« Monsieur Dubois arrive ! » Sans savoir qui avait parlé, Anne a détourné son regard pour regarder dans la direction du professeur Dubois. « Monsieur ! », l’attitude d’Anne était très respectueuse. Le professeur Dubois a légèrement acquiescé, mais il est passé devant elle, et s’est dirigé directement vers Léa en disant : « Mademoiselle Leroy ! » Léa était surprise, et l’a rapidement salué en retour : « Monsieur Dubois ! » Monsieur Dubois a souri et a dit : « C’est un banquier privé aujourd’hui, il n’y a pas besoin d’être gênée. » Tout le monde voyait clairement que Monsieur Dubois avait une attitude différente envers Léa. Anne était arrivée précipitamment en disant : « Monsieur, c’est bien, Mademoiselle Leroy ? Celle que vous m’avez mentionné auparavant. » En disant cela, Anne avait tendu sa main vers Léa en lui disant : « Bonjour, je suis Anne Bouvier, étudiante de Monsieur Dubois ! » En voyant cela, le professeur Dubois a continué : « Anne et l’étudiante dont je sui
Léa a réagi avec un peu de retard, elle ne comprenait pas. En voyant que tous les regards étaient dirigés vers elle, son cœur battait très fort. Léa a continué en disant : « Je ne connais pas très bien le défilé de mode de cette fois-ci, je pense que les aînés de ce domaine en savent plus que moi. » On apercevait de l’humilité dans ses mots. Quant à Monsieur Dubois, il était très satisfait de l’attitude non arrogante de Léa. « Mademoiselle Leroy, voulez-vous essayer de prendre en charge ce grand rôle ? », a dit Monsieur Dubois. Après ces mots. Tout le monde était abasourdi. Monsieur Dubois faisait autant confiance à Léa, est-ce que c’était une nomination directe ? Mais Léa n’avait pas vraiment d’œuvre qu’elle pouvait présenter, cela risquait de ne pas pouvoir impressionner grand monde. Léa était étonnée, elle était toute étourdie par cette nouvelle. Et lorsqu’elle s’apprêtait à répondre, les gens autour d’elle se sont empressés d’abord. « Monsieur Dubois, Madem
Mais Anne ne se rendait pas compte de ce qui n’allait pas. Au moment où Monsieur Dubois avait choisi Léa, la relation qu’elle pensait avoir avec Monsieur Dubois avait changé. De ce fait, Anne faisait la tête et a dit sans se retenir : « Monsieur, c’est donc ce genre de personne que vous préférez, elle n’est pas si spéciale que ça. » Le visage de Monsieur Dubois s’est assombri. Léa, qui était sur le côté, avait également pris sa décision. « Mademoiselle Bouvier, je veux bien relever ce défi avec vous. » Anne a acquiescé d’un hochement de tête. « Très bien, vous avez du courage. J’aimerais juste vous alerter sur une chose, je ne vous ménagerai pas, vous feriez mieux de vous préparer à perdre. » Anne avait confiance en ses compétences. Léa a répondu calmement : « Nous verrons bien. C’est juste que… Mademoiselle Bouvier, il faut que vous ayez en tête le respect et la loyauté envers les maîtres, ne l’oubliez pas. » Le visage d’Anne s’est décomposé. « Depuis quand est-c
De retour à l’entreprise, Léa a délégué temporairement tous les projets pas importants à Alexandre. La nuit tombait. Les bureaux au sommet de l’entreprise du Groupe Emperor restaient illuminés. Enzo était arrivé avec une pile de documents dans le bureau, au sommet de l’entreprise. Il regardait Léa à travers la fenêtre, qui était plongée dans son monde. Le regard d’Enzo s’était adouci. Il a toqué à la porte, puis est entré. En entrant dans le bureau, il a tout de suite vu un tas de croquis par terre. Enzo s’est penché pour les ramasser. Léa, de son côté, mordait son stylo, elle était soucieuse. En voyant Enzo, elle s’était complètement relâchée. « Comment faire ! Enzo, je n’ai pas d’inspiration, je n’arrive pas à dessiner ! », lui a-t-elle dit. Enzo a ramassé tous les croquis, les a arrangés, puis s’est avancé vers elle et a dit : « Si tu n’arrives pas à dessiner, repose-toi un petit peu, ne te mets pas trop la pression. » Léa se mordait les lèvres. « Mais une jour
Enzo a souri et a dit : « Très bien, est-ce que tu veux continuer à regarder autre chose ? » Léa était confuse en disant : « Il y a plus intéressant que ça ? » Enzo laissait durer le suspense et a dit : « Tu le sauras bientôt. » Puis, il a emmené Léa dans une autre rue où il y a une représentation d’opéra. Léa a suivi Enzo, et a visité un atelier de broderie, a regardé de nombreuses œuvres de broderie classique, et a recueilli beaucoup de traditions culturelles. Enfin, ils sont passés devant une boutique de porcelaine, il y avait dedans beaucoup d’œuvres en porcelaines. Les yeux de Léa sont devenus brillants tout d’un coup, et elle a soudainement sorti : « Enzo, je viens de comprendre pourquoi tu m’as amené ici. » Léa a regardé ces objets en porcelaine, a repensé à tout ce qu’ils ont vu durant la soirée. En les rassemblant avec tout ce qu’elle savait concernant le défilé de mode, Les contours de son croquis se sont dessinés dans sa tête. « Un stylo, vite, donne-moi u
Cette nuit-là, Léa dormait profondément jusqu'à midi, moment où elle s'est réveillée de son sommeil.Des coups frappés à la porte se sont faits entendre !Léa, se retournant, a laissé glisser la couverture de son lit. Regardant autour d'elle, elle s'est alors rendue compte qu'elle avait, la veille au soir, dormi dans son bureau. « Entrez ! », a-t-elle dit, après s'être habillée, en direction de la porte.À peine ces mots prononcés, Alexandre, portant le petit déjeuner, est entré. Voyant Léa, il lui a respectueusement dit : « Bonjour, Léa ! »Léa a émis un léger grognement, le regardant d'un œil suspect, et Alexandre s'est empressé d'expliquer : « C'est Enzo qui m'a demandé de vous préparer cela. Je dois dire qu'Enzo est vraiment attentionné, surtout en ce qui vous concerne, il se soucie particulièrement des détails... »Le visage de Léa s'est empourpré.Elle a marché vers son bureau de travail, et un post-it a attiré son attention. « Bonjour, Léa ! J'ai demandé à Alexandre de t’appor
Il a admis qu'il était jaloux.Pierre, fixant intensément ses yeux, lui a posé la question qu'il voulait le plus poser : « L'aimes-tu ? » « C'est ma vie privée, cela ne te regarde pas. » « Vraiment ? » Pierre a saisi son poignet d'un geste brusque, la pressant contre la voiture, alors que Léa se débattait : « Pierre, lâche-moi ! » « Dis que tu n'aimes pas Enzo. »Léa, furieuse, a rétorqué : « C'est quoi ton problème ? Qui j'aime, c'est ma liberté ! » « Dis ! Léa, je veux juste t'entendre le dire. »Léa, luttant sans cesse, a finalement crié : « Je l'aime, je l'aime à la folie, ça te satisfait ? »Dans les yeux rougis de Pierre, une lueur de résolution a traversé, son cœur semblait transpercé d'un coup de couteau, ressentant une douleur sourde.Profitant de ce moment, Léa s'est dégagée et a reculé de deux pas, le regard plein de méfiance : « Pierre, qui j'aime ne te concerne pas, même s'il n'y avait pas Enzo aujourd'hui, il y aurait un autre homme à mes côtés. Mais ce ne sera jamais
« Aujourd'hui, chacune d'entre vous a le droit de vote, et si le nombre de vos votes est trop faible, vous serez directement éliminée. »Léa a esquissé un léger sourire, ayant choisi de se mesurer à Anne, elle acceptait naturellement cette règle sans en dire davantage.Le Professeur Dubois aimait cette sérénité avec laquelle elle gérait les situations, une admiration évidente dans son regard.Voyant Léa, Anne a levé fièrement le menton, puis a sorti ses propres plans de design. « Maintenant que Léa est là aujourd'hui, je vous invite tous à regarder nos créations. »À ces mots,Tous se sont rassemblés autour, Anne affichant une détermination à gagner, puis a déployé ses plans.Les dessins de design se dévoilaient ainsi devant tous les yeux.En voyant les plans, l'admiration était visible dans les yeux de tous.Il fallait admettre qu'Anne avait un talent certain pour le design.Sa technique était habile, que ce soit dans le tracé des lignes ou le traitement des détails de couleur, tout