Emmanuel : ... quoi ?
Moi : POURQUOI ME TROMPES-TU EMMA ?
Emmanuel : ..Tu racontes quoi ?
Moi : QUOI ? TU VEUX FAIRE SEMBLANT ? TU ME TROMPES PAS PEUT-ÊTRE ?
Emmanuel : ARRÊTE DE CRIER ! ET D'OÙ TU SORS ÇA ?
Mes larmes coulaient toutes seules.
Moi : TU PENSES QUE JE SUIS BÊTE ? N'ESSAIE MÊME PAS DE DÉMENTIR.
Emmanuel : EVA ! Tu arrêtes de crier.
Moi : SIN
Ida : Elle est de la famille.Moi : Quoi de la famille ? Quelle famille ?Ida : C'est notre cousine.Moi : ..No..nonotre quoi ?Ida : Sérieux, mais il ne peut pas te tromper avec elle ! C'est une cousine éloignée, je ne la connais pas personnellement mais on s'est parlé deux ou trois fois et croisé à quelques mariages, c'est la fille de notre oncle là qui est décédé dans un accident de voiture en allant à je ne me souviens plus mais nous sommes tous allés à l'enterrement. Tu te souviens de lui ?Moi : Un peu je crois.Ida : C'est sa fille donc notre cousine.Moi : Ta cousine.Ida : ....
....Quelques jours plus tard..?! : Mouna i te kèlè ban ni a gnanafin b'i la ? (Pourquoi tu ne fais pas la paix s'il te manque ?)Moi : ...Cathé : Qu'est-ce qui t'en empêche ?Moi : Je t'ai dit, il ne s'est pas excusé.Cathé : Tu ne lui parles pas comment il va le faire ?Moi : Si, je réponds à ses salutations.Cathé : C'est ça parler ?Moi : Je le réponds c'est déjà ça, il fait comme s'il n'avait rien fait et moi je ne peux pas lui reparler comme ça au calme alors qu'il ne daigne même pas me dire un petit désolé.Cathé : Mais dans son comportement il l'est non ?
Un mot, même un petit mot ne sortit de ma bouche depuis trente minutes maintenant.De la chambre, pliée sur moi-même par terre, je les entendais encore et encore parler sur moi. Seules mes larmes témoignaient de mon mal-être en ces instants.J'avais fui du salon pour la chambre quand leur tante a commencé à me traiter d'inconsciente, d'égoïste et bien d'autres mots qui me faisaient mal dans la poitrine.La douleur qui est entrain de parcourir tout mon être ne peut pas être comprise ni connue de vous et je ne tiens pas à ce que vous la connaissiez, même pas à l'espace d'une seconde.Trente minutes passées à reflechir, dans ma tête je me disais qu
...Le lendemain, 10h11...Moi : Bonjour papa.Papa : Eh Eva ! Bonjour.Je m'assieds sur le canapé.Moi : Comment tu vas ?Papa : Je vais bien Dieu merci et toi.Moi : Bien aussi.Papa : Tu n'as pas été au travail aujourd'hui ?Moi : Non, j'ai pris ma journée.Papa : Ah je vois mais tu sais quand-même que tu es en période d'essaie ?Moi : Oui.Papa : Donc ne t'absente pas trop sinon tu peux perdre le boulot.Moi : Je sais papa.Papa : Sache quand-même que papa est là. _en souriantJe rigole.Moi : Après ça dit que je suis
Je prends son bras et on se dirigeait vers la boutique en rigolant. Mon rire s'est stoppé quand je croise un regard qui m'a fait me rappeler de cet épisode de ma vie...Je m'arrête direct en pressant le bras d'Emma puis me tourne vers lui.Emmanuel : Qu'est-ce qu'il y'a ?Moi : ...... : Eva !Emmanuel : Tu es qu.... Toi !Emma l'a reconnu, il m'a fait passer derrière lui en prenant ma main.... : Calme-toi frère. Ça va Eva ? Humm
André : On doit se rendre tout de suite là-bas de notre propre chef avant que des officiers n'arrivent ici pour te saisir.Moi : Le saisir ?André : On a porté plainte pour coups et blessures. Un homme prétend que tu l'as agressé le mardi dernier et qu'il y avait des témoins parmi lesquels Eva.Hamza ! C'est lui, ce sale chien.J'ai regardé Emma.Moi : C'est Hamza.André : C'est donc vrai ?Gui : C'est qui ?
Mimi : Ce n'est pas nous le problème c'est toi le problème.Mimi : ...princesse Eva....Emmanuel Moi : Tu veux rester seule ?Eva : ...Moi : Tu as parlé de quoi avec Mimi ? S'il te plaît ouvre la porte.Et là j'entends qu'elle pleure.Ça fait dix minutes qu'Eva s'est enfermée dans la salle de bain. Dès qu'elle a fini de parler avec ma sœur, je suis allée demander à Mimi de quoi elles parlaient
Emmanuel : Bah si.Moi : Tu es sérieux Emma ?Emmanuel : Oui. J'arrive.Et il est sorti comme ça sans rien ajouter. Ok, qu'il fasse ce qu'il veut. Je ne suis même pas d'humeur aujourd'hui.Mon téléphone sonne sur le plan de travail, c'est Jean.Moi : Allô.Jean : Allô. Tu es à la maison ? Je suis au boulot pour l'instant.Moi : Non. Je suis chez moi.Je
[ Aimé Binafou Le mari d'Eva] .. : Oui je viens de rentrer, David m'a déposée. Aimé : Bien alors, je rentre bientôt. Eva : Ok, c'est quoi l'urgence que tu es allé faire ? Aimé : Juste un vieux truc. Je fais vite et j'arrive. Bye. Eva : Bye. Je raccroche et regarde tout autour, je commence à m'impatie
Aimé : Madame a quoi ?- Rien, tu me manquais.Aimé : Hum.- Tu fais quoi ?Aimé : Je réchauffe ton déjeuner.- Dis-moi ce que je ferais sans toi ?Aimé : Demande-toi deh.Je ne dis rien et il se met à me caresser le dos.Aimé : Mauvaise journée ?- Plutôt fatigante.Aimé : Ok, tu vas manger après tu te reposes.- D'accord.Quelques minutes plus tard on s'était installé sur le balcon à baaroter puis je suis descendue auprès de ma belle-mère afin de discuter ensemble. Je m'assieds souvent avec elle devant la télé à parler de tout et de rien, surtout si elle est seule pour lui tenir compagnie. Et souvent on récite ensemble le chape
《My Life Is Going On.》Hello 🤗__________________Ce fut réellement la fin, je ne suis plus jamais retombée dans ses bras. Après des mois et des mois de galère j'ai fini par avoir le divorce à l'église. Emma a épousé cette vieille peau et tout ça m'a aidé à obtenir l'annulation. Ça devait finir comme ça. Nous deux ce n'était plus possible même si l'amour était toujours là...L'amour n'était pas suffisant Le divorce à l'église est très difficile &agra
Dans ma tête ces paroles résonnaient et je voulais juste les lui lancer mais au lieu de ça...[Revenons en arrière]...Trois mois et quelques jours plus tôt..Moi : Parce que si oui, je fais immédiatement mes affaires et je m'en vais hors de ta maison et ça pour ne plus jamais y revenir peu importe l'issue de ma grossesse. J'ai pris ma décision, si c'est me laisser aux mains de gens qui m'insultent et me rabaissent tout le temps tout en me proclamant quand ça te chante ton amour que tu veux. Je ne veux plus de cet amour car j'ai moi aussi une dignité. Toi et ta famille vous en avez trop abuser. Donc je répète si c'est continuer à me t
Je passe mon temps à l'appeller sans qu'il ne me réponde. J'ai arrêté de pleurer car c'est ce qui l'énerve et que je ne dois pas le faire. J'insiste et il finit par éteindre son téléphone. Pourquoi il me lâche ? Pourquoi je l'attends alors qu'une partie de moi me dit qu'il ne rentrera pas ce soir ? Je l'ai cherché peut-être ou je...je......bon sang que ces fichus larmes restent à leur place !....J'ouvre doucement les yeux à l'entente des bruits provenant de la salle de bain. Je regarde autour de moi et vois les habits d'Emma. Je cherche mon téléphone des mains, le trouve et regarde l'heure, trois heures du matin. Je passe ma main sur le visage et me redresse sur le lit en pliant les jambes puis
Je perds pieds complètement en me levant. Emma se lève aussi et m'attrape en me prenant dans ses bras. Je craque dans ses bras.Emmanuel : ..il n'arrivera rien.Moi : ..oui.Emmanuel : ..mais..Moi : mais ?Il se détache doucement et je le regarde. Il essuie mes larmes et s'éloigne en baissant la tête.Koné : Keïta..Emmanuel : Je reviens. _en sortant...16h48..Je pense à ma vie qui est loin d'être un conte de fées et ça me fait mal, mes yeux ne peuvent s'empêcher de me piquer. J'arrive à un point où je doute de t
Lors de la cérémonie du kounkoli quand on faisait des soi-disants éloges de Tima je ne sais pas comment ni pourquoi mais d'un coup j'ai commencé à avoir chaud et à manquer d'air. Donc je me lève pour aller me rafraîchir dans la maison vu que nous sommes dans la cour mais à juste deux pas je me sens tomber.....Quelques minutes plus tard..... : Je suis sûre qu'elle l'a fait exprès juste pour attirer l'attention.?! : Je t'assure et y'a Emma qui disait qu'elle est malade juste pour qu'elle ne fasse rien.J'arrive à ouvrir doucement les yeux à cause des mots que
Moi : Bah oui, je suis heureuse.Emmanuel : Et moi alors !Je rigole avec lui et sans qu'il ne s'en rende compte je barbouille son visage de gâteau avant de courir, il m'a poursuivi puis c'est partie pour du n'importe quoi mdrr....Trois mois plus tard..Fily : Je veux rester ici.Moi : Vas-y princesse sinon elle va se fâcher.Fily : Non je reste là.Moi : S'il te plaît ma jolie vas-y. Quand tonton Emma rentrera tu monteras avec lui.Fily : Hum.Moi : Oui.Ada m'énerve à un tel point que je ne peux même pas l'imaginer. Elle passe son temps à
Emmanuel : Non ?Moi : C'est mieux comme ça...Je l'entends soupirer.Moi : ..pour l'instant. ...Quelques jours plus tard..Des jours se sont passés, quinze plus précisément donc deux semaines. Je ne suis plus chez nous. Je suis chez David, ça me fait du bien d'être entourée d'enfants, mes neveux chéris, ils sont embêtants des fois mais ce sont de véritables amours. Je suis parfois très contente de les retrouver après le boulot surtout la petite dernière, un bébé à croquer elle.