Chapitre 710

Leurs gardes du corps les suivaient silencieusement. Si ce n’était pas parce qu’ils faisaient du bruit quand ils marchaient, on aurait cru qu’ils étaient des fantômes.

Avant d’entrer dans la cabine, Arthur s’est arrêté.

« Gabriel », a crié Arthur d’une voix grave.

Gabriel s’est tourné vers lui.

Mais Arthur a arrêté de parler, il a repris la parole après un moment de silence : « Arrête de m’arracher mes clients. »

Gabriel a dit d’un ton léger : « Tant que tu n’as pas encore signé de contrat avec eux, ils ont le droit de changer de partenaire, quelques entreprises ont même changé d’avis après avoir signé des contrats. C’est quelque chose de très normal dans les affaires. Tu ne peux pas dire que je t’ai arraché des clients, ce sont les clients qui m’ont choisi. On ne parle pas d’amitié quand on fait des affaires. »

Arthur : « Gabriel… Tu es vraiment un très bon ami. »

Le visage de Gabriel restait calme, il a dit : « Bien sûr. Je voudrais en plus te demander pourquoi tu n’as pas encore d’