Chapitre 608Marcellus avait l’air froid : « Alex Leroy ? » Luc l’a regardé en répondant à mi-voix : « Oui. » Alex était un petit actionnaire de l’entreprise et se chargeait du travail très important. Il avait trahi Marcellus comme Gilen, il était promu lorsque Marcellus avait expulsé sa belle-mère pour diriger le Groupe Raimond. Il ne se montrait pas reconnaissant envers Marcellus, il l’avait même trahi, c’était trop incroyable ! Marcellus a fermé les yeux et a pressé ses tempes, il est resté silencieux pendant un moment avant de dire d’un ton glacial : « Appelle la police et envoie un message de récompense de cinq millions au public. » « D’accord, je les ferai tout de suite. » « De plus, tu préviens tous les actionnaires et les cadres que je vais tenir une réunion plénier », a dit Marcellus en ouvrant les yeux et en ayant des regards froids, « personne n’a pas le droit d’être absent, sinon, il sera directement expulsé du Groupe Raimond. » Il voulait savoir le nombreux
Chapitre 609Luisa a dit d’un ton excuse : « Je ne veux pas te déranger trop. En effet, tu peux m’emmener dans un endroit où Marcellus ne peut pas me trouver, cela me suffit ! Je peux ensuite chercher un hôtel pour habiter. » « Mais il pourra trouver l’hôtel selon tes informations personnelles », a dit Vincent. Luisa s’est étouffé et a acquiescé. Vincent a regardé vers elle et a pincé les lèvres : « Je fréquente habituellement peu ici, cette maison est toujours libre, si tu y habites avec les enfants et Aaida, elle sera animée, c’est aussi comme une aide pour moi. » Il a souri doucement comme la brise au printemps, très chaleureux. Luisa lui a répondu sincèrement : « Merci, Vincent ! » « De rien ! » Après avoir dit cela, il est descendu de la voiture. Aaida les a suivis, elle n’a pu s’empêcher d’observer Luisa et Vincent à plusieurs fois. Dans le manoir, il y avait un intendant qui s’appelait Connell Perrin, âgé d’une cinquantaine d’années, il avait l’air très aimabl
Chapitre 610Dans la maison précédente de Luisa, qui se trouvait à côté de l’Académie des Beaux-Arts. Le printemps venait d’arriver, mais la brise du matin, qui voltigeait dans l'air, était en peu froide. L’homme est revenu de l’entreprise sans tarder et est entré dans sa maison à grand pas. Il a cherché toutes les chambres et tous les coins de la maison, de l’intérieur à l’extérieur, mais il ne l’a pas trouvée. Finalement, il se tenait devant une porte sombre du salon et a regardé vers la porte de derrière qui se trouvait non loin de lui. Évidemment, peu après qu’il était parti hier soir, elle s’était enfuie avec Aaida et les enfants par la porte de derrière. C’était vraiment une femme pénible ! À ce moment-là, Perona et Chusseau sont venus en courant. « Jeune maître », ont-ils dit d’un ton prudemment en baissant les têtes. Marcellus a dit d’un ton glacial : « Avez-vous trouvé quelque chose ? » « Oui », a répondu Perona, « à une heure du matin, une voiture argentée
Natalie a maudit discrètement. Elle a regardé autour d'elle, il n'y avait personne, puis elle a sorti son portable et a envoyé un message à « Monsieur Victor » : « Monsieur Victor, Marcellus m'a choisie cette nuit-là, mais pourquoi il a refusé de me parler récemment ? Est-ce que cette salope de Luisa lui a dit quelque chose ? »Elle ne connaissait ni le vrai nom ni l'identité de ce « Monsieur Victor », elle avait fait sa connaissance à cause de Gilen lorsqu'ils complotaient « la nuit » ensemble. Monsieur Victor était si puissant que son pouvoir dépassait ses imaginations. Non seulement il connaissait très bien Marcellus et Luisa, mais était également capable de tout planifier à la perfection.En fait, elle ne croyait pas vraiment que Marcellus la choisirait cette nuit-là, mais Monsieur Victor a affirmé avec conviction : « Il te choisira certainement. » Par la suite, elle a suivi son plan à moitié convaincue, mais à la fin, Marcellus l'a vraiment choisie ! En y pensant, elle a serré l
Vincent a souri en réponse et a mis le téléphone dans sa poche. En se levant, il a dit à Luisa : « Le petit déjeuner est prêt, allons manger. »Luisa lui a répondu avec un sourire : « D'accord. »Elle est arrivée à la table avec Eliaz dans les bras, tandis que Vincent tenait la main de Mirielle pour les rejoindre.Luisa a aussi appelé Aaida qui s'affairait à l'extérieur, et tout le monde a pris le petit déjeuner ensemble.Le petit déjeuner était copieux et comprenait les plats préférés de Luisa. Les deux enfants et Aaida n'étaient pas difficiles et ont apprécié les plats.Vincent s'est assis à côté de Mirielle, mangeant calmement.Cependant, il a jeté discrètement quelques regards à Luisa pendant le repas.Elle mangeait de manière concentrée et donnait des petits pains cuits à la vapeur à Mirielle et Eliaz. Son visage délicat restait tranquille, sans montrer le moindre signe d'inquiétude.Il semblait donc qu'elle n'ait pas vu le message.Vincent était soulagé et a pris un bol de bouill
La cour arrière est très différente de la maison de style architectural chinois en face, Il y avait un bois artificiel, des lumières colorées suspendues partout sur les branches des arbres, en plus de ces beaux ornements, il y avait beaucoup de manèges de jeux, comme un parc d’attraction.Luisa a également remarqué plusieurs ouvriers qui transportaient des équipements dans le terrain vague du bois.Apparemment, tout cela a commencé le soir dernier ...Vincent a spécialement préparé tout ça pour les deux enfants ?Luisa a eu tout à coup l’impression que ses jambes devenaient lourdes, elle ne pouvait plus avancer.C’était trop pour elle.Pendant ce temps, Mirielle avait déjà traîné Eliaz pour s'asseoir sur un petit train. Elle conduisait le petit train tout en appelant Luisa : « Maman, viens aussi ! »Luisa a souri avec un air impuissant et s’est dirigée vers eux....À ce moment-là, à l'intérieur d'une voiture blanche de haut de gamme qui roulait sur l’autoroute.Vincent était assis à l
Immeuble des Raimond. Une crise commerciale majeure venait tout juste de se terminer, pourtant, une atmosphère lourde et oppressante régnait l'ensemble de l’entreprise.Dans le bureau de Marcellus, au dernier étage. L’homme se tenait devant la porte-fenêtre, ses yeux profondes fixant au loin.On a frappé à la porte.« Entrez. »Luc est entré, s'approchant de lui et s'arrêtant à quelques pas derrière son patron, puis il a dit à voix basse : « Comme vous l'avez demandé, nous avons passé en revue le personnel de l’entreprise et voici la liste des personnes suspectes. J'aimerais que vous y jetiez un coup d'œil. »Luc lui a tendu les documents qu'il tenait dans ses mains.Marcellus les a pris et a commencé à les lire. Ces personnes étaient principalement des cadres supérieurs de l'entreprise. Les dossiers contenaient des informations détaillées à leur sujet, y compris leurs activités privées au cours des deux dernières semaines. Il y avait des mouvements de fonds à leur nom, principaleme
Les deux petits ont levé la tête pour la regarder.Mirielle a demandé : « Maman, as-tu un rhume ? »Luisa lui a répondu en souriant : « Maman va bien, c'est juste un courant d'air frais qui m'a fait éternuer. » Elle se sentait bien, à part de cet éternuement, elle n’a pas eu d’autres symptômes de la grippe et sa voix était normale.Peut-être que quelqu'un l’avait maudit dans son dos.À ce moment-là, une silhouette élancée est apparue depuis l'extérieur de la forêt.Mirielle était le premier à la remarquer, ses grands yeux se sont illuminés et elle a crié joyeusement : « Oncle Vincent ! »Vincent est venu vers eux en souriant.La petite fille s'est précipitée vers lui.Il a tendu les mains pour prendre Mirielle dans les bras et son regard doux s'est posé sur Luisa.Luisa a demandé avec un sourire : « Pourquoi es-tu venu ici ? »Ce n'était pas qu'elle ne voulait pas qu'il vienne, après tout, c'était sa maison et il pouvait venir quand il voulait. Luisa était simplement curieuse de savoir