Chapitre 417

Sa force n'était certainement pas de détecter les mensonges. Quel idiot.

Il me tapote doucement la joue et se détourne. « Quel est ton garniture préférée ? Je vais te préparer les meilleures crêpes que tu n'aies jamais goûtées. »

« Tu veux dire que tu vas m'empoisonner ? »

« Non, pourquoi ferais-je ça ? Je te l'ai déjà dit, Klaus. Je t'apprécie, je t'apprécie beaucoup et je te veux à mes côtés. »

Il délirait complètement.

« Et ton véritable compagnon ? » Il était persuadé que c'était moi, bien que je n'accepterai jamais quelqu'un comme lui.

« On verra bien. »

Il fait pivoter ma chaise vers la table et la rapproche jusqu'à ce que je sois correctement assis. Il s'éloigne, marmonnant à moitié pour lui-même en sortant ce qui semble être une centaine d'ingrédients.

Le reflet dans la fenêtre montre ses lèvres bouger, mais aucun son n'en sort. On dirait qu'il se parle à lui-même, et c'est seulement quand j'aperçois ses yeux que je comprends qu'il communique par lien mental avec quelqu