On s'installe dans le hammam, et on commence à parler de tout et de rien. Je leur explique comment je vais faire mon entrée avec mon frère, ce que je vais porter, et surtout avec qui je vais m'afficher toute la soirée ! J'ai déjà choisis avec qui j'ai envie d'être. Il me tourne autour depuis déjà 3 mois, je l'ai fait espérer plusieurs fois. Mais il est canon, et tout ce qu'il a ne fera qu'embellir mon anniversaire !
« Mais c'est sérieux ? me dit Lila
- De quoi ?- C'est avec Emeric que tu vas à ton anniversaire ? Elle a l'air étonnée !- Bah pourquoi ? Me dit pas que tu le kiff !- Euh.... Elle bégaye, j'espère ne pas avoir fait de gaffe !- Mais pourquoi tu ne lui parles jamais de tes amours aussi ! Nous dis Julia !- Mais tu sors avec ? Pourquoi tu ne m'en a pas parler ? Je la questionne du regard, pour être sûr qu'elle me dise la vérité.- Oui... Mais je savais que tu avais des vues sur lui, et je ne voulais pas que tu sois en colère contre moi... me dit-elle les yeux baissés.- J'aurais préférés que tu m'en parle, t'es ma meilleur amie ! Je ne vais pas te piquer le mec que tu aimes ! Je la prends dans mes bras tout en lui disant tout ça. »Elle m'explique alors qu'ils sont ensemble depuis 1 mois, et qu'elle lui a demandé de continué à me tourner autour pour que je ne me doute de rien. Heureusement que je ne lui ai pas demandé de m'accompagner à la fête ! Je vais donc demander à quelqu'un d'autre mais je ne sais pas qui ! Je regarderais dans mon répertoire plus tard !
On finit par sortir du hammam, et on se dirige directement au salon de massage. Je choisis un modelage de 2 h pour chacune de nous, et nous profitons de ce bon moment de détente.
Après 2 h de massage, nous sortons nous habiller pour partir au centre commercial. Je dois passer chez mon coiffeur après ! Ou je vais le faire venir à la maison ! On verra bien ! Le chauffeur est devant la voiture, mais son regard qui est d'habitude si professionnel et si perturbé que j'ai du mal à savoir ce qu'il se passe :
« Henry, vous allez bien ?
- Mademoiselle, je dois vous conduire à l'hôpital. Me dit-il d'un ton le plus neutre possible.- Euh, je ne comprends pas là ? Qu'est-ce qu'il se passe ? Je suis complétement affolé.- Montez, je vous expliquerais en chemin ! »Je monte dans la voiture en poussant mes deux amies sans faire attention à elle. En sortant mon téléphone j'aperçois de trop nombreux appelle en absences de ma mère et de mon frère. Je ne sais pas quoi faire. Nous déposons les filles chez elle et je passe à l'avant de la limousine. L'hôpital n'est plus qu'à 30 minutes de la maison, et Henry ne veux toujours rien me dire. Ma mère et mon frère son injoignable.
Le stress monte en moi. Les larmes commencent à monter, tout comme le cri que je m'apprête à lancer sur Henry. Mais qui se bloque lorsque mon téléphone vibre et que le prénom de ma mère s'affiche :
« Mama ? Mama ? Mama, dit moi que tout vas bien ?- Katia, calme toi, d'accord, plus tu paniqueras, moins ça iras pour lui ! Me dit-elle pleine de sanglot.- Mama, c'est Camil ? C'est Camil c'est ça ?- Non, C'est ton père, Henry vas t'expliquer, je n'en n'ai pas la force ! »
Elle raccroche avant que je puisse dire autre chose. Je ne sais ce que je dois faire, nous ne sommes pas encore arrivés!
« Henry, s'il vous plaît dites-moi ce qu'il se passe, je vais faire un arrêt cardiaque sinon !
- Bien mademoiselle, pour tout vous dire, votre père est arrivé plus tôt à l'aéroport, et quelqu'un lui à tirer dessus. Je ne sais pas où on lui a tiré dessus, ni pourquoi, ni comment, ni s'il a eu des échanges de coup de feu, je ne sais rien d'autre que le faite que votre père est au bloc opératoire ! Me dit-il d'une seule traite sans reprendre sa respiration. »Je ne dis rien. Je regarde le vide, et me demande ce qu'il se passe. Je me demande s'il n'est pas encore fourré dans de sale affaire.
Le trajet passe, et mes larmes coulent en silence. J'espère qu'il n'a rien de grave. J'ai tellement peur pour lui. Nous arrivons enfin devant l'hôpital, je ne lui laisse pas le temps de se garer que je descends de la voiture et cours à l'accueil. Je donne le nom et le prénom de mon père. On m'oriente vers une salle d'attente où mon frère et ma mère sont tout aussi effondré que moi. Je me mets entre eux deux, et commence à caresser les cheveux de mon frère pendant que ma mère embrasse ma tempe. Nous restons dans cette position pendant 2 bonne heures. Sans que l'un de nous parle.
Un médecin, sort du bloc opératoire et se dirige vers nous.
« Bonsoir mes dames, bonsoir monsieur, vous êtes la famille Abdelsalam ?
- OUI ! Nous avons tous criez en même temps.- La balle n'a touché que la jambe, elle a effleuré l'artère fémorale, mais rien de grave, la deuxième balle c'est logée dans le bras et a déchirer les tendons du coude. L'opération c'est bien passer. Il est en salle de réveille mais vous ne pourrez pas le voir avant qu'il soit éveillé. Mon infirmière vous expliquera plus en détail, je dois me préparer pour une autre opération !- Merci, monsieur. Dit ma mère la voix un peu plus tranquille. »Je me sens plus légère de savoir que mon père va bien, et qu'il n'est pas blesser plus gravement. J'envoie un sms à Lila pour la rassurer.
« Camil ?
-Oui Katia ? Me répondit-il- Tu m'en veux de ne pas avoir répondus ? Toi aussi maman ?- Mais non Habiba, c'est rien, on ne savait que tu allais te faire masser, on s'en doutait mais vus qu'on ne savait pas dans quel ordre tu allais faire tes soins on pensait que tu pouvais répondre, me rassure mon frère.- Ce n'est pas grave, la prochaine fois on pensera aussi à appeler le spa, ça ne m'a pas traversé l'esprit ! Ma mère tente de me rassurer, mais ça ne marche pas- Comment ça la prochaine fois ? Cette phrase résonne en deux fois, puisque mon frère a eu la même réaction que moi.- C'est compliqué, je vous expliquerais à la maison ! De toute manière, même si je vous expliquais vous ne comprendriez pas ! Nous dit ma mère à bout de force. »Elle s'assoit sur la chaise et met ses mains sur sa tête tout en pleurant. J'ai mal, à ce moment-là voir sa mère pleuré est la pire des choses... Je regrette tellement ce que j'ai pu lui dire ce matin.
« Vous allez rentrer à la maison, aller dans le bureau de votre père, et prendre le dossier violet et appeler le numéro qui est affiché, toute les instructions seront inscrit sur les papiers présent dedans. C'est toi Camil qui t'en occuperas, tu es l'homme de la maison en attendant que ton père ce rétablisse. »
Mon frère acquiesce sans posé de question et me tire jusqu'à la voiture où Henry nous attend.
Mais qu'est-ce qu'ils peuvent bien me cacher ?
En arrivant chez moi, mon frère se dirige directement vers le bureau de mon père. Il sort d'un tiroir le fameux dossier violet. Il prend le téléphone posé sur le bureau et s'installe sur la chaise de mon père. Il compose le numéro, et je coupe le téléphone :« Qu'est-ce que tu me caches ? N'oublie pas que je sais quand tu mens !- C'est un dossier concernant une entreprise de garde du corps. Papa les a fait avant sont départ pour l'Inde. Mais je ne sais pas pourquoi, quand je lui ai demandé il m'a répondu, que j'étais encore trop jeune pour savoir et que l'entreprise ne m'appartiendrait qu'après mes études. Me dit-il.- Appeler les. »Je sais qu'il ne me ment pas. Je ne sais pas trop quoi faire, si je dois reste
Je me sens tellement bête ! Je suis rouge de honte, quand je pense que j'ai vus ces parties intimes ! Je lui sers la main. Et s'installe derrière ma chaise, et reste stoïque. J'ai du mal à rester en place. J'ai chaud, et je sais que mon frère a compris que quelque chose de bizarre c'est passé.S'il sait ça, je vais me faire tuer. Il pensera que j'ai fait exprès de rentrer dans les toilettes des hommes ! Enfin bref. Je reste à attendre en essayant de me détendre. Ce n'est rien non ? Ça aurait pu arriver à n'importe qui ? Et de toute manière il y a bien plus important. Mon père est à l'hôpital. Je n'arrive pas à tenir en place. Je tape du pied, j'ai envie de bouger.« Mama ? Je vais chercher du café et à m
Je me réveille à 9h dans mon lit. Je suis toute habillé et j'ai du mal à me souvenir d'hier soir. Je me lève. Enlève mon jogging et mon t-shirt. Je reste en sous-vêtement choisis une tenue, je prends un jean slim noir et un body lacé bordeaux. Je prends mes sous vêtement en dentelle noir et je me rends dans ma salle de bain.Je me douche, me crème, m'habille et finis par sortir pour me maquillée. Je traverse ma chambre ouvre ma fenêtre et je me penche sur le rebord et j'aperçois Alejandro courir dans l'allée de notre rue. Je le regarde quelque instant et me demande si c'est bien lui qui m'a embrasser le front hier.Je finis par descendre, et je vais dans ma cuisine. Inès est en train de faire des crêpes, et je pioche dans la pile
Je suis avec mon papa depuis maintenant 1h, je lui raconte qu'on a tout déplacé pour lui et lui il me raconte ce que les médecins lui ont dit par rapport à sa blessure. Il va rester à l'hôpital encore quelques jours. En attendant il doit se reposé et moi je vais rentrer. Il n'a pas beaucoup dormi de la nuit puisqu'il a dû régler des histoires avec la police et des problèmes avec l'entreprise.Je sors donc de la chambre en repensant à Alejandro... C'est vrai qu'il me plait mais tout doit rester professionnel. Et surtout maintenant je dois trouver un petit ami qui s'appelle Alejandro !Je suis de nouveau dans la voiture avec mon bodyguard. Je sais pas trop quoi faire ni quoi dire. Je met mes écouteurs et je laisse Nekfeu envahir mes oreilles
J'enfile mon jogging ma brassière :« Je le connais à peine tu te tapes des films puce.- Mouais, tu sais il est pas mal, c'est le genre de mec qui te plait d'habitude. Pis même dans tes yeux ça se voit qui te plait, me dit-elle en mangeant des M&n's- Mais non, c'est parce qu'il est arrivé un truc à mon père que je m'attache à lui. Lui dis-je peu convaincu.- Moi c'est les chocolats qui me rassurent ! Pas les mecs ! »Je la regarde et explose de rire, à m'en tordre le ventre. Après une bonne tranche de rire, je prends une veste à capuche, et je la zippe jusqu'en dessous de ma poitrine. J'attache mes cheveux en queue de cheval et j'enfile ma paire de New balance 790 rose et noir.
2 jours plus tard : Aujourd'hui je dois voir le type du sms, je le sens mal, sachant que je vais devoir l'embrasser sans même le connaitre. Je me suis habiller simplement, un jean noir, un tee-shirt blanc, une queue de cheval et ma casquette nike. Rien de bien intéressant. Je me maquille légèrement les yeux, et met un rouge-à-lèvre kaki, et j'enfile mes gazelles dorées et prend mon sac à main noir avant de descendre rejoindre Alejandro qui m'attend en bas. Je ne le calcule pas et je vais directement m'installer dans la voiture. Je prends mon téléphone et j'enfonce mes écouteurs pour ne pas l'entendre. Nous arrivons au centre-ville et je ne tarde pas à descendre de la voiture. Je trace ma route directement au point de rendez-vous, devant le starbucks. Je reconnais le brun au yeux mar
Trois jours, Trois putain de jours qu'il est renter, et trois putain de jours qu'on ne se parle pratiquement pas. Il sais que je peux découvrir ce qu'il s'est passé. Mais il m'ignore la dessus. Je veux la vérité. Je veux qu'il me dise. Je sais qu'en séduisant un peu Alejandro, j'aurais les réponses que je veux. Mais je veux qu'elles viennent de mon père.Mais aussi dans ces putains de trois jours, j'ai continué de recevoir de sms de ce numéros inconnu. Toujours des messages mignons, mais qui commence à me faire peur, comme :De Inconnu à Katia :« Tu ne devrais pas te faire tant de soucis en ce qui concerne ton père. La vérité ne te feras que trop mal. P
Je suis toujours en train de courir avec Alejandro qui me suit derrière et qui sourit. Il passe devant moi et m'attrape par la taille. Il me plaque au même endroit que tout à l'heure.« Tu dois savoir que m'embrasser ou me mordre l'oreille ou le cou, me déstabilise de trop. Et que je te ne permet plus de faire ce geste si plaisant, il me déclare ceci tout en éloignant mes cheveux de mon épaule gauche et l'embrasse...-Mais qu'est-ce que tu fais... j'ai le souffle qui se coupe lorsque ses lèvres montent doucement dans mon cou.- Tu en a envie. Je le sais...-Mais Alejandro, no es possible, te sabes no ? No es possible, te sabes que es impossible, te esta mi guarda... Alejandro pare, pare... Oh es muy suave... Quand je stresse, ou que je suis dans un état second... je me met à parler en espagnol... Ma
Mais c'est trop tard. Il a déchiré ma robe. Il est au dessus de moi et je suffoque...J'essaie de lui mettre des coups de pieds, mais une giffle viens s'abbattre sur mon visage.Je hurle et le griffe le plus possible. je me laisserais pas faire. Je peux pas vivre ça.'Mais laisse toi faire sale pute, de toute façon je te violerais quand même !"J'essaie de lui mettre des coups mais il les evite. Ma robe est de plus en plus déchirer. Et j'ai envie de mourir à l'instant. Je veux pas vivre ça.Je lui met un coup de pied. C'est le bon. Il se retrouve propulser sur le sol...Mais c'est Alejandro qui est là. Il se met sur lui et l'enchaine. Je hurle dans le fond de la piéce. Je suis en larmes, mais si fière qu'il n'est pas pu me toucher. Le poing de mon suaveur s'abat une nouvelle fois, encore, encore et encore. Le mec ne bouge presque plus mais il
D'une seule main il me rattrape par les hanches. Sa main toute chaude touche mon ventre dénudé et me procure des frissons intensent."Mais fait voir attention, t'as de la chance que je te suis comme ton ombre, je sens qu'il sourit en disant ça- Oh merci, il me rapproche de son corps et me colle à son torse"J'ai l'impression de plus rien entendre autour de moi. J'ai des papillons dans le ventre, je sens ses abdos musclé dans mon dos, sa main et encore sur mon ventre. Et la seconde touche mes cheveux. J'en oublie même que mon frère nous regarde, je me sens tellement en sécurité proche de lui.Son souffle chaud dans mon cou m'appaise et je me surpprend à sourrire.Il me retourne contre lui et me dis :"Tu as assez profité comme ça tu sais ? En me repoussant- Non, j'ai profité de rien du tout. C'est toi qui à profiter d'un mom
Il est au-dessus de moi. Il caresse doucement ma joue, essuie les quelques larmes qui y ont coulés, avant de m'attraper fermement par la taille et me serré contre lui. Je sens son parfum qui m'enivre et me fait oublier le désagrément que j'ai pu apprendre quelques minutes plus tôt. Son souffle chaud sur ma peau...Oh bordel... Mais est-ce qu'il n'aurait pas eu raison ? Je me sors de son emprise si chaleureuse.« Aller pousse toi ! Je dois me remaquiller avant de partir, lui dis-je en me relevant de mon lit.- Je te laisse faire, il se couche sur mon lit, sur son dos en croisant les jambes.- Mets-toi à l'aise surtout, je ne vais pas t'empêcher de te mettre bien. Je lève les y
C'est le grand soir. Ce soir c'est notre anniversaire. Je suis entrain de me faire épiler avant de partir me faire coiffer, puis habiller. Je veux être parfaite ce soir. Je veux qu'on m'envie, qu'on me jalouse. Je veux être la reine de la soirée. L'étoile qui feras jalousé le soleil et la lune. Ce soir, je deviens une femme puissante.Je suis dans le salon de coiffure que j'ai privatisé pour moi et mes chéries. On se fait maquiller, coiffer, On se fait chouchouter. Je me faire faire un smoky eyes noir et dorée, des lèvres rouges, un contouring pour être bien mis en valeur. Je reçois un sms au moment ou Alejandro me dit amoureusement :De Body Guard à Katia :« Tu m'as pris
Je suis posée sur mon transat dans mon bikini noir, en face de la piscine. Je me fais bronzer tranquillement quand une ombre passe devant moi. Je reconnais Alejandro, je me redresse et lui adresse un regard.« J'ai des nouvelles pour les sms, me dit-il- Oh enfin ? Oui dit moi !- C'est un homme, mais je ne sais ni son prénom ni son âge, c'est un téléphone prépayé acheter en bureau de tabac, il est inquiet, encore plus que moi.- Rien d'autre ? Tu n'as rien d'autre... Moi qui pensais que c'était toi... l'angoisse me monte au ventre.- Vous avez l'air angoisser, nous allons régler ça. Nous devons aller chez votre coiffeur aujourd'hui, à quel heure voulez-vous partir ? Il est trop sérieux... je n'aime pas quand il est comme ça.- Dans 1 heure je vais me préparer.
Je suis toujours en train de courir avec Alejandro qui me suit derrière et qui sourit. Il passe devant moi et m'attrape par la taille. Il me plaque au même endroit que tout à l'heure.« Tu dois savoir que m'embrasser ou me mordre l'oreille ou le cou, me déstabilise de trop. Et que je te ne permet plus de faire ce geste si plaisant, il me déclare ceci tout en éloignant mes cheveux de mon épaule gauche et l'embrasse...-Mais qu'est-ce que tu fais... j'ai le souffle qui se coupe lorsque ses lèvres montent doucement dans mon cou.- Tu en a envie. Je le sais...-Mais Alejandro, no es possible, te sabes no ? No es possible, te sabes que es impossible, te esta mi guarda... Alejandro pare, pare... Oh es muy suave... Quand je stresse, ou que je suis dans un état second... je me met à parler en espagnol... Ma
Trois jours, Trois putain de jours qu'il est renter, et trois putain de jours qu'on ne se parle pratiquement pas. Il sais que je peux découvrir ce qu'il s'est passé. Mais il m'ignore la dessus. Je veux la vérité. Je veux qu'il me dise. Je sais qu'en séduisant un peu Alejandro, j'aurais les réponses que je veux. Mais je veux qu'elles viennent de mon père.Mais aussi dans ces putains de trois jours, j'ai continué de recevoir de sms de ce numéros inconnu. Toujours des messages mignons, mais qui commence à me faire peur, comme :De Inconnu à Katia :« Tu ne devrais pas te faire tant de soucis en ce qui concerne ton père. La vérité ne te feras que trop mal. P
2 jours plus tard : Aujourd'hui je dois voir le type du sms, je le sens mal, sachant que je vais devoir l'embrasser sans même le connaitre. Je me suis habiller simplement, un jean noir, un tee-shirt blanc, une queue de cheval et ma casquette nike. Rien de bien intéressant. Je me maquille légèrement les yeux, et met un rouge-à-lèvre kaki, et j'enfile mes gazelles dorées et prend mon sac à main noir avant de descendre rejoindre Alejandro qui m'attend en bas. Je ne le calcule pas et je vais directement m'installer dans la voiture. Je prends mon téléphone et j'enfonce mes écouteurs pour ne pas l'entendre. Nous arrivons au centre-ville et je ne tarde pas à descendre de la voiture. Je trace ma route directement au point de rendez-vous, devant le starbucks. Je reconnais le brun au yeux mar
J'enfile mon jogging ma brassière :« Je le connais à peine tu te tapes des films puce.- Mouais, tu sais il est pas mal, c'est le genre de mec qui te plait d'habitude. Pis même dans tes yeux ça se voit qui te plait, me dit-elle en mangeant des M&n's- Mais non, c'est parce qu'il est arrivé un truc à mon père que je m'attache à lui. Lui dis-je peu convaincu.- Moi c'est les chocolats qui me rassurent ! Pas les mecs ! »Je la regarde et explose de rire, à m'en tordre le ventre. Après une bonne tranche de rire, je prends une veste à capuche, et je la zippe jusqu'en dessous de ma poitrine. J'attache mes cheveux en queue de cheval et j'enfile ma paire de New balance 790 rose et noir.