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Chapitre 968
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Laissez-moi partir, M. Huo ! Chapitre 969
Entré avec une trousse médicale, le majordome a pâli. « Monsieur, vous êtes grièvement blessé, vous avez besoin d’un médecin. »Théo a dit d’une voix froide : « Ce n’est pas la peine, donne-moi des compresses et je vais panser la blessure. »Une fois le pansement fait, il est descendu, mais il ne trouvait Bella nulle part. Des domestiques lui ont dit que Bella était dans le bureau. Après s’y être rendu, il a vu Bella allumer son ordinateur. Au bruit de ses pas, elle l’a regardé avec méfiance.« Ça ne sert à rien d’allumer l’ordinateur, j’ai déjà fait débrancher les câbles internet d’ici, on ne peut pas se connecter. » Théo s’est lentement approché d’elle : « Ne pense pas à emprunter un téléphone portable aux domestiques, elles ne parlent pas la même langue que toi, en plus, avec leurs téléphones, on ne peut que contacter les personnes de leur pays.»« Où diable sommes-nous ? Je ne peux plus rester dans cet endroit maudit. » Désespérée, Bella lui a crié : « Vas-tu m’enfermer pour le re
Laissez-moi partir, M. Huo ! Chapitre 970
À ce moment-là, le majordome est arrivé, des pilules et un verre d’eau dans la main.« Prends-la. » Théo lui a donné une pilule.« Qu’est-ce que c’est ? » Bella a hésité.« Pilule contraceptive. » Théo a expliqué : « Nous avons fait l’amour hier soir, mais tu sors avec Vincent depuis des jours et tu t’es rendue à la ville Tong avant-hier, donc prends une pilule contraceptive, je ne veux pas que tu portes son enfant. » Bella est restée silencieuse, en fait, elle n’a rien fait avec Vincent, mais elle avait besoin de ces pilules pour éviter toute possibilité d’avoir un bébé avec cet homme. Alors elle a pris la pilule sans hésiter.Elle s’est creusé la tête afin de trouver des solutions. Maintenant qu’ils allaient passer ensemble tellement de nuits, elle devait l’éviter pour espérer s’en tirer. Le soir, après avoir pris sa douche, Bella a trouvé un objet tranchant pour se couper la jambe, puis elle a mis du sang sur sa culotte.Une fois sortie, elle a demandé à Théo : « Il y a des servie
Laissez-moi partir, M. Huo ! Chapitre 971
Le contexte hostile entre Théo et Bella s’est relâché tandis que Théo écoutait cette phrase.Depuis une semaine, peu importe comment il essayait de l’impressionner, elle avait toujours un air froid et haineux envers lui.Maintenant, elle était au moins prête à changer de robe et à se promener avec lui sur la plage. Cela signifiait-il qu’elle acceptait lentement la réalité ?« D’accord. »Théo a doucement confié sa pensée. Avec le regret d’avoir préparé peu de robes pour Bella, il a donc immédiatement appelé Paul : « Achète plusieurs robes de plage à la taille de ma femme et envoie-les. »Les coins de la bouche de Paul se sont crispés.La femme de Théo ? Quel effronté ! C’était la femme de Vincent.« Monsieur Bernard, revenez à l’entreprise quand vous aurez le temps. » a dit Paul de manière très impuissante. « Récemment, Le Groupe de Bernard a été maudit par tout le monde. La vieille dame et le vieux monsieur sont tombés malades de colère. Les actionnaires de la famille Bernard viennent
Laissez-moi partir, M. Huo ! Chapitre 972
Sans hésitation, Théo l’a soulevée et a couru vers le domaine.La gouvernante est venue rapidement avec un médecin car la blessure était profonde. Il fallait une injection pour réduire l’inflammation.Bella a supporté la douleur. Tant que Théo ne découvrait rien, elle n’avait rien à craindre.Théo était assez affligé et pris de remords. « Je ne te quitterai pas un instant quand nous irons à la plage, pour qu’il ne t’arrive plus rien de dangereux. »Bella s’est tue. Il la surveillait toujours et elle vivait une vie d’emprisonnement.............Le soir, Bella s’est installé sur le canapé du balcon.Elle ne pouvait rien faire. C’était trop ennuyeux. Utiliser son téléphone portable, regarder la télévision, faire de shopping… tout lui était interdit. Il n’y avait pas une seule personne qu’elle connaissait. Tout ce qu’elle pouvait faire, c’était lire un livre de temps en temps ou regarder dans le vide.« Tu t’ennuies ? » Théo est sorti de la douche et a vu l’air déprimé de Bella. Son cœur
Laissez-moi partir, M. Huo ! Chapitre 973
Alexandre a souri. « J’ai entendu dire que la puce Ziyarat du groupe de Verney sera bientôt développée avec succès. »Les pupilles de Henri se sont légèrement contractées. Il a secrètement soupiré dans son cœur : « Vous me voyez pour ça … »Victor lui a mentionné cette affaire à plusieurs fois. Henri ne s’attendait pas cette fois à ce qu’Alexandre vienne en personne. Alors, Mickey est aussi venu pour la puce …Ce discours a subversti l’image de Mickey dans le cœur de Henri, qui pensait que son père a toujours été un raffiné, spirituel et franc. Même quand la maladie mentale de Théo a fuité il y a trois ans, Henri a pensé que Mickey avait été forcé de le faire pour le bien de la famille Lagarde.Mais maintenant, il semblait que son père n’était pas une personne simple. À part l’art, il s’est aussi intéressé à l’argent.« Alexandre, quant à la puce, j’ai parlé à Victor tout à l’heure. Théo ne me permet pas de me mêler des affaires du laboratoire. » a expliqué Henri à voix basse.« C’est
Laissez-moi partir, M. Huo ! Chapitre 974
« Qu’y a-t-il d’autre à penser ... » Victor s’est levé avec anxiété.« Victor, donne-lui du temps. » Mickey a dit en guise d’avertissement. « Henri, réfléchis bien. Une fois que la puce de Bernard sera développée avec succès, le Groupe Bernard deviendra la première entreprise du monde. Seulement, la gloire sera attribuée à Théo et tu seras toujours un simple directeur général, sans la moindre action. Tu devras compter sur ta mère pour t’en donner. »« Et les relations de ta mère avec Théo semblent s’être apaisées récemment. » a ajouté Victor tranquillement. « Combien d’actions de Séverine resteraient entre tes mains ? Alors que ton père est différent, car il n’a qu’un fils : toi. »L’ébranlement a brillé dans les yeux de Henri et il n’a rien dit pendant un long moment.Mickey a souri en le regardant. « Papa va attendre tes bonnes nouvelles. »Il a dit avant de se lever pour partir.« Papa… » Henri s’est soudainement retourné et a demandé : « Tu n’as pas peur de la peine qu’aura maman e
Laissez-moi partir, M. Huo ! Chapitre 975
À l’étage, Henri est resté figé pendant un long moment, encore sous le choc des paroles de Mickey.C’était trop aventureux pour lui.Il a beaucoup hésité, mais s’il aidait son père, sa mère serait très triste et même ses grands-parents seraient déçus de lui.Bien qu’il ait souvent pensé qu’ils étaient injustes à son égard et qu’il leur en ait voulu, il fallait admettre que Théo était plus compétent que lui.En fait, Henri ne voulait pas être inférieur à Théo pour toujours. Aux yeux de Théo, il pouvait être envoyé et exclu quand il le voulait.En pensant à la souffrance, Henri a reçu l’appel d’Isabelle. « Papa, pourquoi tu ne viens pas me chercher ? Les autres enfants sont partis. »Henri s’est réveillé de sa torpeur et a réalisé qu’il était presque cinq heures.« Désolé, j’arrive tout de suite. »En chemin, il a reçu un autre appel téléphonique de la vieille Madame Lagarde.Il était déjà cinq heures et demie lorsqu’il arriva à l’école maternelle et Isabelle est monté dans sa voiture e
Laissez-moi partir, M. Huo ! Chapitre 976
Il était étrange qu’au cours des dernières années, la famille Lagarde n’avait pas une bonne attitude pour Henri et Isabelle. C’était encore le cas aujourd’hui pour Isabelle. Bien que Mickey dise à tout le monde que les soixante pour cent du capital de la famille Lagarde finiraient par lui appartenir, il était impossible de recevoir l’amour de la famille Lagarde. Peut-être que tout ce qu’il disait était juste une blague pour lui.Henri a bien réfléchi. Toutes ces années, Mickey n’avait pas vraiment pris soin de lui, et il ne s’était même pas occupé de sa petite-fille, Isabelle. Est-ce que Mickey allait vraiment donner ses parts à Henri ?Il a profondément douté, surtout que Mickey a gardé beaucoup de secrets en lui-même. Personne ne savait s’il avait une autre femme ou des bâtards à l’extérieur. Attendez. Des bâtards ?Au fait, qui était Augustin ? Henri n’en avait jamais entendu parler. Plus il y pensait, plus son cœur devenait froid.« Isabelle, aide ton oncle, s’il te plaît, Henr
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