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Chapitre 187 Assassiner avec une épée d’emprunt 

Le pistolet n'avait pas d'amortisseur et le bruit était extraordinairement fort.

  Avec un coup de feu, la tête d'Auguste a explosé et il était immédiatement tombé dans une mare de sang.

  Mathéo et Luc debout devant la porte ont inconsciemment secoué leur tête.

 François a enfin jeté le pistolet dans le tiroir, une trace de chagrin apparaissait toujours sur son visage après tout.

  Il se disait : « Ma chérie, Hélène. Je t'ai déjà dit que le grand projet dans le chef-lieu était sur le point de commencer, tu ne dois donc pas agir de manière impulsive, pourquoi n'as-tu pas suivi ? »

  « Quand ce plan sera mis en œuvre, à quel point est-il difficile à tuer une personne de rien comme Théo ? »

  « Tout va de pire en pire maintenant, tu nous as quittés à jamais... »

  La porte de la salle d'étude a été ouverte par François, et il est sorti de l'intérieur.

  Mathéo qui se tenait devant la porte a ordonné à deux serviteurs de la famille Tessier d'entrer dans le bureau pour ranger, puis est pa
Chapitre verrouillé
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