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Chapitre 64 Ne pointe pas le pistolet sur mes proches.

La puissance était un signe qui distinguait les gens.

Alors quand Théo a prononcé ces paroles, il a répandu des sentiments féroces.

Même le brave général de la famille Morreau était étonné par ses sentiments.

Denis était un peu perplexe, parce qu’il y a cinq ans, Théo n’était qu’un petit mendiant peureux.

Mais après ces quelques années, il avait beaucoup changé.

Mais cet étonnement n’a pas duré très longtemps.

Très vite, Denis est devenu normal.

« Je ne sais pas ce que tu as vécu ces dernières années, mais tu as grandi. »

« Tu as vraiment grandi. »

Denis a continué : « J’admets que je suis le plus peureux parmi les cinq braves généraux, mais cela ne signifie pas que ta puissance peut dépasser la mienne. »

« N’oublies pas, tu n’es que le troisième fils de la famille Morreau, cela veut dire qu’il vaut mieux que tu ne les affrontes pas »

« De plus, cette famille Morreau a juste besoin de ta moelle, ce n’est pas ta vie. Après tu pourras encore avoir des???. »

Théo a ri.

C’était vrai qu’un
Chapitre verrouillé
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