Je me suis sentis un peu blasé au cours de leur conversation qui prenait la forme d'un débat. En réalité je voulais probablement qu'il reste dans ma vie, mais comme il m'avait énormément blessé j'étais confuse. L'option 'oublie-le' ne marchait définitivement pas.
-Attends, attends, Aspen a dit avec un faux sourire. Tu me dis donc que Mayleen dois oublier l'amour de sa vie à cause des conneries de Justin? Elle a questionnée.
-Mais tu te rends pas compte des horreurs qu'il lui a fait, Skylar a regardé autour d'elle. Il a tué son père, et ça me surprend encore énormément, mais comme c'est Justin on s'attend à tout avec lui. Il passe sa vie à faire délinquance et demander la pardon.-Tu comprends rien au fait de vouloir faire quelque chose de sa vie et s'amuser, genre l'aventure?-Comment tu peux parlerMayleen RubbyUn silence s'est installé entre nous. J'ai fermé mes yeux quelques secondes afin de les reposer.-Viens avec moi, il a dit.J'ai tourné mon visage pour froncer mes sourcils.-Je dois réviser, j'ai répondu. -Une soirée seulement, il a insisté.Ses iris miel si parfaitement tracés brillaient. J'ai sentis une adrénaline remonter en moi me laissant inspirer profondément.Je me suis levé pour atteindre mon armoire et en tirer un sweat à capuche long ainsi qu'un skinny jean.Tirant vers le haut mon haut je l'ai laissé tomber à terre pour le changer. Justin avait rapidement tourné sa tête, ce qui m'avait surpris. J'aurais pensé qu'il en aurait prit avantage.J'ai finis par changer mon jean et enfiler une paire de basket que j
J'ai démarré pour m'engager sur la route.-Alors ta matinée? J'ai questionné. -Tu sais que tu ne dois pas te sentir obliger de te soucier de moi, elle a répondu. -Je me soucis vraiment de toi, j'ai tourné le volant avant de le laisser glisser entre mes doigts. J'ai vraiment passé une matinée de merde avec cette fille qui veut pas me lâcher une seconde, j'ai lancé provoquant son léger rire. C'est vraiment pas marrant, j'ai souris dû à sa réaction me procurant une béatitude. -J'imagine juste la situation, elle a admise.Garant la voiture j'ai coupé le moteur. On est sortit hors de celle-ci pour nous dirriger en direction de la maison alors que j'ai verouillé les portières.-On est seul, les tuteurs sont au travail, j'ai tenté de la rassurer en déverrouillant la porte.Je l'ai laiss&ea
Une certaine distance établie entre nous, les draps autour de sa poitrine, couvrant jusqu'à la moitié de ses cuisses.Ses cheveux étaient en arrière, sur le coussin. Passant ma main lentement sur sa joue, ses paupières se sont rejoint pour la laisser fermer ses yeux. Son souffle régulier prouvait combien elle se sentait relaxer.Sentant des adrénalines me remontés, je l'ai regardé. Sa peau douce, son odeur, ses cheveux, ses iris vert tout d'elle m'avait tellement manqué. Elle était devenu mon point faible, celle qui pouvait détruire mon âme froide et le prendre sous contrôle afin d'en faire son esclave.Chaque fois qu'elle se trouvait dans mon lit, sa peau effleurant mes draps, j'y prenait plaisir, elle laissait ses marques pour que je m'en souvienne.J'avais prit tout mon temps d'apprécier chaque toucher, ça
Quelques minutes plus tard j'ai juste coupé l'eau pour enrouler une serviette autour de mon corps et de mes cheveux. Ainsi j'ai atteint ma chambre enfilant mes vêtements et attachant mes cheveux.L'heure suivante, 8:30 p.m. J'avais passé tout mon temps à verser des larmes, je comprenais toujours pas la réel cause. À cause des erreurs de Justin? Dû à ma décision? Le fait que j'ai passé un moment intime alors que je lui en voulais?Je me sentais tellement au plus mal, je devais pourtant pas me laisser emporter de cette manière.-Mayleen, Kyles a toqué à la porte. Tu viens dîner? Il a demandé. -Non, j'ai pas faim, j'ai répondu.En temps normal il n'insistait pas, du moins pas le soir sachant que j'étais assez fatigué et que j'allais me coucher assez tôt. Mais à cet instant, il est ent
Je suis tombé sur le message envoyé à Justin au passage.Justin j'ai remis mes esprits au claireSauf que je ne l'avais pas envoyé. Aspen l'avait fait pour moi, elle savait très bien qu'il fallait un simple message pour qu'il vienne.-Uhm, je reviens, je me suis levé rapidement.Justin Mccann-Installe-toi, c'est pas comme si c'était un lieu inconnu. Au fait moi c'est Aspen.Je me souviens, asperge.-On te l'a déjà fais? J'ai questionné la laissant froncer les sourcils. La blague de l'asperge.Elle a lâchée un léger rire.-Tu serais étonné de savoir que t'es le premier, elle a répondu laissant un silence. Bon je vais aller droit au but parce que je sature vraiment, elle m'a regardée. Je sais combi
-Regarde-moi, j'ai dis calmement. Ces personnes ont étés signalés, j'ai avertis la police et ils n'ont pas le droit de traverser la frontière ni même leur marchandise. Ils sont sous contrôle total, j'ai admis.Si on veut être un bon délinquant, il faut agir comme si on ne produisait aucune délinquance en signalant ce type d'information aux flics. Stratégie.Être amis avec ses ennemis, je me rapproche donc de l'État pour mieux les avoir.-Mayleen, j'ai caressé sa joue pour tenter de calmer sa respiration. Relax, je suis là et tu risques plus rien, j'ai ajouté.Fermant ses yeux elle a suivis mes instructions.-Prends une longue inspiration pendant quelques secondes, je l'ai laissé faire. Focalise-toi sur celui-ci et oublie ce qui t'entoure.Après quelques minutes, ses yeux se sont ouverts.-C
J'ai hoché positivement ma tête avant d'avancer avec un sourire sur mon visage. Elle cachait tellement mal ses émotions.Chaque fois qu'elle éprouvait de la peur ou de l'anxiété, elle savait exactement qu'elle pouvait se sentir en sécurité avec moi.Reprenant la marche, on s'est dirigés en direction de la plage, c'était à cinq minutes du chalet. J'admet que l'endroit où on se trouvait était assez dure à trouver;c'était le but après tout.Avançant à côté d'elle j'ai passé ma langue sur mes lèvres en approchant lentement ma main de son corps alors qu'elle semblait focalisé sur le paysage. Lentement j'ai attrapé sa main, mais elle a rapidement retirée celle-ci. J'aimais vraiment pas le fait qu'elle puisse me résister, je détestais ça. Non parce que
Justin MccannSecouant mon visage, j'ai tenté de réfléchir à autre chose avant de sérieusement durcir.-Tu veux rentrer? J'ai questionné. Se redressant elle a passée sa main à travers ses cheveux. -Oui, elle a répondu.Ainsi, sans prendre le temps de m'occuper d'elle et en posant une distance physique entre nous, j'ai avancé la laissant devant moi pour éviter de la prendre contre un arbre. À ce stade je suppose que j'aurais été capable de tout."Très mauvais"ma conscience m'a signalé.Oh, la ferme un peu.Une fois à la maison, Mayleen s'est rendu dans la salle de bain pour prendre une douche. De mon côté, je me suis contenté de me changer pour être à l'aise.Les derniers rayons de
Mayleen RubbyIl était installé là devant un feu allumé pour le réchauffer. Il avait plus quelques heures plus tôt mais il avait tout de même réussit à allumer un feu, c'était un génie. J'avançais pour m'installer sur l'un des bancs planté dans le jardin. Il fixait le feu, et à travers ses iris noisette, qui maintenant étaient sombres, vides, sans vie on aurait dit, se reflétait les flammes. Comment pouvais-je faire pour lui donner une once d'espoir, le faire revenir à la vie, lui donner cette envie de revivre, de puiser dans toute son énergie. À ce stade même s'il fallait être dans une de ces aventures, être poursuivis par les forces de l'ordre, se retrouver à l'autre bout de l'état , en amériq
Justin McCannJ'ai envie que ça me prenne, que ça m'emporte, loin d'ici. Parfois la douleur n'a pas besoin d'être si intense , souffrir paraît mieux qu'aller "bien". Sourire et être heureux semblent sans objectif , sans raison, sans rien de bon. La nuit, quand il se fait tard, quand la fatigue monte et repenser à combien ça fait mal au fond, combien on cache notre douleur, on se sent mort, sans vie, sans rien à donner à personne. Est-ce la fatigue ou juste notre vrai nature qui ressort? Je veux que cette souffrance, cette douleur me prenne, me détruise, fasse de moi une personne inexistante. Puis je me demande pourquoi, pourquoi ce genre de pensées me viennent? Pourquoi l'envie de me faire du mal, me blesser, de souffrir devient si pesante, pourquoi une personne aurait envie de cho
Mayleen Rubby- Bah c'est quoi cette tête? demanda Aspen lorsque je franchis le seuil de la porte de sa maison. Elle m'avait proposé de venir chez elle sachant que ses parents n'étaient pas là, et que la maison serait vide, donc qu'on serait plus à l'aise.- Tu veux vraiment pas savoir , répondis-je déposant mon sac et ma veste légère sur le côté. Je la suivis en direction du salon.- Bien sûr que si, depuis quand est-ce qu'on se dit pas les choses importantes? demanda-t-elle. Mais avant tout , dis-moi tu veux boire quelque chose ou manger ? - Non merci, répondis-je. - Vue que je savais ta
Mayleen RubbyJe retenais un souffle et me dirigeais en direction des escaliers , je me rendais à l'étage inférieur où se trouvait Agatha avec Noah dans ses bras.- Bonjour Mayleen, dit-elle en souriant.Je m'avançais en sa direction pour passer mes doigts sur la joue de Noah lentement en souriant, mais soudainement je me sentis mal de penser que je pourrais plus avoir l'initiative d'avoir un enfant un jour à cause de ce qu'il s'est passé. Psychologiquement surtout ça risquera d'être compliqué. Ça n'aurait pas dû arrivé à un jeune âge, on aurait dû être plus prudent, mais en même temps vu comment Justin agit , ça aurait &ea
Justin McCannJe contemplais son visage, ses traits et laisser mes doigtscourir à travers ses cheveux lentement. Ses paupières closes, et son souffle lent , elle semblait en paix dans son sommeil. Peut-être que c'était l'une des rares fois parce que j'étais près d'elle, je savais combien elle avait du mal à le faire sans ma présence. Mais elle avait dû s'y habituer depuis que j'étais partie.Je me levais du lit attrapant mon briquet ainsi qu'un joint. Je marchais en direction des marches d'escaliers pour me rendre à l'étage inférieur et tracer mon chemin vers la baie vitre. Hors de la maison, j'avançais à travers le jardin, ici personne allait venir me déranger et encore moins alors que personne &eac
Justin McCannMon portable vibra me réveillant, je l'attrapais pour voir le nom de Chaz s'afficher sur celui-ci. Je soufflais et décrochais.- Allô, répondis-je.- T'es pas bien réveillé toi, dit-il. Je te rappelles plus tard.J'ignorais ce qu'il m'avait dit et il raccrocha , s'il voulait pas parler c'était son problème pas le mien et ça m'arrangeait. Je remarquais qu'il était 3:00 p.m. J'avais pas dormis de la nuit, j'avais du mal avec les effets de la drogues. Je préférais aussi d'un côté passer la nuit à rester près de Mayleen, et faire ce que je me privais de faire toute la journée
Mayleen Rubby Je me rendis à la maison , une fatigue s'était installé, je voulais rentrer le plus vite possible et me mettre sous mes draps au chaud. Je me sentais si contente mais à la fois triste. J'avais pu passer du temps avec lui comme je le voulais, mais pas dans de bonnes conditions. Je ne pouvais pas lui en vouloir , il avait le droit de ne pas se sentir dans la meilleure des humeurs, la seule choses qui me préoccupait était le fait qu'il ne m'en parle pas. Je voulais qu'il sache que quoiqu'il en soit j'étais et je serais là sans aucun doute.Lorsque je fût à la maison, je confrontais Dimas. Comment lui expliquer la situation alors que je ne voulais vraiment pas inventer des m
Mayleen Rubby- Alors ? demanda Aspen en souriant.- Umm, quand on était au téléphone hier soir, il est sortit devant moi par surprise, répondis-je.- Il fait de l'escalade pour rejoindre ta chambre, c'est moi en version mec, dit-elle me laissant rire légèrement.Néanmoins l'expression sur mon visage changea assez rapidement, elle le remarqua.- Tu devrais être contente à c'que je sache , il s'est passé quoi ? demanda-t-elle.Aspen connaissait toute ma vie, et moi de même avec elle. On se parlait régulièrement , et m&e
Justin McCannJ'avais grimpé avec toute discrétion, du moins beaucoup plus que la dernière fois où un enfant m'avait surpris et que j'avais dû faire course poursuite. La pièce était vide, mais une odeur plaisante régnait dans celle-ci comme à chaque fois. Son odeur. J'étais collé au mur lorsque j'entendis des pas s'approchés. J'entendais quelques secondes avant de vérifier, elle était sur son lit en train d'analyser son livre d'anatomie. Celui-ci je lui avais offert il y a quelques mois, je sais combien elle aimait cette matière. Je voyais l'amour qu'elle avait pour la médecine à ravers ses yeux.Son portable vibra et elle répondit à l'appelle.