Chapitre 114La voiture a roulé doucement sur la route.Luisa s'est adossée au siège, le visage terne.Marc a rapidement senti que quelque chose n'allait pas chez elle.En pensant aux mots dont Marcellus l'avait menacée avant leur départ, Marc lui a dit : « Luisa, je peux t'aider à poursuivre Marcellus en justice pour obtenir le droit de garde des enfants. »Après avoir entendu cela, l’expression de Luisa a un peu changé.Marc a ajouté : « Miri a vécu avec toi auparavant, même si je ne peux pas obtenir la garde d’Eli, je ferai tout de même de mon mieux pour t’aider à obtenir la garde de Miri. »Luisa est restée silencieuse pendant un moment avant de lui répondre : « Merci, mais ce n'est pas nécessaire. »Ce n’était pas qu'elle ne voulait pas porter Marcellus en justice, mais elle ne voulait pas ruiner la relation entre la famille des Raoult et la famille des Raimond à cause d'elle.Les deux familles étaient des familles puissantes de la ville Qing et avaient une profonde coopération,
Chapitre 115Monsieur Perona a ouvert la porte de la voiture pour les deux petits enfants.Quant à Monsieur Chusseau, il les a transportés un par un dans la voiture.Puis les deux petits ont vu Marcellus, qui était assis seul dans la voiture.Eliaz s'est figé. Mirielle a fait la moue et a grogné.Marcellus les a regardés et avait l’air très sombre.Mirielle était sur le point de lui crier quand elle a soudainement vu son visage et a pincé ses petites lèvres.Eliaz n’osait pas dire quoi que ce soit également.Ensuite, ils se sont assis serrés l’un contre l’autre, évitant Marcellus à la plus grande distance possible.Il était évident qu'ils avaient peur de Marcellus à ce moment-là et qu'ils voulaient rester loin de lui.Marcellus a froncé les sourcils et a dit : « Asseyez-vous ici. »Eliaz et Mirielle l'ont regardé avec leurs grands yeux, mais aucun d'eux n'a bougé.Marcellus a ajouté : « Je ne veux pas le répéter. »Les deux petits se sont regardés.Ensuite, Eliaz s'est déplacé à son cô
Chapitre 116Avant, Marcellus aurait pu les emmener chercher Luisa, mais maintenant, quand il pensait à Luisa, il penserait à la façon dont elle était partie avec Marc envers et contre tous.Elle ne se souciait même pas des deux enfants.Le visage de Marcellus est devenu froid et il n’a pas répondu à Eliaz.Eliaz a froncé les sourcils. Mirielle a continué à pleurer.N’ayant pas entendu l'accord de Marcellus, elle était si fatiguée qu'elle a fait une pause de deux minutes, puis a serré Eliaz dans ses bras et a commencé à pleurer de nouveau.Marcellus : « ... »Après quelques minutes, Mirielle était fatiguée de pleurer et a tourné la tête pour le regarder secrètement.Marcellus a haussé les sourcils et a rencontré directement son regard inquisiteur.Mirielle a instantanément rétracté son cou, puis a commencé à sangloter.Marcellus a eu un mal de tête et se sentait impuissant, il a levé la main pour presser le coin de son front.À ce moment-là, Eliaz lui a dit d’un air froid : « Si Miri c
« Je veux maman, elle me manque. »Eliaz lui a touché la tête : « On peut l’appeler. »« Mais nos portables ont été enlevés par père, et il ne permet pas aux de gens nous donner le téléphone. »« Il y en a un que nous pouvons toucher. »Les grands yeux de Mirielle s'illuminaient, elle a demandé : « Lequel ? »Eliaz a souri : « Le portable de notre père. »...Quelques heures après, au milieu de la nuit.Deux petites silhouettes sont sortis de la chambre, ils ont marché avec les pieds nus sur le sol silencieusement vers la pièce de Marcellus.Eliaz appuyait sur la poignée de porte.Mirielle est entrée lestement.Voyant que Marcellus dormait profondément dans le lit, Mirielle a doucement pris son téléphone portable qui était sur la table de chevet à côté du lit et l’a sorti lentement.Puis, Eliaz a fermé la porte discrètement. Les deux petits sont retournés dans leur chambre. Eliaz a allumé le téléphone et a sorti le numéro de Luisa de la liste noire.A ce moment, dans la maison de Lui
Au Jardin du lac, la villa de Marcellus.Dans le grand salon éclairé par un lustre en cristal, Natalie s'assoyait sur le canapé, vêtue d'une robe de haut de gamme, avec un verre de vin rouge à la main.Marina s'est assise à côté d'elle, elle a regardé autour : la villa était très belle, comme un château noble dans les films avec luxe et goût.Bien que Marina ait grandi dans une grande famille riche, les décorations l’ont éblouie.La famille de Moreau vivait dans un quartier des riches, l’environnement là-bas était bon, mais ce n’était pas comme le Jardin du lac, il n'y avait que dix villas dans cette région, même si des gens avaient de l'argent, il y avait peu de chance d’en acheter une.Natalie a remarqué son envie, elle a souri : « Ma sœur, Marcellus m'a donné ce vin il y a longtemps, je n'ai pas le temps de le boire, aujourd’hui on peut le goûter ensemble, je crois qu’il est pas mal. »Marina a senti l’odeur agréable du vin quand elle est entrée, en entendant cette phrase, elle a im
Luisa a souri: « Ça suffit déjà, merci beaucoup. »Après avoir eu l’adresse de Suzette, Luisa a pris une demi-journée de congé immédiatement et a conduit à l'appartement de Suzette.C’était un vieil quartier éloigné du centre-ville, il a fallu presque une heure de voiture de chez Luisa pour arriver ici.Luisa a frappé à la porte.La porte a ouvert rapidement. Pourtant, la maîtresse de l’appartement -- Suzette a voulu refermer la porte en voyant Luisa debout devant sa porte.Luisa a poussé la porte en premier et est entrée dans la maison.Suzette s'est retirée d'un pas et l'a regardée avec effroi : « Qu’est-ce que tu veux faire ? »« Et ça, tu le sais », a répondu Luisa froidement.Les yeux de Suzette ont clignoté : « Je ne sais pas de quoi tu parles. »Luisa ne voulait pas perdre son temps ici : « Natalie t'a-t-elle demandé de me surveiller ? »« Natalie ? Je ne sais pas de qui tu parles. » a continué Suzette.Luisa a dit directement : « Ton père est un joueur invétéré, il est en dette
Aaida était la personne la plus importante en plus de ses enfants pour Luisa, elle ne voulait pas que la mauvaise chose lui arrive. …Elle s'est précipitée dans la maison le plus vite possible.Devant la porte se tenaient deux grands gardes.Luisa a traversé le cours, les outils de nettoyage d'Aaida étaient sur le sol.Elle est entrée dans le salon et a vu son père biologique Denis, et sa belle-mère Maëlle, qui était assise sur le canapé.Les gens qu'ils ont amené leur ont servi du thé.Luisa n’a pas vu Aaida.« Où est Aaida ? » a demandé-t-elle.Denis a pris une gorgée du thé et lui a répondu lentement : « Elle n’est plus ici. »Luisa a changé de visage : « Où l’avez-vous emmenée ? »« Attention hein, ne pas utiliser ce ton de mon discours. »« Luisa. » a dit Maëlle en souriant, « Nous avons juste invité Aaida à se reposer dans un autre endroit. »« Alors c’est où ? ! » Luisa a accentué son ton, elle s’est inquiétée de la sécurité d’Aaida.« Ne t’inquiéte pas, nous voulons voir notre
Chapitre 121 « Canaille ! » Denis voulait la gifler. Luisa n'a pas bougé. Maëlle l'a arrêtée et a dit en souriant : « Denis, ne te fâche pas. Tu n'es pas en bonne santé, ça ne vaut pas la peine d'être en colère contre elle. » Et puis elle a dit à Luisa : « Je vais te faire savoir le copain pour toi, dépêche-toi de réfléchir bien, je crains qu'Aaida ne soit pas patiente de t'attendre pendant longtemps. » Luisa avait un visage impassible. Maëlle a ri et a dit à Denis : « Denis, allons-y, laisse-la bien réfléchir. » Denis s'est radouci : « D'accord. » Il a fixé Luisa et est sorti avec Maëlle. Leurs subordonnés sont également partis. Toute la maison était silencieuse. Luisa a baissé la tête et l'a saisie par les mains. Elle a ressenti désespérée comme s'il y avait trois ans où elle avait été expulsée de la ville Qing. Luisa avait très mal à la tête qui la fendait. A ce moment, son téléphone portable a sonné. Maëlle lui a envoyé un message. Il s'agissait de l'information d'u