« Je ne veux pas du tout que Charley conduise ma voiture. » Juliette pensait avec un air très méprisant. « Ouf ! » Quand elle est descendue de la voiture, elle s’est tout d'un coup heurtée à quelque chose, son visage s’est tordue à cause de la douleur et la colère. « Qu'est-ce qu'il y a dans ta voiture ? C'est dangereux ! » Juliette s’est plaint avec colère, ensuite, elle a trouvé quelque chose sur place. Puis, elle était bouche bée, car il y avait une batterie. « Pourquoi y-a-il une batterie dans une voiture de luxe ? Peux-je la jeter dans la poubelle ? » Juliette a pris cette batterie dans la main avec colère, elle a presque piétiné, ensuite, elle a levé la main et voulait la jeter directement dans la poubelle près d'elle. Mais tout d'un coup, elle était stupéfaite. « Cette batterie m’est un peu familière » Elle a écarquillé ses yeux et a toisé cette batterie sous la lumière, puis, elle était bouche bée. « Mon Dieu, c'est justement ma batterie ! » Elle a pouss
« C'est faux ! » Juliette s'est souvenue tout d'un coup des excuses de Mathieu. « Pourquoi a-t-il dit qu'il doit connaitre mon apparence ? Il y a plusieurs moyens pour la connaitre, pourquoi devrait-il trouver mes photos sur une batterie ? En plus, est-il nécessaire de connaitre mon apparence ? » Juliette se demandait. « Je lui ai déjà demandé comment il m'avait sauvé, il a découvert le nom de cet hôtel et le numéro de cette chambre avec l'aide de ses subordonnés, ensuite, il m'a sauvé tout de suite. Pourquoi devrait-il connaitre mon apparence ? » Elle était de plus en plus surprise. « En plus, pourquoi mon cher Pinkfango connait tout cela ? Est-il vraiment venu dans le bar ? Mais il semble de ne pas aimer les bars. Seul Charley connait que je suis allée dans le bar. » Elle a murmuré avec stupéfaction, « Mon Dieu ! » Elle ne pouvait plus garder son sang-froid : « Mon Dieu, Charley est-il justement mon cher Pinkfango ? » Tout d'un coup, elle a éclaté de rire : « C'e
En effet, Charley ne voulait pas du tout faire cela, car il devait s'occuper des sentiments d'Eva. Puisqu'il avait déjà pris la décision de devenir son copain, alors, il devait toujours être soigneux tout en s'occupant de ses sentiments. Mais à sa grande surprise, Yolaine a tout d'un coup éclaté en sanglots. « Désolée, Monsieur Marchand. En effet, c'est moi qui ai tort, pourquoi vous ai-je obligé souvent à m'aider ? Mais ma tante a déjà prévenu à mes parents et mes cousines, et tout le monde veut fortement vous voir. Alors, cette fois-ci, je les dirai directement que vous n'êtes pas mon copain et que je ne mérite pas votre amour. Désolée. » Yolaine pleurait. Ayant entendu cela, Charley se sentait un peu embarrassé et désolé. En effet, il ne voulait pas du tout que les autres soient de mauvaise humeur à cause de lui, alors, il a gratté la tête et a souri avec amertume : « Yolaine, ne pleure pas ! Aujourd'hui, je peux t'accompagner, d'accord ? Donne-moi la position et je vien
« Je suis vraiment désolée, tante, mais il y a des embouteillages. » Yolaine a dit tout en souriant. « C’est rien, c’est rien. Yolaine, tu es très gentille. » Rebecca a répondu en souriant, en même temps, elle toisait Charley avec plein de mépris. « Tantes, cousines, bonjour ! » À ce moment-là, Charley a aussi dit avec politesse. « Es-tu justement Charley ? » Rebecca a mis ses mains dans la poche avec arrogance, puis, elle le regardait avec mépris. Bien que beau et gentil, dans ses vêtements tout à fait démodés, il semblait être un campagnard. Ensuite, Rebecca a secoué la tête avec mépris. Si un jeune homme comme lui voulait devenir son gendre, elle lui donnerait sans aucun doute deux gifles avant de lui faire des injures. « Oui. » Charley a répondu tout en souriant. « Tant mieux. » À ce moment-là, le ton de Rebecca est devenu un peu froid et indifférent. « Charley, il y a longtemps que nous ne nous sommes pas vus, mais tu restes toujours tellement stupi
Ils étaient en effervescence. Entouré des moqueries, Charley voulait presque verser du thé au lait sur eux, alors, en voyant leur tasse vidée, il a trouvé un petit prétexte : « Puis-je acheter encore des tasses de thé ? Vous pouvez encore discuter là. » À ces mots, il a quitté sa place. En voyant qu’il s'est éloigné, les deux jeunes femmes se sont approchées tout de suite vers Yolaine, en plus, même la femme la plus aînée s'est avancée vers elle. En effet, elles se rencontraient souvent, et elles étaient tout à fait familières. « Yolaine, pourquoi es-tu tombée amoureuse d’un homme pareil ? » « Yolaine, c’est un campagnard, un bon à rien ! Je ne veux plus le voir ! » « Yolaine, j'en ai assez ! Personne ne veut faire sa connaissance ! » Les trois femmes ont dit sans cesse. « Cousines, pourquoi vous ne faites attention qu'à ses vêtements ? Charley est tout à fait gentil et fidèle, en plus, il a toujours des idées, alors, il a aussi du charme, n'est-ce pas ?
« Ah oui, est-elle justement la Villa Genting, que Monsieur Marchand de Savoy a acheté à huit cents millions d'euros ? C'est une grande nouvelle pour les personnes riches et nobles. » « Mon Dieu, est-elle justement ici ? Elle est très luxueuse. » « Yolaine, ton père est-il justement un noble dans la Rue commerciale de Savoy ? Peux-tu m'amener à proximité de cette Villa ? » À ce moment-là, Perrine et Rebecca étaient tout à fait excitée. Yolaine s'est tournée vers Charley, ayant reçu la réponse positive, elle a aussi hoché la tête. Ensuite, ils se sont avancés vers la Villa. En effet, quand Charley n'était pas dans la Villa Genting, il y avait encore des agents de sécurité, alors, quand ils étaient en train de monter sur la montagne, quelques agents les ont empêchés. « Qui êtes-vous ? Ce n'est pas un site touristique ! » Les deux agents de sécurité, ayant une trentaine d'années, étaient tout à fait arrogants. « Nous ne sommes pas des personnes ordinaires. Cett
« Hé, mec, tu es justement un bon à rien, un idiot, un crétin ! » À ce moment-là, les deux agents de sécurité ont dit avec moqueries. « Monsieur... Monsieur Marchand ! » Juste à ce moment-là, ils ont entendu une voix douce et respectueuse d'une femme, tout d'un coup, en voyant que cette jeune femme s'avançait, ils sont devenus muets, en plus, la sueur a trempé leur front. « Monsieur Marchand ? Ce jeune homme est-il Monsieur Marchand ? » Ils pensaient. Charley s'est tourné vers cette jeune femme et a froncé les sourcils : « Sabrina, il y a très longtemps que nous ne nous sommes pas vus. » En effet, elle était justement la gestionnaire de cette villa, Sabrina, qui avait aussi conçu cette villa. Près d'elle, il y avait encore ses quelques amies, y compris Jeanne et Viviane, que Charley avait rencontrées quand il avait acheté cette villa. « Bonjour monsieur. » Dans les yeux de Jeanne, il n'y avait plus de mépris, en revanche, elle le flattait et câlinait à ce moment
À ce moment-là, tout le monde était bouleversé. « Monsieur Marchand, qui sont-ils ? » Sabrina s'est avancée vers Charley, a regardé les autres et a demandé avec curiosité. Surtout quand elle a vu Yolaine, qui était tout à fait belle, elle était un peu jalouse et mal à l'aise. Mais à ce moment-là, Charley était un peu embarrassé. Il ne pouvait pas dire que Yolaine était sa copine, en effet, si Eva le savait, elle se sentirait de nouveau triste. « Je vais t'expliquer plus tard. Ils sont tous mes invités. » Charley a souri avec politesse. « Oui, Monsieur Marchand. » Sabrina a hoché la tête. En fait, ayant entendu cela, Perrine était vraiment bouche bée. « Ah bon ? Es-tu justement Monsieur Marchand ? Es-tu justement Monsieur Marchand de Savoy ? » Perrine a presque hurlé avec stupéfaction. « Bien sûr, tante, je le suis certainement. » Il a souri avec calamité. « Yolaine, c'est vrai ? » Rebecca a poussé un cri avec stupéfaction, à ce moment-là, elle se sen
À ce moment-là, Ella était aussi un peu stressée. En effet, toutes les trois femmes avaient peur que Charley soit noble. En même temps, il est sorti, à sa grande surprise, Claude, le dirigeant du ministère des commerces, l'attendait déjà dans la voiture. Une fois qu'il est monté dans la voiture, Claude a dit tout en souriant : « Monsieur Marchand, vous êtes complètement innocent et vous êtes juste un témoin. Pourquoi ils vous critiquent sans cesse ? » En effet, il était curieux qu'Ella le prenne pour un aidant. « Probablement, c'est parce que je la connais. » Charley a répondu en souriant. « Monsieur Marchand, j'ai quelque chose à vous prévenir, voulez-vous la savoir ? » En conduisant la voiture, Claude a dit en souriant. En réalité, Charley le trouvait très brillant, parce qu'il était un dirigeant qui voulait bien développer les domaines commerciaux de la ville de Savoy. Alors, habituellement, il était tout à fait d'accord avec ses propositions. « En effet, aup
Après avoir raccroché le téléphone, les deux groupes sont restés dans la salle. À cet instant, les policiers attendaient aussi sans rien dire, ils voulaient connaitre celui qui était plus fort que l'autre. « Qui est plus noble ? » Lavande pensait avec un air confus, parfois, elle voulait qu'André soit plus noble, parfois, elle espérait que Marc, qui la regardait à ce moment-là avec plein d'affection, domine sur lui. Tout compte fait, elle se sentait vraiment perplexe. Juste à ce moment-là, ils ont entendu des piétinements hâtifs dans le couloir, il y avait sans doute beaucoup de monde dehors. « Mon Dieu, papa, Monsieur Girard est-il venu ? » André était excité. « Ce n'est pas possible, Monsieur Girard ne voudra jamais venir ici pour un rien. » Jason a répondu d'un ton bas. À ce moment-là, la porte s’est ouverte, plusieurs hommes d'un certain âge en costume sont entrés, derrière eux, il y avait aussi plusieurs personnes nobles. Les deux agents de police les ont salué
À la première vue, ils savaient qu'Ella était une noble. À ce moment-là, André avait la mine pâle à cause du stress, et marchait dans la chambre avec un air vraiment inquiet. En voyant sa réaction, Lavande était de nouveau déçue, parce qu'elle avait su que la sœur de Marc, Ella, était une femme puissante à Savoy, et qu'elle était une jeune femme riche. Alors, la famille de Marc était aussi noble. Après tout cela, elle pensait avec regret, parce qu'elle se trouvait trop cruelle envers lui, probablement, désormais, il pourrait surpasser André. En effet, ce dernier ne connaissait que se vanter avec son argent, mais il avait des compétences fortes dans la vie active. En réfléchissant, elle était de plus en plus confuse. Elle était passionnée de trois jeunes hommes. Le premier, Charley, qu'elle méprisait et détestait. Le deuxième et le troisième étaient Marc et André, à ce moment-là, elle était un peu hésitante. « Halte-là, ne parlez plus de cela. J'ai déjà téléphoné à m
Juste à ce moment-là, quelques agents de la police sont entrés et les ont pointés. « C'est justement eux ! » Derrière eux, un jeune homme, avec des bandes sur la tête, a pointé sur André et a dit avec colère. À ce moment-là, Charley a tout de suite reconnu cet homme, c’était justement Marc. Évidemment, après qu'André l’ai battu, il était allé à l'hôpital et avait téléphoné à la police. Alors, avec les vidéos de surveillances de la Rue commerciale, les policiers les ont trouvés, parce qu'André avait justement réservé une salle dans un restaurant tout près de la Rue commerciale de Savoy. « Alors, mesdames et messieurs, suivez-nous. » Quelques agents de la police ont demandé d'un ton froid. À ce moment-là, André et Lavande étaient tout à fait stressés. En effet, bien qu'il soit très riche, après avoir battu Marc, André était aussi paniqué. Mais il a dit encore avec arrogance : « Oui, et je vais sortir dans deux heures. » « Dans deux heures ? Après avoir battu mon frère
« De rien, de rien, ce n'est pas grave. » Charley ne voulait pas les voir. « Non, Charley, tu dois venir. Tu nous méprise maintenant, n'est-ce pas ? Tu nous détestes maintenant, n'est-ce pas ? Toi, étudiant de l'Université de Savoy, nous méprise car notre université est médiocre, n'est-ce pas ? Je comprends. » À ce moment-là, Hélène a dit. « Non, pas du tout. Alors, nous allons prendre un repas ensemble. » Il se sentait vraiment ennuyé, mais il a enfin été d'accord. En fait, après ce déjeuner, il voulait fortement rompre toutes relations avec eux. Alors, il est revenu. En effet, ils n'ont pas pris le déjeuner dans la Rue commerciale de Savoy, mais ils sont entrés dans un petit restaurant près de la rue, de plus, Lavande avait aussi commandé beaucoup de plats délicieux pour lui. « Charley, dis-le-nous, pourquoi es-tu devenu riche ? » Enfin, Hélène et Lavande ont parlé de cela. « Riche ? Pourquoi pensez-vous que je suis riche ? Je n'ai pas d'argent ! » Ayant vu leur r
« Ah bon ? » « Oh là là ! » Ayant vu que Charley allait sortir avec deux petites boîtes, Hélène et Lavande étaient tout de suite bouche bée. En effet, elles étaient trop stupéfaites, car tout à l'heure, elles avaient été très paniquées à cause de ces deux bracelets, heureusement, elles avaient enfin réglé tous les problèmes et étaient un peu soulagées. Mais à ce moment-là, à leur grande surprise, ces deux bracelets étaient les siens. À cet instant, Lavande était très surprise, et sa tête tournait. En même temps, Hélène et André avaient un air bouleversé, surtout Hélène, ses mains tremblaient, son bracelet est tombé par terre et s'est cassé de nouveau. « Attends, Charley ! Ces deux bracelets sont-ils les siens ? » Lavande a demandé avec un air bouleversé. Mais il n'a pas répondu, et est parti directement avec ces deux boîtes. En effet, cette fois-ci, il s’était complètement mis en colère, et ne voulait plus parler avec eux. « Hélas, probablement, c'est un aut
Empêché par le jeune directeur, André s'est enfin calmé, puis, quelques personnes ont accompagné Marc à l'hôpital. « Mon Dieu, Charley, pourquoi es-tu ici ? » À ce moment-là, Hélène a aperçu Charley, qui était près d'eux. « Hélène, ne parle plus de lui. C'est à cause de ce bon à rien que j'ai cassé la Panthère de Cartier qui coûte cinquante mille euros et le LOVE qui coûte deux cent dix mille euros, il est un porte-malheur. » Lavande a dit avec mépris. « Ah bon ? Plus de deux cents mille euros ! » À ce moment-là, André était aussi bouche bée. En fait, au téléphone, elle avait seulement dit qu'elle avait rencontré de problèmes chez Cartier, mais elle n'avait pas précisé les détails. Alors, il était un peu stupéfait. À cet instant, Hélène avait l’air stressé et a directement fait des insultes à Charley : « Bon à rien, es-tu fou ? Pourquoi tu te mêles des affaires de Lavande ? Pourquoi aimes-tu faire des tiennes ? Es-tu un idiot ? Comment faire maintenant ? Peux-tu indemni
« Ce bracelet semble cher, mais il est cassé en trois. Hélas ! » « C'est une Panthère de Cartier qui coûte plus de cinquante mille euros. C'est dommage, cette jeune femme est trop imprudente, elle doit indemniser plus de cinquante mille euros à cause de son impulsion. » « Il y a encore un autre bracelet, est-il aussi cassé ? » Beaucoup de monde regardait Lavande avec des moqueries. À ce moment-là, la réceptionniste était aussi stupéfaite, avant de demander pardon à Charley, elle a ouvert tout de suite l'autre boîte. Après qu'elle l’ait ouvert, les autres personnes étaient en effervescence. « Mon Dieu, c'est le LOVE de Cartier ? Il y a aussi des diamants et des cristaux dessus, c'est vraiment cher ! » « Je sais, c'est aussi l’article le plus cher dans toute la boutique. Il coûte plus de deux cent mille euros, n'est-ce pas ? » « Heureusement, il n'est pas cassé, sinon, cette jeune femme devrait indemniser. » « En effet, bien qu'il ne soit pas cassé, peut-ê
« Halte-là, jeune homme, tu ne dois jamais te battre avec une femme même si tu ne l'aimes plus. Si tu veux lui donner des leçons, tu feras des efforts et tu feras fortune, ensuite, elle aura des regrets, n'est-ce pas ? » Un homme riche d'un certain âge, portant des vêtements de luxe, a critiqué Marc. À cet instant, il a repris son sang-froid, mais il a encore serré ses poings avec irritation. « Oui, pourquoi tu ne fais jamais d’efforts ? Mais ce n'est pas possible, parce que tu es toujours paresseux. Bâtard, aujourd'hui, tu seras mort car tu m'as battue ! » Lavande, assise par terre, a hurlé. « Jeune femme, ne dis pas cela. Ne sois plus aussi vaniteuse, en effet, les hommes riches sont toujours infidèles, n'as-tu pas peur de tomber dans un piège ? Si tu veux quitter ton copain, tu devras expliquer avec patience, pourquoi as-tu dit cela ? » L'homme riche l'a aussi critiquée. À ce moment-là, elle a couvert son visage et pleurait sans rien dire, car cet homme était un gran