Dès que l’avion a atterri, des réceptions étaient déjà organisées.Du côté de Justine, tout cela a été naturellement arrangé par Julien. Il a réservé une chambre dans un hôtel pour Justine et a arrangé une voiture pour la chercher au l’aéroport. Maintenant, elle se tenait déjà devant la portière de la voiture, mais elle n’y est pas montée toute de suite et a regardé autour d'elle : elle voulait voir la voiture qui venait chercher Sonia. Même si Néo s’est adossé à Uniasia, Néo n’était rien de plus qu'une filiale triviale dont la taille n’était pas beaucoup plus grande que VL. Peut-être que Sonia et Sophie ont pris la première classe justement pour sauver leurs apparences. « Mlle Levaudel ?» Celui qui venait la chercher, la voyant se tenir debout, a ouvert la bouche pour la rappeler.« Attendez un peu. » a-t-elle répondu, et juste au moment où elle était sur le point de monter dans la voiture, elle a vu soudainement la personne qu'elle voulait voir. Sonia et Sophie n'étaient pas p
L’argent est tout-puissant. Effectivement, les riches bénéficient toujours des traitements différents. En tant que gentleman, Igor a d'abord accompagné Justine dans sa chambre, qui était à un étage inférieur. Ouvrant la porte, Justine a froncé immédiatement les sourcils. C’était une chambre standard avec un grand lit. Par rapport aux hôtels ordinaires, la chambre était assez spacieuse, qui est équipée d’une salle de bain à l'intérieur, d’un four à micro-ondes, un petit réfrigérateur et un évier à l'extérieur. Il semblait tout y avoir. Mais il y avait encore un écart par rapport à la chambre qu'elle imaginait. « Justine, toutes vos affaires sont là. Alors reposez-vous bien, je vais d'abord retourner dans ma chambre. » Igor lui a tapoté l'épaule et a dit avec un sourire. Voyant qu'il était sur le point de sortir, Justine l'a rapidement arrêté, « Attendez une minute !» Igor s’est alors arrêté et a tourné la tête pour la fixer avec un regard interrogateur. « Euh
Son corps s’est figé instantanément. Justine voulait inconsciemment se libérer, mais a entendu sa voix résonner près de ses oreilles, « Est-ce que vous aimez cette chambre ? » Son accent était un peu impur, mais à cause de cela, Justine s’est rendue compte que son identité était différente et qu'elle ne pouvait pas l'offenser. Elle l'a laissé l’embrasser, Justine n'a pas osé bouger, elle a hoché la tête, « J'aime ça. » « Alors, voulez-vous ... tout posséder ?» demandaitil à nouveau. Cette fois, elle a hoché la tête beaucoup plus doucement et plus rapidement, « Oui, bien sûr !» Elle en a toujours rêvé ! Tout son rêve était de monter dans la classe supérieure de la société, d'être une épouse riche, et de profiter de la gloire et de la richesse, et de donc ne plus jamais souffrir. Dans son réseau de relations, celui le plus riche qu'elle puisse réussir à atteindre était quelqu’un comme Julien, elle croyait qu’il avait un vrai potentiel et il se démarquerait s
Justine : « ??? » Justine ne s’attendait pas à sa réaction, elle a levé les yeux vers lui, puis elle a vu qu'il s'était retourné et s'était dirigé vers le réfrigérateur dans lequel il avait sorti une canette de bière, l'avait ouverte et avait pris une grande gorgée. « Justine, vous devez bien réfléchir. » Secouant la tête, Igor a dit : « Je pense que vous… » Il a roulé les yeux, pensant probablement à des mots, puis a haussé les épaules. « Je pense que vous êtes plutôt ouverte. Je ne m'attendais pas à ce que vous soyez aussi rigide. » « Ne pensez pas trop, après tout, la joie est la seule chose la plus importante. Je peux vous donner tout ce que vous voulez. Et plus, vous pouvez aussi me donner tout ce que je veux. N’est-ce pas bien ? Pourquoi avez-vous des préoccupations comme ça ? Hein ? » Il avait l'air nonchalant, comme s’il ne s’en fichait pas d’avoir été rejeté par Justine. Justine s'est rendu compte qu'elle était si embarrassée lorsqu'elle lui fais
Après avoir écouté ses paroles, Justine a de nouveau regardé autour de la pièce, mais tout ce qu’elle pouvait penser était la chambre d’Igor. Elle a pris une profonde inspiration et a dit : « Ce n'est pas mal. » Julien n'était pas satisfaite, « Juste pas mal ? Cette chambre coûte beaucoup plus chère que les autres. » « Ça m’est égale. D’après moi, elles sont toutes les mêmes. » Elle ne voulait pas en discuter et a répondu juste quelques mots. « Comment cela peut-il être presque les mêmes ? Le prix est plus élevé de quelques centaines de dollars. » Il ne s'en est pas du tout rendu compte de son mécontentement et a continué : « Justine, nous sommes relativement aisés maintenant, mais comme tu le sais, l’entreprise est maintenant confrontée à beaucoup de problèmes et il reste beaucoup à faire : nous devons encore recruter des talents et élargir le marché. C'est peut-être un peu plus difficile maintenant, mais réfléchis bien, à l'avenir ... » « L’avenir ! L’avenir ! Tu
Julien a appelé plusieurs fois et a découvert qu’elle avait raccroché. Sonia ? Elle est aussi allée à Grasse ? Se rappelant des paroles de Justine, il était plein de doutes : la première classe ? Rolls-Royce ? Néo était si généreux ? Uniasia a disposé d'un tel support de ressources pour une petite filiale ? « M. Mercier. » Un de l’atelier du laboratoire est venu avec de la joie sur leur visage, « Le nouveau produit est sorti, et c'est exactement le même qu'avant. » « Vraiment ? » Julien était très excité, mais s'est rapidement calmé, « Le nouveau produit a-t-il été déjà testé ? Est-ce exactement la même chose ? Il ne doit y avoir aucune différence ! » Peut-être par chance, le parfum développé par Sonia semblait avoir un pouvoir magique particulier. Les gens qui l'aimaient deviendraient bientôt des fans fidèles, mais s'il y avait une nuance, ils ne l'achèteraient pas toute de suite, et justement pour cela, l’affaire ces jours-ci a provoqué une succession d’événement.
« M. Mercier ? » Élina a cligné les yeux, essayant de clarifier sa tête, « Pourquoi êtes-vous venu chez moi ? » « J'ai entendu dire que tu es en congé. En tant que chef, je devrais prendre soin de mes subordonnés, n'est-ce pas ? » Se tenant debout devant la porte, il a penché soudainement sur l’espion. Le visage soudainement élargi a surpris Élina, et elle a fait deux pas en arrière. « Élina, tu comptes me laisser rester à la porte et te parler comme ça ? » « M. Mercier, je suis... malade et je suis seule à la maison, si vous voulez entrer, ça me dérange un peu. » Elle ne voulait pas ouvrir la porte et ne voulait rien dire à Julien du tout. En tout cas, elle lui avait déjà tout dit. En plus, sa visite n’était sûrement pas une bonne chose non plus, heureusement, sa mère est sortie acheter des légumes, sinon... Mais comme dit le proverbe : quand on parle du loup, on en voit la queue. Elle a entendu une voix de sa mère de l'extérieur, « Qui es-tu ? » « Bonjo
De manière inattendue, Julien prenait l'initiative de lui rendre visite. La mère d'Élina a levé la main et l’a tapotée, elle a dit : « Ah, voilà. C’est pour ça que tu n’es pas allée au travail ? Fainéante ! Tu es tellement paresseuse que tu ne vas même pas au travail ! Qu’est-ce que tu veux faire ? » Pendant qu'elle parlait, elle l'a battue dans le dos à plusieurs reprises. Élina n’a pas bougé et a dit, « Maman, ne t'inquiète pas pour ça, je sais quoi faire, laisse-moi. » « Je ne veux pas me soucier de toi, mais tu devrais être douée pour ça ! Maintenant que ton chef est venu chez nous, dis-moi, comment puis-je ne pas m’inquiéter pour toi ? » « Maman... » Elle était très impuissante. Julien, qui était sur le côté, semblait être un spectateur qui était en train de regarder une pièce de théâtre. Après qu’Élina soit battue plusieurs fois, il a commencé à s'éclaircir la gorge et à l’arrêter : « Madame, je pense qu'Élina peut avoir d'autres raisons. Je suis ici