Angèle Nous commençons à trier les sous-vêtements , couleur par couleur.Et nous commençons à nous déshabillerplace aux essayages .- Comment me trouve-tu ? Ariane me montre ce qu'elle a porté : un ensemble de lingerie fine, toute rose c'est vraiment magnifique !- Tu ressemble à une femme fatale ! Tu es magnifique ! - Merci, je le savais déjà mais je voulais une confirmation ! - Le contraire m'aurait étonné . Viens fermer mon soutien .Elle s'avance pour m' agrafer la fermeture du soutien.Je me regarde dans le miroir et c'est époustouflant , c'est vraiment magnifique .- Tu dois prendre cet ensemble , il est fait pour toi ! - C'est vrai qu'il me va bien ! Je vais le mettre de côté ! Je prends un autre , qui est plus belle que la précédente , wahou , moi qui suis une femme j'ai du mal à enlever mon regard du miroir , j'ai l'impression d'être devant une autre personne ! Ce ensemble me rend irrésistible ! femme fatale quoi ! - Tu sais quoi ? On prend tout , c'est la meilleure c
AngèleJe le vois s'approcher , comme un enfant prise en faute , il est tellement pathétique ! J'attends qu'il parle , mais pour le moment , il ne dit rien , il a cet air coupable sur le visage .Il prend la pommade, et commence à l'étaler sur les mollets . Je le laisse faireje verrai jusqu'où il ira . Il remonte jusqu'à mes cuisses , il est maintenant en genoux devant moi , il lève la tête et nos regards se croisent , et peut voir dans ses yeux beaucoup de désolation alors les miens lui montrent de la tristesse. Il ne dit toujours rien , et sa main , monte jusqu'à mon sexe , je l'arrête et lui dit : - Je crois qu'il est temps que je m'habilleJ'ai fini de me pommader .- Attend, je n'ai pas encore fait le milieu du dos ! - Non ça va ! Je me lève , pour m'habiller , nous devons aller dîner , je me rends dans mon dressing pour chercher une robe que nous avons choisi aujourd'hui : Elle est de couleur bleue , très simple , vraiment faite pour la maison , elle m'arrive à mi-cuisse ,
Lucifer - Ça suffit , tu ne vas pas te moquer de moi sous mon propre toit , Auracio, tu dois apprendre les bonnes manières à ta sauvage ...- Espèce d'infidèle c'est toi le sauvage .Pour qui te prend-tu? pour m'injurier ? Tu veux du respect ? mon respect ? Mérite-la , c'est tout ce que j'ai à te dire .Qu'elle personne pathétique tu es ! Tu veux du respect ? As-tu respecté ta femme quand tu baisais une autre femme pendant qu'elle était à deux pas de toi ? As-tu respecté ta femme pendant votre lune de miel quand tu as baisé deux prostituées devant elle ? Tu penses qu'elle est faîte de quoi ? De bois peut-être ? Qu'elle n'a pas de cœur ? Qu'elle n'a pas de sentiment ? Quel homme marié pourrait faire cela à l'élu de son cœur ? Ou n'as-tu pas de cœur ?Mets toi un peu à sa place , pense un peu à ce que tu ressentirais si un autre homme posait ses mains sur ta femme ?Elle le dit en s'approchant lentement de moi j'ai l'impression qu'elle veut que je visualise ma femme en train de se fai
LuciferJe pense à tout ce que Ariane vient de dire et je réalise combien de fois j'ai été injuste envers elle.Je ne peux imaginer qu'elle puisse me tromper une seule fois, je ne peux l'accepter. Je tuerai quiconque oserait laToucher. Elle est ma femme, elle m'appartient . Personne n'a le droit de voir ce beau corps à part moi. Je suis le Dieu de l'enfer et j'amènerai dans les profondeurs de l'enfer toute personne qui la regardera de trop près. - Petite peste, j'ai compris ce que tu viens de me dire , et j'ai compris la leçon : Ne pas faire aux autres , ce que tu ne veux pas que l'on te fasse . Et toi Auracio, espèce de tête brûlée , pourquoi ne dis tu rien ? - Parce que ma fiancée a tout dit, que veux-tu que je dise de plus ? Ha , oui , je sais ce que je dois ajouter dessus : Tu es un idiot cher cousin , sinon qui oserait faire ce que tu as fait ? Tu es bête ou quoi ? - Si c'est pour m'injurier alors , je préfère que tu ne dis rien . - Et que voulais-tu que je te dis ? Que je t
Angèle - Comment veux-tu que les autres me respectent, si mon propre mari m'a humiliée au vu et au su de tous ? - Tu as parfaitement raison, je ferai plus d'efforts . C'est promis ! - Je vais t'observer pendant quelque temps, je verrai si tu es vraiment sincère ou pas. Je ne te crois plus. Ta parole ne vaut rien ! Rien ! Tu m'entends ? Tu vas devoir me montrer que ta parole en vaut la peine. Mais d'ici là, ne t'approche plus de moi , ne me touche plus. J'en ai assez de ton comportement de macho ! Je suis une personne, pas un objet. ET tu me dois du respect ! J'exige du respect ! Je suis fatiguée de toujours perdre face à toi, j'en ai assez de ton côté autoritaire ! Tu as voulu une femme ! Et tu m'as oubliée à être ta femme. Tu m'as obligé à te donner ce que j'avais de plus précieux c'est à dire ma virginité, que tu m'as pris sans état d'âme , mais tout cela ne t'a pas suffit : Ton sexe se promène de trous en trous , pour chercher quoi ? Je ne saurai te le dire !
Angèle— Vous êtes ma patronne, et vous n’avez pas le droit de porter quoi que ce soit dans cette demeure.Elle me sourit après cette petite tirade, les bras croisés, amusée. Je lui rends son sourire en secouant la tête, avant de répondre avec douceur :— Je le sais bien. Mais je veux aider, je n’ai pas l’intention de rester les bras croisés à regarder les autres travailler pendant que je me prélasse. Ce n’est pas dans ma nature.— Tout est déjà prêt, madame. Vous pouvez aller accueillir vos invités pour le petit déjeuner. C’est le moment parfait.Je pousse un léger soupir théâtral, tout en souriant.— Très bien, je m’avoue vaincue. Mais ce n’est que partie remise, je le jure. J’irai accueillir mes invités comme une hôtesse modèle.Je me rends dans la salle à manger. Dès que j’entre, je tombe sur le "couple de l’année" comme je les appelle affectueusement. Ils viennent tout juste d’arriver et, dès que leurs regards se croisent, je suis frappée par l’évidence de leur complicité. Une co
Angèle— Il n'est pas aussi insensible que toi… Mais où est-il ?— Il a préféré rentrer chez lui pour coordonner les recherches depuis sa base.— Mais… il est blessé !— Oui, il l’est. Mais malgré sa blessure, il a choisi de rentrer. Là-bas, il a ses repères, ses hommes, ses ressources. Il peut mieux organiser les choses. Tous sont rentrés avec leurs blessures. Ils vont se soigner sur place, en terrain familier.Je secoue la tête, abasourdie.— Bon Dieu… quelle horreur ! Ils sont blessés, et Ariane est là, quelque part… séquestrée par je ne sais quel fou !Je me lève brutalement, fais quelques pas, puis me rassois. Mes mains tremblent. Je ne sais même plus si je dois rester assise, me lever, hurler ou pleurer. Mon cœur bat trop vite, mes pensées s’emballent.Je suis traumatisée par ce que je viens d’apprendre. Ariane… où est-elle ? Qu’est-ce qu’elle endure à cette minute ? Quel genre de supplice ? Et qui est ce malade qui l’a enlevée ?— Et toi… toi, que fais-tu pour la retrouver ?—
AngèleJe dois trouver une solution. Une solution pour fuir cette étreinte étouffante, cette envie malsaine qu’il projette sur moi comme une condamnation.— Arrête…— Je ne peux pas. J’ai besoin de ma femme…Il me soulève brusquement du sol, comme si je ne pesais rien, et me jette sur le lit. Je rebondis aussitôt, animée par un mélange de rage et de panique, et je saute hors du lit avant qu’il n’ait le temps de m’immobiliser.Il tente de m’attraper, mais je suis déjà de l’autre côté du lit. Nos regards se croisent. Un duel silencieux commence. Il se penche pour m’attraper, tend une main rapide, mais je le repousse en lui jetant la lampe de chevet. Il l’esquive de justesse, et elle s’écrase au sol dans un bruit sec.— Angèle, ne me pousse pas à bout. Viens ici !— Non ! Ne t’approche pas de moi. Ne me touche pas !— Tu es ma femme, et je veux faire l’amour à ma femme.— Je ne peux pas ! Et toi non plus tu ne peux pas !Il tente de contourner le lit. Lorsqu’il passe à gauche, je passe à
Angèle Je l'entends ouvrir la porte , et converser avec une personne . Je prends ma douche rapidement et je m'habille avec l'ensemble qu'il a déposé à mon intention . Il me va comme un gantJe refais mon maquillage et sors les retrouver . Je le trouve en compagnie d'une très belle femme . Elle est bien plus grand que moi et est très bien habillée mais surtout très sexy . Alors je me rends compte qu'il aime bien regarder ces femmes aussi sexy mais quand il s'agit de moi , c'est une autre histoire . - Bonjour mademoiselle Elle se tourne vers moi , je pense qu'elle ne m'avait pas vue arriver . Elle me jauge de haut en bas . Son regard est remplie de ressentiment . Comme si je lui avais fait quelque chose . Je la regarde à mon tour de haut en bas avec dédain . Puis je viens m'asseoir sur les pieds de mon mari , pour bien lui faire comprendre ma place . Je me loge dans le creux de ses bras . - Je te présente mon assistante qui est ici . Véra , je te présente ma femme ! Ses yeux s'él
AngèleIl finit par se calmer. Ses yeux me scannent de haut en bas avec une lenteur calculée, presque animale. Puis, sa voix claque, sèche et impérieuse :— Va te changer.Je croise les bras sur ma poitrine, le menton légèrement relevé.— Je n’en ai pas l’intention.— Ne m’oblige pas à me répéter. Tu ne me suivras pas habillée comme ça.— Bien sûr que si. Et tu ne pourras rien y faire !Ariane me l’a bien dit : avec des hommes comme lui, si tu ne t’imposes pas, tu deviens une jolie poupée qu’il manipule comme bon lui semble. Alors aujourd’hui, je décide de ne plus me taire.— Regarde cette robe, dit-il en serrant les mâchoires. Elle montre trop tes courbes. Je ne veux pas que les hommes posent leurs yeux sur ce qui m’appartient.— Je ne t’appartiens pas, Alex. Et c’est drôle, tu ne veux pas qu’on regarde "ce qui t’appartient", mais quand c’est moi, on peut me déshabiller du regard, me baiser sans vergogne et en plus sur MON toit ? C’est ça, hein ?— Non ! siffle-t-il, pris de court pa
AngèleJe dois trouver une solution. Une solution pour fuir cette étreinte étouffante, cette envie malsaine qu’il projette sur moi comme une condamnation.— Arrête…— Je ne peux pas. J’ai besoin de ma femme…Il me soulève brusquement du sol, comme si je ne pesais rien, et me jette sur le lit. Je rebondis aussitôt, animée par un mélange de rage et de panique, et je saute hors du lit avant qu’il n’ait le temps de m’immobiliser.Il tente de m’attraper, mais je suis déjà de l’autre côté du lit. Nos regards se croisent. Un duel silencieux commence. Il se penche pour m’attraper, tend une main rapide, mais je le repousse en lui jetant la lampe de chevet. Il l’esquive de justesse, et elle s’écrase au sol dans un bruit sec.— Angèle, ne me pousse pas à bout. Viens ici !— Non ! Ne t’approche pas de moi. Ne me touche pas !— Tu es ma femme, et je veux faire l’amour à ma femme.— Je ne peux pas ! Et toi non plus tu ne peux pas !Il tente de contourner le lit. Lorsqu’il passe à gauche, je passe à
Angèle— Il n'est pas aussi insensible que toi… Mais où est-il ?— Il a préféré rentrer chez lui pour coordonner les recherches depuis sa base.— Mais… il est blessé !— Oui, il l’est. Mais malgré sa blessure, il a choisi de rentrer. Là-bas, il a ses repères, ses hommes, ses ressources. Il peut mieux organiser les choses. Tous sont rentrés avec leurs blessures. Ils vont se soigner sur place, en terrain familier.Je secoue la tête, abasourdie.— Bon Dieu… quelle horreur ! Ils sont blessés, et Ariane est là, quelque part… séquestrée par je ne sais quel fou !Je me lève brutalement, fais quelques pas, puis me rassois. Mes mains tremblent. Je ne sais même plus si je dois rester assise, me lever, hurler ou pleurer. Mon cœur bat trop vite, mes pensées s’emballent.Je suis traumatisée par ce que je viens d’apprendre. Ariane… où est-elle ? Qu’est-ce qu’elle endure à cette minute ? Quel genre de supplice ? Et qui est ce malade qui l’a enlevée ?— Et toi… toi, que fais-tu pour la retrouver ?—
Angèle— Vous êtes ma patronne, et vous n’avez pas le droit de porter quoi que ce soit dans cette demeure.Elle me sourit après cette petite tirade, les bras croisés, amusée. Je lui rends son sourire en secouant la tête, avant de répondre avec douceur :— Je le sais bien. Mais je veux aider, je n’ai pas l’intention de rester les bras croisés à regarder les autres travailler pendant que je me prélasse. Ce n’est pas dans ma nature.— Tout est déjà prêt, madame. Vous pouvez aller accueillir vos invités pour le petit déjeuner. C’est le moment parfait.Je pousse un léger soupir théâtral, tout en souriant.— Très bien, je m’avoue vaincue. Mais ce n’est que partie remise, je le jure. J’irai accueillir mes invités comme une hôtesse modèle.Je me rends dans la salle à manger. Dès que j’entre, je tombe sur le "couple de l’année" comme je les appelle affectueusement. Ils viennent tout juste d’arriver et, dès que leurs regards se croisent, je suis frappée par l’évidence de leur complicité. Une co
Angèle - Comment veux-tu que les autres me respectent, si mon propre mari m'a humiliée au vu et au su de tous ? - Tu as parfaitement raison, je ferai plus d'efforts . C'est promis ! - Je vais t'observer pendant quelque temps, je verrai si tu es vraiment sincère ou pas. Je ne te crois plus. Ta parole ne vaut rien ! Rien ! Tu m'entends ? Tu vas devoir me montrer que ta parole en vaut la peine. Mais d'ici là, ne t'approche plus de moi , ne me touche plus. J'en ai assez de ton comportement de macho ! Je suis une personne, pas un objet. ET tu me dois du respect ! J'exige du respect ! Je suis fatiguée de toujours perdre face à toi, j'en ai assez de ton côté autoritaire ! Tu as voulu une femme ! Et tu m'as oubliée à être ta femme. Tu m'as obligé à te donner ce que j'avais de plus précieux c'est à dire ma virginité, que tu m'as pris sans état d'âme , mais tout cela ne t'a pas suffit : Ton sexe se promène de trous en trous , pour chercher quoi ? Je ne saurai te le dire !
LuciferJe pense à tout ce que Ariane vient de dire et je réalise combien de fois j'ai été injuste envers elle.Je ne peux imaginer qu'elle puisse me tromper une seule fois, je ne peux l'accepter. Je tuerai quiconque oserait laToucher. Elle est ma femme, elle m'appartient . Personne n'a le droit de voir ce beau corps à part moi. Je suis le Dieu de l'enfer et j'amènerai dans les profondeurs de l'enfer toute personne qui la regardera de trop près. - Petite peste, j'ai compris ce que tu viens de me dire , et j'ai compris la leçon : Ne pas faire aux autres , ce que tu ne veux pas que l'on te fasse . Et toi Auracio, espèce de tête brûlée , pourquoi ne dis tu rien ? - Parce que ma fiancée a tout dit, que veux-tu que je dise de plus ? Ha , oui , je sais ce que je dois ajouter dessus : Tu es un idiot cher cousin , sinon qui oserait faire ce que tu as fait ? Tu es bête ou quoi ? - Si c'est pour m'injurier alors , je préfère que tu ne dis rien . - Et que voulais-tu que je te dis ? Que je t
Lucifer - Ça suffit , tu ne vas pas te moquer de moi sous mon propre toit , Auracio, tu dois apprendre les bonnes manières à ta sauvage ...- Espèce d'infidèle c'est toi le sauvage .Pour qui te prend-tu? pour m'injurier ? Tu veux du respect ? mon respect ? Mérite-la , c'est tout ce que j'ai à te dire .Qu'elle personne pathétique tu es ! Tu veux du respect ? As-tu respecté ta femme quand tu baisais une autre femme pendant qu'elle était à deux pas de toi ? As-tu respecté ta femme pendant votre lune de miel quand tu as baisé deux prostituées devant elle ? Tu penses qu'elle est faîte de quoi ? De bois peut-être ? Qu'elle n'a pas de cœur ? Qu'elle n'a pas de sentiment ? Quel homme marié pourrait faire cela à l'élu de son cœur ? Ou n'as-tu pas de cœur ?Mets toi un peu à sa place , pense un peu à ce que tu ressentirais si un autre homme posait ses mains sur ta femme ?Elle le dit en s'approchant lentement de moi j'ai l'impression qu'elle veut que je visualise ma femme en train de se fai
AngèleJe le vois s'approcher , comme un enfant prise en faute , il est tellement pathétique ! J'attends qu'il parle , mais pour le moment , il ne dit rien , il a cet air coupable sur le visage .Il prend la pommade, et commence à l'étaler sur les mollets . Je le laisse faireje verrai jusqu'où il ira . Il remonte jusqu'à mes cuisses , il est maintenant en genoux devant moi , il lève la tête et nos regards se croisent , et peut voir dans ses yeux beaucoup de désolation alors les miens lui montrent de la tristesse. Il ne dit toujours rien , et sa main , monte jusqu'à mon sexe , je l'arrête et lui dit : - Je crois qu'il est temps que je m'habilleJ'ai fini de me pommader .- Attend, je n'ai pas encore fait le milieu du dos ! - Non ça va ! Je me lève , pour m'habiller , nous devons aller dîner , je me rends dans mon dressing pour chercher une robe que nous avons choisi aujourd'hui : Elle est de couleur bleue , très simple , vraiment faite pour la maison , elle m'arrive à mi-cuisse ,