Chapitre 383 Le moyen le plus direct était de l’envoyer en prison pour la torturer. Manette a crié tout de suite joyeusement : « C’est bien, tant que Luisa sera en prison, elle ne pourra plus te voler monsieur Raimond ! » ... Une SUV noire roulait dans la nuit. Après vingt minutes, la voiture s’est arrêtée devant la porte de la villa. La porte familière est apparue, Luisa a serré froidement les poings. Le chauffeur et le garde du corps sont descendus de la voiture l’un après l’autre, tout en ouvrant la porte pour elle et Marcellus. « Sors », a dit Marcellus froidement. Luisa a porté son manteau et est sortie de la voiture. Deux voitures ordinaires qui les suivaient se sont également arrêtées à côté d’eux, plusieurs gardes du corps sont descendus. Marcellus a jeté un coup d’œil sur le coffre et a dit avec colère : « Fais-le descendre. » Immédiatement, deux gardes du corps se sont avancés pour ouvrir le coffre et ils ont emporté Jules à l’intérieur. Il y
Luisa voulait s’avancer pour l’arrêter, mais elle n’est pas arrivée à se débarrasser de la prise de Marcellus malgré avoir mis toutes ses forces.En regardait la voiture s’éloignait, elle a tourné la tête vers lui et l’a fortement mordu.Mais l’homme restait toujours immobile en se tenant le dos.Après un long moment, elle n’a pas pu s’empêcher de lever la tête pour fixer un regard furieux sur lui de ses yeux rouges.Il la regardait aussi, son regard était froid et impassible.Il était comme un diable de l’enfer qui faisait peur.Si c’était au temps habituel, Luisa aurait été effrayée, mais à ce moment-là, elle ne sentait que de la haine !Elle a dit furieusement : « Marcellus Raimond ! Espèce de connard ! Tu es un satyre qui n’a que le sexe dans la tête ! »Il a soudainement attrapé son visage, Luisa a donc dû avaler ses mots.Elle ne pouvait pas l’insulter et ne pouvait que le fusiller de son regard haineux.En voyant ses yeux rouges de colère, Marcellus a dit avec un sourire léger s
Les deux gardes du corps lui ont emboîté le pas sans dire un seul mot.Luisa a jeté un coup d’œil au portail et a commencé à se promener dans la cour.Le regard de deux gardes du corps était rivé sur elle et ne l’a jamais quittée.Elle s’est promenée jusqu’à ce qu’elle soit fatiguée, elle est donc rentrée dans la maison.Elle se sentait ennuyée et a donc allumé la télévision, mais la télévision était également hors de service.Heureusement, elle avait des morceaux de bois et un burin dans sa chambre. Elle a pris un morceau de bois et a commencé à le graver au burin assis sur le sol.À l’hôpital de la ville Qing, dans un service VIP.Madelaine était clouée sur le lit sous respirateur. Ses yeux étaient fermés, aucun signe indiquait qu’elle aille se réveiller.Marcellus était assis sur une chaise près du lit, il était resté ici depuis le petit-matin.À ce moment-là, quelqu’un a frappé doucement à la porte.« Entrez », a dit Marcellus.Luc s’est introduit dans le service et a dit à voix ba
Son visage était froid, son regard sévère.Les jambes de Luisa tremblaient, elle a failli perdre l’équilibre et tomber par terre.Le garde du corps qui a reçu un coup entre les jambes s’est précipité vers Luisa.Luisa restait immobile sur le haut du portail, elle ne savait pas comment faire. Devait-elle continuer à s’échapper ou rentrer à la maison ?Le silence régnait l’atmosphère.Après un instant, Marcellus a ouvert la portière et est descendu de la voiture. Il s’est dirigé près d’elle à grandes enjambées et a demandé en fixant sur elle un regard sombre : « Veux-tu que je t’aide à descendre ? Ou préfères-tu descendre toi-même ? »Il s’est arrêté devant le portail et a tendu sa jambe pour donner un coup de pied au portail, il était évident qu’il voulait la faire tomber en secouant le portail.Luisa a rassemblé son courage et a sauté dans la rue. Dès qu’elle s’est atterrie, elle s’est mise à courir vers l’autre côté de la rue.Cependant, avant qu’elle ne s’avance d’un seul pouce, Marc
Elle ne pouvait pas se laisser abuser comme ça !Elle était un être humain, pas un chien de compagnie !Le lendemain, Luisa s’est réveillée à l’heure habituelle.Puis, elle s’est dirigée vers la cuisine pour préparer le petit-déjeuner. Elle a mangé beaucoup d’oignons et d’ails.Sa bouche dégageait alors une odeur désagréable. Le soir, cette odeur n’a toujours pas disparu.Jusqu’à minuit, Marcellus n’est pas encore rentré.Luisa a jeté un coup d’œil vers le portail. Les gardes du corps se tenaient droit, la rue était silencieuse, elle n’a vu aucune voiture approcher.Elle ne s’est pas brossé les dents et s’est allongée sur le lit en portant un pyjama à manches longues. Le lendemain, elle a été réveillée par l’odeur irritante dans sa bouche.Elle a donc fait les toilettes deux fois.Pourtant, pour faire face à Marcellus au cas où il se rendait ici, elle a mangé des oignons et ails de précaution.À minuit.Luisa s’est allongée sur le lit après avoir examiné la situation au portail, il n’
Il n’y aurait pas une prochaine fois !Marcellus a enlacé son cou et lui a donné un baiser sur le front.Luisa : « … »Elle voulait le frapper à mort !Puis, Marcellus l’a lâchée. Comment les dernières fois, il est sorti du lit, s’est habillé lentement.Après qu’il a remis tous ses vêtements, Luisa a rassemblé son courage pour lui dire : « Marcellus, je voudrais voir Eliaz et Mirielle. »« Tu ne les mérites pas », a-t-il dit d’un ton dégoûté.Luisa s’est resserré les poings et a dit : « Ils seront inquiets pour moi s’ils ne me voient pas pendant longtemps. »« Ne t’inquiète pas, je leur ai expliqué, ils ne demanderont pas de te voir récemment. »Luisa s’est précipitamment enquise : « Comment as-tu leur expliqué ? »Marcellus a répondu en lui jetant un regard froid : « Tu n’as pas besoin de le savoir. »Luisa se sentait en colère mais a dû refouler sa rage. Marcellus a bouclé les boutons de sa chemise. En la voyant grincer les dents de colère, il a affiché un sourire sur le visage et a
Il a plissé les yeux et a demandé : « Es-tu aussi obéissante pour avoir ma permission de les voir ? »Luisa ne savait pas s’il était content ou mécontent, elle a répondu après avoir réfléchi pendant longtemps : « Oui, mais ce n’est pas tout. »Marcellus la regardait avec un sourire illisible.Luisa lui a posé de nouveau la même question : « Puis-je les voir ? »« Non », a répondu sèchement Marcellus.Le visage de Luisa s’est immédiatement rembruni.Mais la seconde suivante, elle a de nouveau affiché un sourire sur le visage pour lui demander : « Alors, puis-je les appeler ? Peut-être un appel vidéo ? »« Non », a-t-il refusé sans hésitation.Le visage de Luisa s’est refroidi.Après un instant, elle a refoulé sa colère et a demandé calmement : « Peux-tu me raconter sur leur vie récente ? »Si elle était interdite de les voir, elle pourrait au moins apprendre sur leur vie.Marcellus a attrapé son menton et a dit avec un sourire léger sur le visage : « Une mère aussi méprisable comme toi
Mirielle ne pouvait plus contenir ses larmes dans les yeux, elle s’est mise à pleurer en criant : « Je veux maman ! Je veux maman… »Mirielle tapotait légèrement sur son dos en la prenant dans les bras jusqu’à ce qu’Aaida est entrée dans la chambre avec un médecin.Mirielle a arrêté de pleurer, mais ses yeux étaient toujours humectés, elle avait l’air très pitoyable.Le médecin a pris sa température.« Sa température interne du corps est plus de 39 degrés, il lui faut des médicaments », a dit le médecin. Puis, il s’est tourné vers Mirielle d’un ton doux : « Mademoiselle, sois sage, prends ce médicament, d’accord ? »Mirielle a crié en faisant ma moue : « Je veux maman ! »Eliaz a dit en lui caressant la tête : « Mirielle, prends le médicament, nous verrons notre mère, je m’en débrouillerai. »Mirielle a donc hoché la tête et a pris le médicament.Puis, Eliaz l’a rallongée.Aaida et le médecin n’ont pas quitté la chambre, le médecin prenait sa température toutes les demi-heures.Quelque