Puis, Raphaël a dit à sa mère : « Maman, va faire des magasins avec ma soeur, s’il te plaît. Vous pouvez vous acheter tout ce qui vous plaît. »Raphaël a sorti son portable. Il a versé cinq mille euros à sa mère afin qu’elle puisse faire des achats.« D’accord, j’irai avec ta soeur plus tard. On s’achètera quelques vêtements. Va au travail et rentre plus tôt ! »Marie est sortie de l’appartement en tenant compagnie à son fils. Elle lui a fait un clin d’oeil, de manière à lui rappeler d’acheter un cadeau à Charlotte après avoir quitté l’entreprise. Charlotte a pris la poussette. Elle y a mis son fils, disant froidement : « Je vais faire une promenade au quartier avec André. »« Vas-y, vas-y ! »Marie lui a adressé un sourire aimable.Charlotte a pris garde sur-le-champ.Il était certain que sa belle-mère comptait profiter d’elle en agissant comme ça ! Sa belle-mère et sa belle-soeur voulaient-elles lui chercher des ennuis ?Mais elle rejetterait toute réclamation déposée par elles !Av
Hélène a aussi tourné la tête en regardant Tiffany qui s’éloignait d’elles : « Elle nous a souri ? Je ne la connais pas. »« Eh bien, je me suis trompée, sans doute. Ce n’était pas à nous qu’elle a adressé le sourire. »La copine d’Hélène n’a pas beaucoup réfléchi.Elle a tourné la tête de nouveau. Voyant que Tiffany s’était assez éloignée, elle a dit : « C’est vrai, je me suis trompée. »« Elle est jolie et d’un style décent. Je lui ai jeté un coup d’oeil, mais je n’arrive pas à la reconnaître. J’ai cru qu’il s’agissait d’une demoiselle et que tu la connaissais. », la copine d’Hélène a plaisanté, « toutes les demoiselles de la cité W te souriront en te voyant ! »Hélène avait trois fils, dont l’aîné était le plus reconnu en tant que chef de famille du Groupe Larousse. Sa position au sein de la famille Larousse n’était inférieure qu’à Mme Lola.Les garçons de la famille Larousse étaient tous brillants. À l’exception des deux garçons les plus jeunes, dont l’un était au lycée et l’autre
En ce qui concernait l’attitude de sa belle-mère qui avait feint de ne pas la connaître, Tiffany la comprenait bien. Elle ne l’a pas prise à coeur.Elle est retournée à sa voiture et a ouvert la porte. Elle a déposé les habits qu’elle avait achetés à Gabriel sur le siège du co-conducteur, puis elle est partie en voiture.Peu de temps après, Tiffany est arrivée à la Résidence des Fleurs. Gabriel n’était pas encore rentré. Tiffany s’est mise à faire du jardinage sur le balcon.Le rosier donnait trop de fleurs. Tiffany a pris des ciseaux. Elle a enlevé quelques fleurs. Mais comme elle n’avait pas le coeur à les jeter dans la poubelle, elle les a apportées dans le salon. Elle les a mises dans un vase après les avoir taillées.Dring, dring, dring.Le portable de Tiffany a sonné.Elle a décroché. C’était de la part d’un voisin de sa librairie. Elle était allée faire des magasins pour acheter des habits à Gabriel et avait confié ses animaux de compagnie à un voisin, parce que ce n’était pas p
Comme Max a proposé de partir, Tiffany lui a répondu : « Attention en faisant du tricycle. »Max était venu en tricycle.Max lui a adressé un sourire. Il a fait un geste à Tiffany et est parti en tricycle.Après que Max avait pris le départ, Tiffany a appelé Gabriel.« Qu’est-ce qu’il y a ? »On a entendu la voix sourde de Gabriel.« Gabriel, tu as fini ton travail ? »Gabriel a gardé le silence pour un instant. Il a pas mal réfléchi. Eh bien, il manquait à Tiffany ?Très vite, Gabriel a abandonné cette idée. Ce serait incroyable que Tiffany pense à lui !Il était à noter qu’il était devenu un peu trop sensible ces derniers jours !« Qu’est-ce que tu as ? »Gabriel n’a pas répondu à la question de Tiffany. Il désirait lui répondre après s’être rendu compte de la raison pour laquelle elle lui avait téléphoné. « C’est ça. Je suis sortie de l’appartement pressée et j’ai laissé la clef chez nous. La porte s’est fermée et je ne peux pas rentrer. Si tu dois continuer à faire des heures comp
« Surprise ! »Gabriel a pris le sac. Il a dit après y avoir jeté un coup d’oeil : « Encore des habits ? »Il a sorti les vêtements. Cette fois-ci, Tiffany était plus généreuse qu’autrefois. Elle lui avait acheté des habits de marque !« Je n’ai pas d’expérience au sujet des cadeaux pour les hommes. Je n’arrive pas à t’accorder de grande surprise. Mais une petite surprise, c’est possible ! La dernière fois, je ne t’ai pas offert des habits chers. Chacun d’entre eux n’a coûté que quelques centaines d’euros. Mais cette fois-ci, je t’offre des vêtements de marque ! Ils coûtent plus de dix mille euros ! »« On se sentirait entouré de billets en les portant, n’est-ce pas ? Ce n’est pas une bonne surprise ? Moi, je n’ai jamais eu la générosité de m’acheter des vêtements aussi chers depuis ma naissance. »Gabriel a esquissé un sourire : « Tenant compte de ton caractère et de ton portefeuille, il s’agit vraiment d’une bonne surprise ! C’est bien que tu puisses m’acheter des vêtements si chers
Ayant terminé la discussion avec sa mère, Gabriel a froncé les sourcils et a réfléchi. Puis, il s’est tourné vers le balcon et a demandé à la femme qui était installée sur la balançoire en portant le chaton dans les bras : « Est-ce que tu as rencontré ma mère à mon insu ? »Tiffany a été stupéfaite.Elle n’avait pas du tout parlé à Gabriel de la rencontre imprévue avec sa belle-mère. Comment avait-il su ?Gabriel s’est rendu au balcon. Il s’est mis devant Tiffany, en fixant le visage gracieux de celle-ci avec ses yeux noirs et étincelants. Il lui a posé la question de nouveau : « Est-ce que tu as vu ma mère aujourd’hui ? »Tiffany, apercevant que Gabriel tenait son portable, a cru que sa belle-mère avait téléphoné à ce dernier pour se plaindre. Elle s’est dépêchée d’expliquer : « Lorsque je t’ai acheté des habits, je suis tombée sur ta mère. J’ai voulu la saluer, mais ta mère ne m’a probablement pas reconnue. Elle est passée par là en causant avec son amie. Alors, je ne l’ai pas saluée
Ni l’un ni l’autre a parlé de la guerre froide dans laquelle ils étaient. Ils s’étaient réconciliés paisiblement. Tiffany avait compté passer les six mois avec Gabriel tranquillement. Pourtant, la sollicitude dans laquelle Gabriel la laissait l’émouvait. Elle avait quelquefois envie de continuer à vivre avec lui après les six mois !Néanmoins, elle craignait qu’il s’agisse de son propre désir et qu’au bout de six mois, elle tombe amoureuse de Gabriel, tandis que ce dernier ne l’aimait toujours pas ! Quand ils divorceraient, Gabriel démarrerait une nouvelle vie avec désinvolture alors qu’elle ressentirait de la douleur à cause de leur séparation. Il lui faudrait des années pour l’oublier !C’était facile de tomber amoureux de quelqu’un.Mais c’était difficile de l’oublier !« Rassure-toi. Si je tombe sur des problèmes lesquels ni ma soeur ni moi n’arrive à régler, je viendrai te voir. »Face à la sollicitude de Gabriel, Tiffany a répondu avec politesse.« J’ai téléphoné à ma soeur après
Tiffany s’est arrêtée.Gabriel s’est aussi arrêté. Il l’a regardée d’un regard profond et lui a demandé d’un ton doux et lourd : « Qu’est-ce qu’il y a ? »« Je paierai la bonne d’enfants parce qu’elle s’occupe d’André. Comme André est mon neveu, je dois payer sa bonne d’enfants, à titre de tante. Comment puis-je te faire payer ? »Il fallait des milliers d’euros par mois pour employer une bonne d’enfants.C’était Gabriel qui s’occupait de toutes les dépenses au foyer.Aux yeux de Tiffany, elle avait beaucoup profité de son époux.Gabriel ne s’est pas retenu de pincer doucement Tiffany au visage. Il a dit : « Toi, tu fais de petits calculs avec moi ! Tu fais trop de façons avec moi ! Nous sommes de la même famille. Pourquoi les membres d’une même famille se font tant de manières ? Le jour où j’ai signé le certificat de mariage avec toi, je t’ai dit que je pourrais t’entretenir, parce que tu es mon épouse. »« D’ailleurs, André m’appelle tonton. Cet enfant me plaît beaucoup. J’aimerais b
Gabriel ne savait pas que son travail acharné avait tant bouleversé toute l'entreprise. Après sept jours de calme, lundi suivant, au début de la nouvelle semaine, il a demandé à Tiffany de le rencontrer.Après une semaine de repos, la blessure à la main de Tiffany s'était beaucoup améliorée, au moins cela ne l'empêchait plus de conduire.Gabriel avait donné rendez-vous à Tiffany dans la suite présidentielle au dernier étage de l'Hôtel de la cité W.Tiffany était accompagnée d'André.Le petit garçon était avec elle ce jour-là, la boutique de sa sœur était sur le point d'être rénovée, et elle était très occupée ces derniers jours. Sa sœur n'avait pas le temps de s'occuper d'André, c'était pourquoi elle lui avait confié le petit.« Madame Larousse», Arsène et ses collègues, debout à l'entrée de l'hôtel, attendaient Tiffany. Lorsqu'ils l'ont vue descendre de la voiture avec André dans les bras, Arsène s'est avancé respectueusement et l'a saluée.« Où est votre grand maître ? » a-t-elle dem
Stéphane a ri et a dit : « Alors je dois redoubler d'efforts pour obtenir rapidement le cadeau que tante Cécile a préparée pour moi. »« J'ai entendu dire que votre famille est la meilleure pour partager des potins ? » a demandé M. Grolleau.Stéphane a répondu : «... Oui, c'est assez fort, oncle aime écouter des potins ? »Avec tout le sérieux du monde, M. Grolleau a déclaré : « Je ne suis plus jeune, qu'est-ce que je cherche des potins ? Mais bon, quand je m'ennuie, tu peux m'en parler, ça ne fait pas de mal. »Mme Grolleau a taquiné son mari en disant : « Chloé lui ressemble beaucoup. »Chloé était friande de potins, tout comme son père.Stéphane était exactement ce type de personne.On disait bien qu’il n’y avait pas de famille sans ressemblance.Chloé, craignant que ses parents ne parlent mal d'elle en son absence, avait même choisi des vêtements pendant toute la matinée sans se décider, a très rapidement pris sa décision.Elle s'est changée à la hâte, a attrapé son téléphone et a
En voyant Stéphane, les deux chiens ont cessé d'aboyer et ont même commencé à remuer la queue joyeusement. Comme Stéphane venait souvent, bien qu'il prétendît venir voir Rémi, il ne savait pas que la mère de Rémi pensait qu'il était intéressé par Rémi. Ainsi, il avait fini par se familiariser avec les deux chiens.C'était Rémi qui est venu ouvrir la porte. « Tu n'es pas venu pour moi, n'est-ce pas ? » a-t-il demandé. Stéphane a répondu en souriant : « Je suis venu pour ta sœur, pas pour toi. » Rémi a également souri. « Je viens de l'apprendre hier que ma mère pensait que tu m'aimais. Ha ha, c'est tellement drôle ! » « Je n'aurais jamais imaginé que Cécile pourrait mal comprendre », a dit Stéphane. « C'est parce que chaque fois que tu venais, tu disais que tu venais me voir. Alors ma sœur est encore en train de se changer à l'étage. Elle dit qu'elle se fiche que tu viennes ou non, mais en réalité, dès qu'elle s'est levée, elle a commencé à choisir ses vêtements. Les femmes, elles
Cela signifiait que si elle ne pouvait pas s'intégrer dans son cercle, ils divorceraient et chacun retrouverait sa liberté.Le mariage devrait-il absolument être établi entre deux égaux ?Gabriel, lui et sa famille ne l'ont jamais méprisée, pourquoi s’est-elle mise autant de pression, se souciant de ce que les autres diraient d'elle ?S’il disait qu'il n'y avait pas de différence entre eux, il n'y en aurait pas !Il avait le dernier mot !« Si tu ne te souviens pas, alors rien ne s'est passé. Oh, il y a quand même une phrase que tu as dite toute la nuit, ‘Tiffany, je n'ai pas besoin de toi’, est-ce que tu as révélé tes vraies pensées ? Demain, tu devrais aller le dire à Tiffany. À quoi ça sert de fanfaronner devant nous ? »Gabriel a baissé la tête, l'air amer : « Grand-mère, Tiff m'a dit beaucoup de choses, disant qu'elle ne voulait pas être un canari que je nourris, disant qu'elle voulait être une femme qui marche à mes côtés. »« Elle a dit qu'elle voulait avoir des sujets de conver
Gabriel avait le visage si sombre qu'on ne pouvait le décrire. Cependant, il n'a pas osé s'approcher davantage, craignant d'être frappé par sa grand-mère avec sa canne. Il se souvenait encore de ses moqueries et lui a répondu froidement : « Grand-mère, je n'ai jamais dit ‘je n'ai pas besoin de Tiffany’. » Comment aurait-il pu dire une telle chose ? Il avait besoin de Tiffany, personne d'autre !« Vraiment, tu n'as jamais dit ça ? »Soudain, Gabriel a perdu sans voix, et après un moment, il a admis : « J'ai dit ça dans un rêve... Grand-mère, comment le savez-vous ? » Peut-être n'était-ce pas un rêve. Peut-être s'était-il disputé trop violemment avec Tiffany, et dans un moment de colère, il avait dit cette phrase, tout en voulant enflammer leur passion...« Grand-mère, ai-je... ai-je fait quelque chose à Tiffany après avoir bu ? »Si, dans un état d'ébriété, il avait forcé Tiffany...Mon Dieu ! Gabriel n'osait même pas imaginer les conséquences.L’alcool pouvait causer tant de torts
Qu’allait-il arriver à Gabriel ?Après s'être endormi ivre, il a rêvé.Dans son rêve, lui et Tiffany se sont disputés violemment, et il a crié sur elle : « Tiffany, je n'ai pas besoin de toi, je peux te remplacer à tout moment, tu ferais mieux d'accepter ce que j'offre plutôt que d'être punie ! »Dans le rêve, Tiffany l'a regardé froidement avant de se retourner pour partir.« Tiffany ! Tu ne t'échapperas pas de moi ! Tu es à moi ! J'ai besoin de toi ! »Son instinct était de la retenir, de ne pas la laisser partir.Il l'a tirée vers lui, l'a serrée fort, puis s'est penché pour l'embrasser passionnément, voulant enflammer leur passion...« Plouf – »Dans son rêve, alors que Gabriel s'enlaçait intensément avec Tiffany, un retournement l'a fait tomber du transat et chuter dans la piscine.L'eau glacée de la piscine l'a instantanément englouti.Son rêve s'est brisé, le feu ardent s'est éteint au moment où il est tombé dans la piscine.Mon Dieu !Que c'était froid !Tant d'eau !Pourquoi é
« Je vais l'emmener chez Tiffany, elle saura s'en occuper. »Stéphane pensait aider son ami.Léo l'a averti : « Gabriel est ivre et dit n'importe quoi. Si Tiffany entend ses paroles, ça ne fera que d’empirer les choses. »Stéphane : « ... Alors, emmenons-le à la Villa des Fleurs. »Léo n'a pas d'objection.Sortant du bar, Léo a aidé à soutenir Gabriel jusqu'à la voiture de Stéphane, lui a donné quelques conseils avant de le regarder partir avec Gabriel. Ensuite, il a appelé son chauffeur pour venir le chercher.Sur le chemin du retour à la Villa des Fleurs, Gabriel continuait de marmonner de temps en temps, tantôt disant « Tiffany, je t'aime, ne me quitte pas », tantôt « Que veux-tu de plus ? Je te dis, tu n’es pas indispensable pour moi. »En gros, il répétait les mêmes phrases. C'était l'amour et la fierté qui se battaient en lui, tantôt l'un prenant le dessus, tantôt l'autre.Après plus d'une heure, la voiture de Stéphane est arrivée à la Villa des Fleurs.Il avait appelé Mme Lola
Après avoir renversé les bouteilles et les verres sur la table, Gabriel s'est effondré sur la table, murmurant : « Tiffany, Tiffany ... t’es …pas…penss… pour... »Au début, ni Stéphane ni Léo n'ont compris ce qu'il disait. Ce n'était lorsqu’il a répété, et que Stéphane s'est approché pour écouter, qu'ils ont compris qu'il disait : « Tiffany, tu n’es pas indispensable pour moi. »« Qu'est-ce qu'il dit ? » Léo, voyant l'expression étrange sur le visage de Stéphane, a demandé curieusement.Stéphane s'est redressé, regardant Gabriel ivre et a dit à Léo : « Depuis son soudain mariage avec Tiffany, il s'est saoulé plusieurs fois à cause d'elle. »Au début, quand Gabriel et Tiffany ont signé leur accord, l'attitude désinvolte de Tiffany l'avait rendu morose. À ce moment-là, il était allé boire avec des amis et avait fini par être saoul, Arsène l'avait ramené chez lui. C'était aussi à cette occasion qu'Arsène avait pu apparaître devant Tiffany comme un chauffeur professionnel.« Et il dit qu'i
Peu importe la lenteur de la voiture, ils sont arrivés toujours rapidement à la location de Charlotte. Charlotte avait choisi un appartement pas trop loin de la Résidence des Fleurs pour ne pas être trop éloignée de sa sœur.Gabriel a garé la voiture.« Je suis arrivée. »Tiffany a ouvert la porte de la voiture elle-même et, après avoir dit à Gabriel qu'elle était arrivée, est descendue.« Je t'accompagne à l'étage. »« Pas la peine, tu peux rentrer. Sois prudent sur la route. Repose-toi bien à la maison demain, tu as l'air fatigué. »Les yeux noirs de Gabriel la fixaient intensément, et il a demandé d'une voix rauque : « Tiffany, tu t'inquiètes encore pour moi, n'est-ce pas ? »Il a voulu lui prendre la main, mais elle s'est retournée et est entrée dans l'immeuble.Gabriel est resté à l'entrée, la regardant monter les escaliers, et a finalement décidé de ne pas l'accompagner.Lui aussi avait sa dignité. Plusieurs fois il s'était abaissé et elle l'avait rejeté...Après un moment, Gabri