Mayleen Rubby
Il savait que les clefs allaient être en sécurité avec moi, qu'on ne pouvait pas y avoir accès. Mais après les nombreux soupçons, il étaient tombés à sa recherche évidement.
-Tu savais que je protégerait tes actes, c'est pourquoi tu me les a donnés, j'ai dis.
-Mayleen, il m'a interpellé me regardant. T'as des sentiments pour moi, t'aurais tout fait pour me garder en vie, il a ajouté. J'aurais fais la même pour toi après tout, si on faisait marche arrière. Mais ça reste du passé.Il s'est tourné pour chercher son arme posé sur un meuble ancien.
-Maintenant, tu me dis où sont les clefs? Il a questionné.
-Tu me ramène ici et me torture, sans oublier l'affreux été que tu m'a faJustin McCannBordel, attirante, c'était tout ce qu'elle était. Ses traits parfaits me rappelaient chaque fois que c'était la plus belle chose qui m'était arrivé.J'avais passé mon temps à la surveiller et à être sur mon portable pour gérer les informations importantes à propos de l'affaire de ce soir. Elle avait finit par s'endormir, j'avais ramené une couverture sur son corps pour éviter qu'on la vois dans cette état. J'étais le seul à pouvoir la voir dans les tenus les moins appropriées. Avec l'ouverture que je lui avais fait plus tôt, on pouvait pas ignorer l'apparence de son soutien-gorge.Abstient-toi, pas d'attachement, pas de sentiment.Elle allait pas finir comme Kelsey, je refusais. Plus elle était loin de mo
Justin Mccann Ma haine et ma colère je l'enterrerais dans un coin, tout ce que je ferais sera de me promettre de jamais tomber pour quelqu'un d'autre que Mayleen. J'en n'ai rien à faire de ce qu'on dit, un jour je trouverais le moyen de la retrouver. Elle m'attendra, et au moment où elle s'y attendra le moins, je serais de retour pour elle. Et si un jour elle prend la décision d'en aimer un autre, je mettrais le feu à ce monde, elle m'appartient entièrement. Son être est tout ce qui me plaît. J'ai appris à aimer dans un entourage qui était remplis d'ennemis et de haine. Elle me l'a appris sans même en prendre conscience. Qu'est-ce que ça pouvait lui faire de savoir combien elle était aimé en réalité? J'avais presque oublié, elle pensait que j'étais remplis de colère et que je pouvais la détester. Je m'en étais convaincu pour être honnête, mais pour une très courte durée. C'est
Justin Mccann J'ai contracté ma mâchoire en frappant contre le volant. Je suis sortis hors du véhicule pour me diriger en direction des bodyguards. -Vous prenez Mayleen et l'emmenez où ses gardes du corps l'attendent, ils savent qu'ils doivent rentrer avec elle. J'avais eu une petite conversation avec ceux qui gardaient un oeil sur elle. Je les avais menacé s'ils venaient à dire la vérité à Savió. Ils ont hoché leur tête avant de se diriger vers l'intérieur. J'ai atteint la pièce où Jace se trouvait en train de résoudre le système concernant le gang rival. -Tout est bon? -Oui jay, ils ont quittés la ville. Leur problème n'était pas avec nous, ils recherchaient quelque chose en particulier. Probablement un de ces trucs qui date de l'antiquité. J'ai froncé mes sourcils. -Justin tu viens deux secondes? Chaz a demandé derrière moi. Je me suis ret
J'étais mort de l'intérieur, je respirait sans avoir l'impression de vivre. Mon portable est tombé de mes mains avant que je me sente glisser sur la pelouse. J'ai fixé le ciel, comme si j'attendais la mort venir me prendre. Plus aucune raison de vivre ou de respirer, c'était cause perdu. Justin ne pouvait pas faire sans Mayleen. Ma vie était sans aucun sens, j'avais commencé à vivre lorsqu'elle était entrée dans ma vie. J'ai tout foirée. Mon portable a vibré longuement avant que je le prenne pour répondre, j'avais l'impression que mon âme était sur le point de quitter mon corps. -On a des pistes, elle doit être dans les alentours, descend plus bas, Jace a dit. J'ai pris conscience de ce qu'il a dit avant de laisser la ligne se couper. Afin d'atteindre l'allée rocheuse je suis passé à travers les marches d'escaliers en pierre. Et si elle était vraiment morte? Qu'est-ce que j'allais faire? Comment j'allais me pardonner? -Jay!
J'ai allumé la clope pour en tirer un late profondément avant de souffler et laisser la fumée voler sous mes yeux. -Pensif? Une voix a questionné. J'ai tourné mon visage pour croiser une femme vêtu d'une blouse. -Pour un médecine, j'dirais que c'est mauvais de fumer, j'ai lancé la laissant sourire en s'avançant. -Et pour un jeune homme je dirais que ça détruit les poumons, c'est mauvais si tu veux vivre une longue vie. J'ai tiré une late. -J'ai entendu l'histoire de ta petite amie, c'est pas très joyeux, j'espère qu'elle se porte mieux. J'ai hoché positivement ma tête soufflant la fumée. -Je m'en charge, j'ai répondu. -Elle doit se sentir chanceuse. Elle devrait pas, avec toutes mes stupidités je pense pas qu'elle est de la chance. -Justin, la voix de Chaz m'a interpellé. Je me suis retourné pour le voir s'approcher. Avançant j'ai tiré une late de plus dans mes poumons. -Co
Il s'est tourné lentement pour croiser mon regard en passant sa langue sur ses lèvres. Laissant ses mains atteindre la couverture présente autour de mon corps il l'a lentement laisser tomber. -Alors comme ça, tu as retrouvé ce qui t'appartenais dans la boîte à gant? Il a questionné en mordant sa lèvre inférieur. -C'est pas ce que tu penses, j'ai commencé. -Hmh, c'est quoi dans ce cas? Il s'est avancé pour déposer son souffle sur mes lèvres. -J'ai pas de justification, j'ai tourné mon visage. Il a déposé son index sur mon menton pour que mon visage soit face au sien. Plaquant violemment ses lèvres contre les miennes il m'a lentement fait basculé en arrière. Il était comme assoiffé, en besoin de goûter à mes lèvres. Passant au dessus de mon corps, il a exploré ma bouche avec sa langue. Détachant celle-ci pour reprendre son souffle, il a souris en coin. -Bordel, à l'arrière de ma ferrari, t'es là et causerait pas si mal,
Nous étions sur la matière en bois dans mon jardin, une sorte d'estrade à quelques centimètre de la pelouse. Il faisait nuit et il pleuvait quelques gouttes alors que le toit parfaitement conçus nous protégeais. Mon père avait réfléchis à tout pour cette maison, je lui en était reconnaissant pour tout ce qu'il avait pu m'offrir en si peu de temps. Il faisait frais, mais pas tellement pour qu'on gèle sur place. Le silence régnait m, quelques étoiles à peine visible étaient dans le ciel nuageux. Tel de la fumée les nuages étaient présent sur le fond sombre qui n'était autre que le ciel sans rayon de soleil. Plus loin se trouvait le clair de lune me donnant des frissons par sa beauté. Il a tourné ses iris miel qui brillaient pour coller la bouteille à ses lèvres. -J'ai toujours voulu te parler à propos de ce sujet, mais tu ne m'a jamais vraiment écouté, j'ai laissé l'air se transformer en fumée filer dans l'air dû à l'air fraîche. J'ai sen
L'amour a déclenché la haine. Les deux jeunes adolescents étaient bouleversés et perdu. Ils étaient arrivés à un stade où ils ne pouvaient plus se supporter mutuellement.Il a passé sa langue sur ses lèvres en fixant ses iris vert. Après avoir ouvert son coeur et retrouvé ses sentiments une nuit, il s'est souvenu de combien elle lui manquait. C'était une nuit où il pleuvait, seul à la maison alors que ses tuteurs légaux :'en étaient allés, il avait allumé une cigarette. Il avait réfléchis, beaucoup réfléchis à propos de sa vie actuelle. Tout ce qu'il désirait était en sa possession sauf une chose, son coeur.La pluie lui avait remémoré ces moments passés à la maison du lac en sa compagnie, lorsqu'ils étaient en bons termes.
Mayleen RubbyIl était installé là devant un feu allumé pour le réchauffer. Il avait plus quelques heures plus tôt mais il avait tout de même réussit à allumer un feu, c'était un génie. J'avançais pour m'installer sur l'un des bancs planté dans le jardin. Il fixait le feu, et à travers ses iris noisette, qui maintenant étaient sombres, vides, sans vie on aurait dit, se reflétait les flammes. Comment pouvais-je faire pour lui donner une once d'espoir, le faire revenir à la vie, lui donner cette envie de revivre, de puiser dans toute son énergie. À ce stade même s'il fallait être dans une de ces aventures, être poursuivis par les forces de l'ordre, se retrouver à l'autre bout de l'état , en amériq
Justin McCannJ'ai envie que ça me prenne, que ça m'emporte, loin d'ici. Parfois la douleur n'a pas besoin d'être si intense , souffrir paraît mieux qu'aller "bien". Sourire et être heureux semblent sans objectif , sans raison, sans rien de bon. La nuit, quand il se fait tard, quand la fatigue monte et repenser à combien ça fait mal au fond, combien on cache notre douleur, on se sent mort, sans vie, sans rien à donner à personne. Est-ce la fatigue ou juste notre vrai nature qui ressort? Je veux que cette souffrance, cette douleur me prenne, me détruise, fasse de moi une personne inexistante. Puis je me demande pourquoi, pourquoi ce genre de pensées me viennent? Pourquoi l'envie de me faire du mal, me blesser, de souffrir devient si pesante, pourquoi une personne aurait envie de cho
Mayleen Rubby- Bah c'est quoi cette tête? demanda Aspen lorsque je franchis le seuil de la porte de sa maison. Elle m'avait proposé de venir chez elle sachant que ses parents n'étaient pas là, et que la maison serait vide, donc qu'on serait plus à l'aise.- Tu veux vraiment pas savoir , répondis-je déposant mon sac et ma veste légère sur le côté. Je la suivis en direction du salon.- Bien sûr que si, depuis quand est-ce qu'on se dit pas les choses importantes? demanda-t-elle. Mais avant tout , dis-moi tu veux boire quelque chose ou manger ? - Non merci, répondis-je. - Vue que je savais ta
Mayleen RubbyJe retenais un souffle et me dirigeais en direction des escaliers , je me rendais à l'étage inférieur où se trouvait Agatha avec Noah dans ses bras.- Bonjour Mayleen, dit-elle en souriant.Je m'avançais en sa direction pour passer mes doigts sur la joue de Noah lentement en souriant, mais soudainement je me sentis mal de penser que je pourrais plus avoir l'initiative d'avoir un enfant un jour à cause de ce qu'il s'est passé. Psychologiquement surtout ça risquera d'être compliqué. Ça n'aurait pas dû arrivé à un jeune âge, on aurait dû être plus prudent, mais en même temps vu comment Justin agit , ça aurait &ea
Justin McCannJe contemplais son visage, ses traits et laisser mes doigtscourir à travers ses cheveux lentement. Ses paupières closes, et son souffle lent , elle semblait en paix dans son sommeil. Peut-être que c'était l'une des rares fois parce que j'étais près d'elle, je savais combien elle avait du mal à le faire sans ma présence. Mais elle avait dû s'y habituer depuis que j'étais partie.Je me levais du lit attrapant mon briquet ainsi qu'un joint. Je marchais en direction des marches d'escaliers pour me rendre à l'étage inférieur et tracer mon chemin vers la baie vitre. Hors de la maison, j'avançais à travers le jardin, ici personne allait venir me déranger et encore moins alors que personne &eac
Justin McCannMon portable vibra me réveillant, je l'attrapais pour voir le nom de Chaz s'afficher sur celui-ci. Je soufflais et décrochais.- Allô, répondis-je.- T'es pas bien réveillé toi, dit-il. Je te rappelles plus tard.J'ignorais ce qu'il m'avait dit et il raccrocha , s'il voulait pas parler c'était son problème pas le mien et ça m'arrangeait. Je remarquais qu'il était 3:00 p.m. J'avais pas dormis de la nuit, j'avais du mal avec les effets de la drogues. Je préférais aussi d'un côté passer la nuit à rester près de Mayleen, et faire ce que je me privais de faire toute la journée
Mayleen Rubby Je me rendis à la maison , une fatigue s'était installé, je voulais rentrer le plus vite possible et me mettre sous mes draps au chaud. Je me sentais si contente mais à la fois triste. J'avais pu passer du temps avec lui comme je le voulais, mais pas dans de bonnes conditions. Je ne pouvais pas lui en vouloir , il avait le droit de ne pas se sentir dans la meilleure des humeurs, la seule choses qui me préoccupait était le fait qu'il ne m'en parle pas. Je voulais qu'il sache que quoiqu'il en soit j'étais et je serais là sans aucun doute.Lorsque je fût à la maison, je confrontais Dimas. Comment lui expliquer la situation alors que je ne voulais vraiment pas inventer des m
Mayleen Rubby- Alors ? demanda Aspen en souriant.- Umm, quand on était au téléphone hier soir, il est sortit devant moi par surprise, répondis-je.- Il fait de l'escalade pour rejoindre ta chambre, c'est moi en version mec, dit-elle me laissant rire légèrement.Néanmoins l'expression sur mon visage changea assez rapidement, elle le remarqua.- Tu devrais être contente à c'que je sache , il s'est passé quoi ? demanda-t-elle.Aspen connaissait toute ma vie, et moi de même avec elle. On se parlait régulièrement , et m&e
Justin McCannJ'avais grimpé avec toute discrétion, du moins beaucoup plus que la dernière fois où un enfant m'avait surpris et que j'avais dû faire course poursuite. La pièce était vide, mais une odeur plaisante régnait dans celle-ci comme à chaque fois. Son odeur. J'étais collé au mur lorsque j'entendis des pas s'approchés. J'entendais quelques secondes avant de vérifier, elle était sur son lit en train d'analyser son livre d'anatomie. Celui-ci je lui avais offert il y a quelques mois, je sais combien elle aimait cette matière. Je voyais l'amour qu'elle avait pour la médecine à ravers ses yeux.Son portable vibra et elle répondit à l'appelle.