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Chapitre 269
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Laissez-moi partir, M. Huo ! Chapitre 270
« Ne dis pas ça, je n'ai jamais voulu être de la Famille de Maurice. » Le ton de Bella était plein de fatigue, « Mais cette fois, je dois aller à la capitale, je ... »« Allez-y. » Vincent a touché doucement le dos de sa main, « Ne t'inquiète pas pour moi, le soignant prendra soin de moi. »« Merci. » Bella était en fait très touchée. Vincent était différent de Théo, il était tendre et tolérant toujours.Théo est autoritaire et fier, et elle doit toujours le tolérer, ou quand elle veut faire quelque chose, elle avait besoin toujours de lui plaire de toutes les manières possibles pour être d'accord.Elle se sentait trop fatiguée pour s'entendre avec Théo et elle n'aimait pas qu'il trouve des gardes du corps pour la protéger. Mais maintenant, sans cela, elle était inexplicablement un peu mal à l'aise.« À quoi pensez-vous ? »La fille debout devant a soudainement perdu l'esprit, et les yeux de Vincent ont rapidement brillé d'une obscurité, et la force de tenir sa main a légèrement augmen
Laissez-moi partir, M. Huo ! Chapitre 271
Bella s'est figé, son impression pour son père a beaucoup changé, « J’espère que…cela ne vous dérange pas. »« Ce n'est pas grandes choses. » a dit Gilles. Il a caressé ses longs cheveux avec indifférence. « Même si tu veux te retirer du mariage à l'avenir, tu ne te sentiras pas redevable envers lui. » « Papa... » Dès que ce mot est sorti de la bouche, Bella a été surprise.Gilles était ravi, et il a dit : « Appelle encore une fois. » Bella, embarrassée et timide, baissait la tête et ne parlait pas. Gilles a continué de dire en riant « Ton père, moi, je suis aussi tombé amoureux quand j’étais jeune. Je me souviens clairement que j’étais très triste quand je me suis séparé de sa mère, même si c’était une séparation à temps courte. Mais regardez-vous, c’est un cas contraire. Bella, je peux m’apercevoir qu’il t’aime. Mais quant à toi... Je trouve que tu es toute détendue après être montée dans l'avion. »Bella n'a rien dit. Les observations de ce père étaient si minutieuses. Elle pouva
Laissez-moi partir, M. Huo ! Chapitre 272
« Tu es si compréhensive. », a dit Gilles en plein de soulagement. Voyant sa petite sœur qui était folle de colère, Bella se moquait dans son cœur qu’elle ne s'attendait pas à ce qu'un jour, elle est devenue hypocrite comme Léonie, et a recouru des manœuvres insidieux, mais cela semblait être très utile. « Papa, ce n’est pas nécessaire pour vous de toujours m’occuper, de toujours me louer. Je sais que tu veux me récompenser, mais ce n’est pas grave. Je me sens que ma sœur Ophélia est mal à l'aise dans son cœur, cela sera préjudiciable aux relations entre nous et à l'harmonie familiale, bien que je sois ici, je ne veux pas affecter votre famille. »Gilles, ému profondément, pensait que Bella était beaucoup plus compréhensive, et quant à Ophélia, elle vivait toujours avec lui et avec sa mère, il était donc inévitable qu’elle soit douillette. « Viens, papa va te montrer la chambre, s'il y a quelque chose qui ne te satisfait pas, tu n’hésites pas à m'en parler. » a-dit-il. Alors que ce
Laissez-moi partir, M. Huo ! Chapitre 273
La porte de la chambre a été ouverte brusquement.La vieille dame Bernard est montée avec colère, elle a dit : « Pourquoi tu te caches ici ? J’ai organisé un particulier banquet pour toi, afin de t’aider chercher ton amour, mais tu restes ici sans rien dire. Est-ce que tu veux te marier ? »« Non. », a répondu Théo avec indifférence. « ... », La dame Bernard était presque exaspérée, « Même si tu ne le veux pas, tu dois le faire. Tu es le fils aîné et petit-fils de l’épouse légitime de notre famille, donc le mariage est ta responsabilité, Lucie est déjà morte, combien de temps prévois-tu d’être célibataire ? »Les longs doigts feuilletant les papiers se sont arrêtés un instant. Mme Bernard en a arraché les papiers et les a jetés de côté, « Tu peux travailler quand tu veux, mais pas aujourd'hui, ce soir, tu dois choisir une femme, sinon, je vais me suicider devant toi. »« Grand-mère... », Théo s'est frotté le front. C'était la raison pour laquelle il ne voulait pas revenir, en tant qu
Laissez-moi partir, M. Huo ! Chaptire 274
Une nuit d’insomnie. Bella est descendue de l’escalier, et elle a trouvé que l'ambiance dans le salon n’était pas comme l’habitude.Gilles s'est assis sur le canapé, et Ophélia lui a serré le bras et a dit de l’air vivant : « Papa, tu sais ? Hier soir, Monsieur Bernard était très enthousiaste envers moi, il a jeté un coup d'œil sur moi dans la foule et m'a même demandé de danser, et sa grand-mère m'a également parlé pendant un long moment pour me demander d'être la petite amie de Monsieur Bernard. » Julie souriait également d'une oreille à l'autre : « Ophélia a de la chance, je savais qu'avec sa beauté et son talent, elle serait capable de trouver le mari de son choix, mais je n'ai jamais s’attendu qu'elle serait capable d'épouser M. Bernard, un jeune homme le plus riche de notre pays, d’après moi, dans le futur toutes les richesses de la famille Bernard seront à lui. » « N'oubliez pas qu'il y a aussi Henri. », Gilles a froncé les sourcils et a rappelé à ces deux mère et fille qui ét
Laissez-moi partir, M. Huo ! Chapitre 275
Bella n'a pas osé s'intéresser au Groupe, mais il était difficile de refuser l’invitation de son père si chaleureux, alors elle y est allée quand même. Les deux y sont restés jusqu’à 17h.La villa a été merveilleusement transformée : des éclairages vivants, des plantes et des fleurs rares décorées la cour, et une propreté impeccable.À l'intérieur, Julie ordonnait aux serviteurs de nettoyer ceci et cela. Ophélia s'est même changée en un petit manteau court en laine de haute couture de marque Chanel, luxueux et le plus cher de la saison. Ella portait aussi une jupe avec des longues chaussettes, et sur ses é, c’était un châle en laine drapé. Les cheveux longs étaient également coiffés, avec des cheveux bouclés à l'avant et des tresses à l'arrière, juste comme une petite princesse. « Chérie, j'ai entendu dire que tu avais amené Bella à… à l'entreprise ?», Julie a demandé consciemment. « Je ne peux pas encore emmener ma fille visiter ma propre entreprise ? », a répondu Gilles avec impati
Laissez-moi partir, M. Huo ! Chapitre 276
Son visage pâlissait progressivement. Il y avait une douleur dense dans sa poitrine, si elle l’avait pu, elle aurait préféré ne jamais le voir de sa vie. « Théo, tu es là ! », Ophélia s’est dirigée vers lui et l’a pris par les bras, comme un couple amoureux.« Ouais. », a répondu-t-il, et tentait de retirer les bras imperceptiblement : qu'est-il arrivé à cette femme, et ils font juste une danse, mais pourquoi elle était si affectueuse comme si elle était amoureuse d'elle depuis longtemps. Quand il réussirait à les retirer, Gilles et Julie sont venus l'un après l'autre. « Bonjour, Monsieur petit Bernard. » « Bonjour, Monsieur Maurice, c'est ma première visite, j’espère que ça ne vous dérange pas. » Les deux hommes ont suivi des formules de politesses et se sont serré la main doucement.« Pas du tout, c'est notre honneur que Monsieur Bernard puisse venir. », a répondu Julie, en souriant tellement que les rides de son visage sont apparues. Gilles a jeté un coup d'œil impuissant à sa
Laissez-moi partir, M. Huo ! Chapitre 277
Théo a levé ses belles lèvres fines et a souri légèrement : « Il semble que Monsieur Maurice ne m'accueille pas aujourd'hui, alors je dois partir... » Lorsqu’il s'est retourné, tout le monde a paniqué et Ophélia l'a serré dans ses bras et a dit à haute voix : « Papa, s'il te plaît, laisse Bella s'excuser. » Gilles a serré les poings. Si Théo Bernard était sorti de la porte de la famille Maurice dès son arrivée aujourd'hui, tous les nobles de la capitale aurait su qu’il avait offensé la famille de Bernard, puis la famille de Maurice serait à l'avenir isolé dans la ville. Il n’avait pas d’autre choix, et il a ouvert sa bouche : « Bella, tu... tu fais des excuses. », après avoir fini de parler, il a fait un sourire ironique et a soupiré. Bella était stupéfait et a serré les poings fermement. Voyant le beau visage de Théo, elle s’est sentie haineuse, c’était un sentiment qu'elle n'avait jamais. Comment aurait-elle pu aimer un tel homme auparavant. Elle a pris une profonde inspiration et
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