« Très bien. Nouvel environnement, nouveaux collègues, tout comme le nom de l'entreprise, Néo. »Sonia n'a pas dit un mot sur la difficulté qu'elle a rencontrée dans la nouvelle entreprise.Il était impossible de tout va bien, il existait toujours des divergences, Sophie avait raison : « elle n'était ni célèbre ni qualifiée, et elle était même accablée par un procès complexe. C'est juste trop raisonnable que plus d’entreprises et d'équipes ne veulent pas l’embaucher. »Elle était entrée chez Néo s’en se faire pistonner par Stéphane, et précisément à cause de cela, elle devrait utiliser sa faculté pour convaincre ceux qui la méprisaient.« C'est bien. », a-il-dit chaleureusement, ensuite il a baissé la tête et l’a baisée doucement au visage.En fait, comment pouvait-il ne pas savoir ce qui se passait dans l'entreprise. Puisqu'elle ne voulait pas en parler, il ne pouvait pas s’y intervenir. Il voulait aussi voir jusqu'où elle peut aller avec son refus obstiné de divulguer leur relation.
« ... » Sonia ne s'attendait pas à ce qu'il la cherche de toute urgence à cause de l’appartement qu’ils louaient auparavant.Le fait intéressant, c’est qu’il n'a réalisé que maintenant qu'elle n’habitait plus là-bas. C'est-à-dire que ces jours-ci, il n'avait pas été là et ne l'avait pas cherchée.Jetant un coup d'œil à Stéphane, un sourire sarcastique s’est formé au coin de ses lèvres, elle a décroché le téléphone et a dit calmement : « Je ne veux plus le louer, alors bien sûr que je n’y suis pas restée. Il était suffisant pour que le propriétaire le sache. Pourquoi dois-je t’informer ? »« N'oublie pas, j'ai payé le loyer pour toi, tu... », il voulait se plaindre, mais il l’a réprimée, prenant quelques respirations profondes avant de lui demander : « Alors, où as-tu déménagé maintenant ? Sera-t-il possible que Néo puisse t’assurer l’alimentation et le logement ? »Julien était convaincu qu'elle avait été trompée par Néo, de plus, elle avait peut-être décelé la relation entre lui et J
Sonia a souri indifféremment : « Je n'ai pas peur qu'il me poursuive, j'ai plutôt peur qu'il ne me poursuive pas. »« Alors ? » Stéphane a réfléchi un instant : « As-tu des doubles de ces données ? »En tant que parfumeur, elle faisait beaucoup de données chaque année, et il y avait des ajustements au milieu du processus. Il était non seulement nécessaire d'enregistrer les données, mais aussi normal d'avoir un double habituel. Après tout, cela prenait beaucoup de temps. S'il y avait des omissions ou des erreurs, il était également facile à les trouver.« Il y a des doubles, il les avait aussi emportés. »Avant, elle était complètement sans défense contre Julien, elle le croyait, et elle n'a jamais pensé à transférer ou cacher les données, tout était dans le laboratoire, et ce jour-là, il avait envoyé des hommes pour tout emporter.Après avoir écouté ses paroles, Stéphane a plissé légèrement les yeux, l’a regardée et a dit : « Alors je ne comprends pas. Puisqu'il n'y a aucune preuve, où
Dès que Binet l'a vue, il l’a fait entrer dans le bureau, comme s'il l'attendait.« Ferme d'abord les rideaux. », marchant vers la table, il a désigné les stores du côté opposé.Sonia s’est retournée pour tirer les rideaux, et d'un coup d'œil, elle a capté les regards curieux de l'extérieur.« C'est...... »Après avoir tiré les rideaux, Binet avait déjà sorti une enveloppe et l'avait jetée directement devant elle : « Regarde ça. »Avec des doutes, Sonia a ouvert l'enveloppe et a trouvé à l'intérieur une lettre d'avocat, « Julien l’a poursuivie en justice. »Avec un ricanement, elle y a jeté un coup d'œil désinvolte, puis l’a repliée à nouveau, ne le prenant pas au sérieux.Binet a continué à regarder sa réaction, en constatant à quel point elle était calme, il n'a pas pu s'empêcher de dire : « VL a envoyé une lettre d'avocat à l'entreprise. Que penses-tu de cette affaire ? »« Désolée d'avoir causé ce problème à l'entreprise. Je m'occuperai de cette affaire. », elle a rangé la lettre e
« Pourquoi ne pas les imprimer directement ? De plus, même s’il faut les copier, tu pourras chercher quelqu'un d’autre pour faire ça !», a déclaré Justine, mécontente et faisant la moue. Elle s’est retournée pour prendre son bras et a dit avec coquetterie : « Je suis vraiment fatiguée et mon état mental n'est pas très bon. Tu sais que Sonia a cherché des poux dans ma tête récemment et je subis beaucoup de pression !» Sa voix était déjà douce, et quand elle a dit des mots tendres comme ça et a agi comme un enfant gâté, Julien a fléchi instantanément. Il a étendu ses bras autour de ses épaules, il l’a mise dans ses bras et l’a réconfortée doucement : « Tu es aussi parfumeuse, tu ne sais pas que la plupart de notes sont écrites à la main ? Quand tu fais des expériences, tu utilises un ordinateur pour enregistrer les données ? Même s'il y a un tableau récapitulatif électronique, on doit utiliser l’ordinateur, mais ce sera l’étape finale, avec un peu de données électroniques, nous
Sonia se préparait déjà à un refus, mais elle ne s'attendait pas à être bloquée à l'extérieur sans même rencontrer Sophie. La porte du bureau de Sophie était fermée, l'assistante ne l’autorisait pas à entrer, disant que Sophie était en réunion et que Sonia n’a pas officiellement rejoint Néo, elle ne pouvait donc pas entrer. Après avoir attendu dehors pendant plus d'une demi-heure, la réunion n’était pas encore finie, alors Sonia a poussé la porte et a pénétré par effraction. L'assistante, ne s'attendant pas à ses allures, n'a pas réussi à l'arrêter, et a couru derrière elle, « Madame Veil, elle... » « Qui t’a permis d’entrer ?» les paupières levées, Sophie a dit sans ménagement : « Il y a une réunion ici, celui qui n’a rien à voir doit sortir maintenant, s’il te plaît !» « J'ai déjà fini les procédures d'intégration. Maintenant, je relève du département de projet. Je suis un membre du département de projet, pas une personne oisive », a déclaré Sonia, assise sur
Les coins des lèvres levés, Sophie n’a pas même daigné cacher le mépris dans ses yeux, vu qu’elle a promis très rapidement. Il fallait savoir que le Néo n’existait pas depuis longtemps, mais elle se faisait financer par Uniasia dont les employés étaient donc tous les talents, sans dire des « élites », et pour cette raison, elle méprisait particulièrement Sonia. À l'origine, elle s’était toujours souciée : comment pourrait-elle lui refuser de rejoindre son équipe et la chasser de l'entreprise, mais à sa surprise, Sonia venait d’elle-même s’offrir à elle. « Tu as promis en toute franchise maintenant, ne te repens pas plus tard ! Je déteste les gens qui manquent à leurs promesses ! » de peur qu'elle ne change son attitude, Sophie a ajouté une autre phrase, lui bloquant tout recul. Sonia a hoché la tête, « Ne t'inquiète pas, tout comme toi, je déteste aussi les gens qui reviennent sur leur parole. » Levant les sourcils, Sophie était toujours assise sur la chaise,
Sophie n'a rien dit, les autres se sont regardés avec surprise et ont demandé silencieusement qui lui avait divulgué le secret. En regardant le visage calme de Sophie, Sonia a poursuivi : « Ces trois types, ou en fait un seul type varie seulement d’une épice différente pour chaque flacon, d’où une légère différence qui sert à différencier les trois flacons. » « Tu crois ?» elle a pouffé légèrement, comme si elle se moquait de sa fatuité. Le rire semblait dire qu'elle avait tort. Pourtant Sonia ne doutait pas d'elle-même, ses yeux étaient extrêmement déterminés et continuait à dire sans perplexité : « Oui ! Ces trois types ne diffèrent que par un ingrédient ; ceux qui n’utilisent pas des parfums ne peuvent pas trouver leur différence, mais ceux qui utilisent souvent des parfums peuvent découvrir facilement la différence. Même si on ne la trouve pas tout de suite, le temps révélera lentement la note de fond. Cependant, à mon avis, je préfère choisir... » Tendant la ma