Chapitre 267 Des perruques qui suivent les coutumes de la campagne

Après avoir marché pendant plus de vingt minutes, Stella a senti que ses jambes étaient engourdies, ses pieds avaient usé de nombreuses ampoules et étaient très douloureux. Quand elle l'a suivi jusqu'à la destination, la forte pluie s'est arrêtée. Le bruit des vagues sur la mer était plus compact, le vent se levait un par un, d'énormes vagues clapotaient sur les rochers et balayaient la plage, et le bruit du tsunami était extraordinairement âpre.

En quittant les bois, le sol près de la mer était boueux et humide, la boue molle rendait difficile de lever les pieds. L'homme devant elle marchait d'un pas ferme et vigoureux, il n’était point fatigué après avoir couru pendant si longtemps. Il semblait être habitué à ces conditions.

Sous les récifs ondulants, Roland a remonté le côté sous le vent de la colline, et a déplacé sur le côté un rocher d'une demi-hauteur d'homme. Et puis, en saluant Stella qui a été choqué, il est entré dans la petite grotte derrière le rocher. Il y avait un autre