui donnes encore de mauvaises instructions, n’essaies-tu pas délibérément de lui nuire ? »Lucas a dit avec indifférence : « Ce que je viens d
Lucas pouvait voir que les coups de poing de cette boxeuse thaïlandaise étaient rapides et qu’elle était très agile. De plus, elle était presque dix centimètres plus petite que Françoise, ce qui lui permettait de maintenir l’équilibre plus facilement. D’ailleurs, la Thaïlandaise jouait intelligemment, sachant que son avantage se situait dans la partie inférieure et que celui de Françoise se situait dans la partie supérieure, elle lançait donc de fréquentes attaques à la partie inférieure de Françoise.Comme son adversaire ne cessait d’attaquer, Françoise ne pouvait que se protéger contre ses attaques et elle jouait donc un peu dans le désordre au début.Dans le premier set, la Thaïlandaise a eu beaucoup plus de coups efficaces que Françoise, de sorte qu’après un set, elle avait une avance sur Françoise.Pendant la courte pause, l’entraîneur de Françoise s’est empressé de lui donner des instructions tactiques en disant à ses oreilles.Après une courte pause de quelques minutes, le matc
Dès que William a prononcé ces mots, Lucas a immédiatement vu Françoise.Aujourd’hui, Françoise portait un soutien-gorge de sport ainsi qu’une culotte de sport, si bien que son excellente silhouette était exposée.Ce à quoi Lucas ne s’attendait pas, c’était les incroyables lignes musculaires sur le corps de Françoise. Avec ses muscules, Françoise était vraiment indifférente des autres filles.De plus, la peau de Françoise était aussi blanche que la neige, et il n’y avait pas la moindre imperfection. Ainsi, avec sa silhouette aussi stupéfiante, elle était tout simplement parfaite au point d’être impeccable.Maintenant, les longs cheveux de Françoise étaient attachés à l’arrière de sa tête et elle portait une paire de gros gants de boxe rouges aux mains, ce qui la rendait très cool.Une jeune femme à la peau brune, voire un peu bronzée, marchait aux côtés de Françoise.William l’a présentée à Lucas en disant : « Maître Lucas, ma cousine joue contre cette joueuse thaïlandaise aujourd’hui,
Lucas a hoché la tête, puis est entré dans le gymnase avec Justus.Le gymnase de la Cité J était extrêmement grand et contenait non seulement une piscine, mais aussi des salles de compétition standard pour l’athlétisme, le badminton, le tennis de table et le basket-ball et la compétition de combat libre aurait lieu dans toutes les salles, à l’exception de la piscine.L’ensemble du site était divisé en plusieurs carrés, chacun doté d’une estrade pour le match de combat libre.Justus a pointé du doigt ces estrades et les a présentées à Lucas en disant : « Maître Lucas, il y a un total de 8 estrades et ces 8 estrades correspondent à 8 groupes. 8 groupes jouent leurs préliminaires respectivement sur leurs estrades et celui qui gagne à la fin est l’un des 8 meilleurs joueurs. »Sur ce, il a désigné à nouveau l’estrade 5 et a dit : « Maître Lucas, Françoise sera en concurrence avec son rival sur l’estrade 5 et son match commence dans 10 minutes, allons-y ! »Lucas a dit oui et s’est dirigé v
Après que Lucas et Luc ont quitté la maison, ce dernier a dit avec un sourire tout en conduisant : « J’ai attendu depuis si longtemps et il y a enfin une opportunité que l’université pour les personnes âgées organise un échange culturel avec notre association de calligraphie et de peinture. Ce n’est vraiment pas facile. »Lucas a souri et a demandé : « L’as-tu déjà dit à Méline ? »Luc a souri : « Pas encore. Je prévois lui faire une surprise. Après tout, je ne l’ai pas vue depuis quelques jours. »Lucas a hoché la tête en disant : « Mais tu devrais quand même être plus prudent pour ne pas laisser Sylvie savoir que Méline est retournée en France, et encore moins la laisser savoir que tu as eu un contact avec Méline. Sinon, tous les membres de notre famille n’auront pas une vie tranquille. »Lucas connaissait très bien le caractère de Sylvie. Il y avait deux tabous qu’on ne pouvait pas mentionner devant Sylvie, l’une était l’argent et l’autre était Méline.Même si Sylvie était en colèr
Françoise a dit timidement : « Je ne suis pas une petite fille... »Lucas a souri et a demandé : « Alors qu'est-ce que tu es ? »Françoise a dit : « Je... Je... Je suis une petite beauté et une petite mignonne ! »Après avoir dit cela, sans attendre la réponse de Lucas, elle a raccroché immédiatement le téléphone d'un air timide.Lucas a écouté le changement soudain en un bip de l'autre côté du téléphone, et ne pouvait s'empêcher de secouer la tête et de rire, en se disant que cette petite fille était vraiment très mignonne....Après avoir terminé son repas, Carina s’est rendue à son studio.Son studio, qui s’était récemment agrandi par rapport à sa taille précédente, qui avait recruté quelques employés et qui avait plusieurs projets de rénovation en cours, était pour ainsi dire en plein essor.Luc s’activait tous les jours à l'Association de calligraphie et de peinture.Aujourd'hui, après le petit-déjeuner, il était impatient de se rendre à l'Association de calligraphie et de peintur
Lucas a enfilé son tablier et s’est rendu à la cuisine pour préparer le repas.Mais à ce moment-là, son téléphone portable a sonné à nouveau.Contre toute attente, l'identification de l'appelant indiquait qu'il s'agissait de Françoise, une jeune fille de la famille Raoult.Lucas se disait :« Cette petite fille n'a pas l'habitude de m'appeler souvent, aurait-elle encore des ennuis aujourd'hui ? »En pensant à cela, il s’est pressé alors de décrocher le téléphone et a demandé : « Françoise, qu'est-ce qui s’est passé ? »Françoise a dit timidement : « Monsieur Lefevre, vous vous souvenez de ce que je vous ai dit à propos de ma participation à la compétition internationale de combat pour étudiants ? »Lucas a souri et a dit : « Bien sûr que je m'en souviens, ne t'ai-je pas promis que je serais là pour t'encourager ? D'ailleurs, tu ne m'as pas dit exactement quand elle aura lieu. »Françoise a souri joyeusement et a dit : « Alors, Monsieur Lefevre, vous vous souvenez encore, je suis vra
Lorsque Lucas a entendu cela, il a dit : « Alors, nous le vendrons aussi à 150 euros la boîte, si notre médicament est plusieurs fois plus puissant et a le même prix que les médicaments d’autres pays, nous pouvons évincer directement ces médicaments japonais et coréens du même type ! »Cassandre a dit précipitamment : « Pas de problème, Monsieur Lefevre, alors je fournirai les médicaments aux distributeurs à 150 euros la boîte. »« Bien », a dit Lucas d’un ton sérieux, « essaie de produire autant que tu le peux, ne t’inquiète pas des ventes de ce médicament, nous devons maintenant vendre ce médicament non seulement aux utilisateurs nationaux, mais aussi au Japon, à la Corée et à l’Asie du Sud-Est. Nous devons non seulement les concurrencer dans notre propre pays, mais aussi les concurrencer dans leurs propres pays. Si nous voulons les vaincre, nous avons besoin de suffisamment de forces. »« Je vois, Monsieur Lefevre ! »Excité, Cassandre s’est exclamé : « Les médecines japonaises e