« Et bien, mec, ne secoue pas ta tête, il y a des tireurs embusqués devant et derrière nous. S’ils ne peuvent pas te dissuader, ils te tireront dessus à tout moment. Il est préférable de te cacher », a lentement dit Jean.L’homme a été stupéfait pendant un moment, puis il a immédiatement mis sa tête derrière Jean, et a dit : « Comment le sais-tu ? »« J’ai été soldat, et j’ai traversé beaucoup de choses comme ça. Écoute-moi, tu ne perdras rien », a dit Jean.L’homme s’est pelotonné derrière Jean et est resté silencieux, mais il était toujours pris panique.À ce moment-là, la femme à la chemise blanche a dit à haute voix : « Monsieur, si vous avez des demandes, nous ferons de notre mieux pour y répondre. Ne faites pas de mal à l’otage. »L’homme était paniqué, et il ne savait pas quoi dire pendant un instant. Ensuite, il a demandé à Jean : « Que dois-je dire ? »Jean a dit en souriant : « Dis-lui la vérité, mais calme-toi tout d’abord, puis réfléchis à la façon avec laquelle tu vas pa
Voyant cela, Jean a immédiatement crié : « Ne bougez pas, il va se rendre, regardez bien. »Quand Jean parlait, Anton a jeté le couteau et a levé les mains.Jean a également levé les mains et s’est dirigé lentement vers la femme en chemise blanche.Celle-ci s’est avancée pour tirer Jean vers elle, puis elle a mis la main derrière sa taille.Mais dans la seconde suivante, Jean lui a attrapé la main.Une force puissante a empêché la femme en chemise blanche de se libérer, et elle a regardé Jean avec surprise.Jean a dit à voix basse : « Ne soyez pas si nerveuse, il n’est plus une menace. »À ce moment-là, Anton est tombé à genoux, puis il s’est allongé sur le sol.Jean a lâché sa main, et la femme en chemise blanche a regardé Jean en fronçant légèrement les sourcils, puis elle a agité la main.Quelques agents de police se sont précipités pour arrêter Anton, puis ils l’ont rapidement emmené dans une voiture de police.Voyant que la situation était sous contrôle, la femme en chemise blanch
Quelques années plus tôt, de nombreuses personnes avaient été forcées à se suicider en sautant d’un immeuble à cause des usuriers. De plus, beaucoup d’entre eux étaient des étudiants.Cependant, grâce à la répression du pays ces dernières années, ce genre de choses s’est progressivement atténué.Mais il y avait toujours des forces profondément enracinées qui étaient engagées dans ce type d’industrie, et qui ne s’arrêtaient pas.Peut-être qu’il n’était pas facile de se battre contre Marvis. La capacité de Céline était vraiment à tester.Au bout d’un long moment, Jean a secoué la tête.Il voulait attendre. Si Céline n’arrivait pas à le régler, il n’était pas trop tard pour qu’il fasse un geste.Il allait de soi qu’il ne voulait pas se soucier de ces choses, de plus, il n’arrivait pas faire ce dont il ne devrait pas être responsable.Mais tout à l’heure, il avait promis à Anton de lui rendre son entreprise, pour qu’Anton ne commette pas de crime. Si Céline ne pouvait pas le faire, il ne p
Jean a souri et a demandé avec impuissance : « Que pensez-vous ? »« Tant pis, si vous ne voulez pas me le dire. De toute façon, vous êtes mon patron, et je n’ai pas le droit de le savoir. »À ces mots, Luna a incliné la tête pour manger.À ce moment-là, Jean s’est senti un peu mal à l’aise. Il a secoué la tête et a dit : « C’est mon ancienne camarade de classe, elle a rencontré un menteur. J'avais peur qu’elle cause des problèmes à KP Finance, alors je vous ai demandé de suspendre son poste. »Luna a hoché la tête et a dit en souriant : « Ah, c’est ça. »Ensuite, elle a ajouté : « Mais dites donc, Juliette est très belle. Vous l’avez licenciée comme ça ? »« Pourquoi dois-je la garder ? »Jean a fait semblant d’avoir un visage sombre.Luna a gloussé et a commencé à manger à grandes gorgées.Quelques minutes plus tard, ils ont fini le repas. Jean a filé dans sa chambre, laissant les tasses et les bols en désordre.Luna a soupiré, elle a pris la vaisselle en silence et s’est dirigée ver
Il était question de regarder la qualité de la pierre, puis de parier sur le fait qu’elle puisse ouvrir un bon jade. Si c’était un bon jade, alors elle serait rentable, mais si elle ne l’était pas, alors ce serait une grande perte.Il y avait un dicton dans le jeu des pierres, la pauvreté et la richesse dépendait de la coupe des pierres.Jean a eu cette occasion et il en avait également besoin, alors il s’est approché de ce magasin.Le serveur s’est avancé pour l’accueillir chaleureusement, et a invité Jean à y entrer à la hâte, puis il l’a emmené à travers le couloir et le hall jusqu’à l’arrière-cour du Jade Céleste.Cet endroit était en plein air, une cour de trois ou quatre cents mètres carrés, où se trouvaient plein de grandes et petites pierres, de différentes formes.Sur ces pierres, chacune d’elles était marquée d’un prix, dont le plus bas était de plusieurs dizaines de milliers d’euros, et le plus élevé était de plus de cinq millions d’euros.À ce moment-là, il y avait déjà ple
En entendant ce nom, Jean a été stupéfait. Oh, quelle coïncidence !À ce moment-là, le patron du Jade Céleste, ainsi que plusieurs clients, étaient également stupéfaits. De toute évidence, Marvis était bien connu.Le patron s’est avancé pour saluer Marvis en disant : « Monsieur Robert, c’est rare que vous veniez dans mon magasin, c’est un grand honneur pour moi. »« Ah oui », a dit Marvis avec un visage arrogant.Le patron a ajouté : « Pourtant, c’est les règles du Palais d’Antique, dans ce cas-là, c’est vrai qu’il faut enchérir. »« Est-ce que je ne suis pas d’accord ? Respectons simplement vos règles », a dit froidement Marvis.Le patron a hoché la tête en souriant, puis il s’est approché de Jean et lui a dit : « Monsieur, êtes-vous d’accord ? »« Oui. »Puisqu’il s’agissait des règles, il respecterait les règles. Jean s’en fichait.Ensuite, le patron a dit : « D’accord, mes chers clients, soyez également témoin, s’il vous plaît, nous commençons l’enchère maintenant. »Les autres cli
Tout le monde s’est exclamé de surprise, mais Marvis était furieux. Il a frappé l’accoudoir du fauteuil et a dit avec colère : « Huit cent mille euros. »Ceci...Tout le monde savait que Marvis était en colère. Ce n’était plus un jeu des pierres, mais un jeu de colère.À ce moment-là, les yeux de tout le monde se sont tournés vers Jean, voulant savoir ce qu’il allait faire.Jean a réfléchi un moment, puis il a soudain dit en souriant : « Monsieur Robert, vous êtes vraiment courageux, cette pierre est à vous. »En entendant cela, tout le monde a immédiatement poussé un soupir de soulagement, mais faiblement, il semblait qu’ils ne voulaient pas que ce spectacle se termine.C’était comme un plat délicieux, mais c’était un petit plat, quand on venait de prendre deux bouchées, et on trouvait que c’était délicieux, mais il n’y en avait plus, et on éprouvait un peu de regret.Néanmoins, ceux qui connaissaient Marvis avaient déjà commencé à s’inquiéter pour Jean.Marvis allait certainement se
La pierre que Jean pointait du doigt était une pierre de cale. Ils ne savaient pas ce qu’il pensait en achetant une telle pierre. Celle-ci n’avait pas une belle forme d’origine, comment pouvait-il y avoir quelque chose dedans ?Même le patron s’est figé, et au bout d’un moment, il a dit : « Monsieur, ce n’est qu’une pierre de paysage, pas une pierre brute, ne vous trompez pas. »« Je sais. »Jean dit d’un ton léger : « Mais vous vendez des pierres, n’est-ce pas aussi une pierre ? Quel est le prix ? »« Ça... »Le patron ne savait pas quoi faire, parce qu’il n’avait jamais rencontré une telle situation depuis tant d’années où il travaillait dans ce métier. En un instant, il ne savait pas comment faire. Soudain, Marvis a éclaté de rire et a dit : « Monsieur, comment ? Pensez-vous que ce genre de pierre ramassée dans la rivière peut aussi contenir du jade ? »« Et s’il y en avait ? Qui peut en être sûr ? », a dit Jean avec un sourire.À ce moment-là, tout le monde a secoué la tête, croya
Voyant que Méline était si surprise, sa deuxième tante Adeline Honneur a tapoté son épaule et a dit d’un air mécontent : « Pourquoi tu cries ? Quel âge as-tu déjà ? Tu n’as même pas de petit ami jusqu’à maintenant ! Celui que je te présente aujourd’hui, est un jeune entrepreneur de notre bourg, il a une usine alimentaire, et il a des dizaines de millions d’euros. N’est-il pas digne d’être ton époux ? »« Oui, Méline. » La mère de Méline, Mélisa Honneur, a également dit : « Il a une famille riche, il est beau, nous l’avons déjà tous vu. »Le père de Méline, François Morrice, avait l’air plus humble, il n’a rien dit.Mais comment Méline pouvait-elle être d’accord avec eux ? Elle a dit précipitamment : « Je n’ai pas encore envie de chercher un petit ami, Jean, arrête, je n’y vais plus. »Méline ne savait pas que ce repas était en effet une rencontre matrimoniale pour elle. Elle n’avait pas eu cette idée du tout. D’ailleurs, Jean était à ses côtés à ce moment-là, elle avait hâte d’avoir un
Quant à Jean, il ne voulait plus continuer sur ce sujet.Après tout, ils avaient déjà divorcé. Elle avait le droit de faire ce qu’elle voulait.Il a réconforté Stéphanie avec quelques mots. Il est parti après avoir demandé l’état d’avancement de la fusion de la Société Legrand Flottant avec le KP Fiance.De retour sur l’île de Mer, Jean s’est enfermé dans sa chambre pour méditerr pendant un jour et une nuit, jusqu’au lendemain matin quand Méline l’a appelé.« Et bien, Jean, tu as dit de retourner dans notre ville natale, est-ce que tu y vas toujours ? »La voix faible de Méline a retenti au téléphone.Jean a immédiatement dit : « Oui, où es-tu ? Attends-moi, j’arrive tout de suite. »Ensuite, Méline lui donné une adresse, et Jean est immédiatement parti pour s’y rendre.Quand il est arrivé sur le lieu, Méline l’attendait déjà sur le bord de la route.Ce jour-là, Méline portait une chemise blanche et un jean skinny, ce qui lui donnait l’allure d’une élite sur le lieu de travail.Jean a
« Non, non », a dit Méline en agitant la main.Après avoir réfléchi, Jean a pensé que ce n’était pas possible, parce que Méline était la directrice générale de cet immeuble commercial à ce moment-là, et Stéphanie la protègeait, qui osait lui faire du mal ?« Alors, qu’est-ce qui se passe ? » a demandé Jean. Il ne savait pas ce qui lui était arrivé.Voyant cela, Méline a jeté un coup d’œil à Jean, et les deux se sont retirés dans un coin éloigné.Méline a dit avec embarras : « Depuis que je suis devenue la directrice générale, il y a eu beaucoup de rumeurs dans le centre commercial, ce qui n’est pas très gentil, donc je suis un peu gênée de te voir. »Après avoir réfléchi un moment, Jean a enfin compris ce que Méline voulait dire.Globalement, il avait aidé Méline à devenir la directrice générale, et les rumeurs entre eux deux s’étaient répandues dans le centre commercial. Il se racontait que Méline avait dragué un homme riche, ce qui était normal sur le lieu de travail.Après avoir
Hélène s’est assise dans le bureau de la directrice. Pendant un moment, elle n’arrivait pas à croire que c’était vrai.Elle a caressé le grand bureau, un sourire s’étalant lentement sur son visage.Tout ce qu’elle avait fait en valait la peine.Mais quelques instants plus tard, elle s’est calmée et a commencé à analyser le tout attentivement.En fin de compte, son attention était sur la vidéo envoyée par Suzanne. Qui était l’homme qui l’avait codée.L’identité de cette personne n’était certainement pas simple. Même dans le KP Fiannce, il devrait être un directeur de haut niveau, parce que cet incident était arrivé à Emmanuel. Il pouvait être lié à Emmanuel. Pouvait-il être un homme ordinaire ?Après y avoir réfléchi, elle a immédiatement commencé un plan pour organiser une interview pour le KP Finance, et dont l’animateur devrait être Jeanne.Après avoir fait le plan, Hélène était très fière.Jeanne et elle étaient toutes les deux bénéficiaires de cette affaire, alors elle devait profi
« Ah non. » Jean n’a pas pu s’empêcher de laisser échapper un soupir. Quelque chose est arrivé ?« Entrez. »Julien est entrée.Jean a froncé les sourcils et a regardé Julien. Au bout d’un moment, il a dit : « Dois-je faire quelque chose tout de suite ? »« Selon les règles, veuillez vous rendre au bureau maintenant et définir votre mot de passe ». a dit Julien.Jean a soudainement poussé un soupir de soulagement et a dit : « Je me suis demandé ce qui se passait, vous m’avez fait peur. »Ensuite, Jean a demandé à Luna et aux autres de l’attendre, et il est allé au bureau avec Julien.À ce moment-là, les collègues sont partis après l’installation et l’ajustement des équipements. Seuls les deux sont restés dans la pièce.Julien a d’abord appris à Jean comment utiliser ces équipements, puis lui a demandé de définir divers mots de passe.Il devait définir les mots de passe pour se connecter aux satellites, les mots de passe de démarrage d’ordinateur, les mots de passe de niveau deux d’opér
À ce moment-là, les quatre collègues avaient déjà commencé l’installation des équipements.Tout d’abord, ils ont installé un radar circulaire sur le toit, puis divers instruments ont été déployés dans la chambre.« Qu’est-ce que c’est ? » a demandé Jean.Julien a répondu : « C’est un récepteur de signal satellite, le système d’accès au réseau T, un superordinateur pour le bureau de la Défense. »« Ah ! » a dit Jean, en montrant que c’était clair.Le récepteur de signal satellite, bien sûr que c’était pour se connecter au signal satellite. Cela était plus stable que la ligne dédiée.Jean connaissait également le réseau T qui s’agissait d’un projet de sécurité nationale, qui pouvait être connecté à toutes les caméras publiques du pays et on pouvait y regarder des vidéos à tout moment.Quant à ce superordinateur, Jean n’en savait pas grand-chose, pourtant il savait bien que c’était certainement un ordinateurs doté d’une super puissance de calcul et d’un fonctionnement extrêmement rapide.
Avec une valise dans la main droite et un bandage sur le bras gauche, cet homme-là se tenait debout comme une lance.En le voyant, Jean a demandé avec surprise : « Julien Ferrand ? »Il a rapidement traversé le pont couvert, s’approchant de Julien. Après avoir regardé son bras, Jean a demandé : « Pourquoi êtes-vous venu si vite ? »« Julien Ferrand, combattant de première classe du bureau de la Défense, à vos ordres, Monsieur Claudel », a dit Julien avec un salut militaire standard.Jean a regardé le véhicule derrière lui et a demandé en fronçant les sourcils : « Qu’est-ce que ça veut dire ? »« C’est les équipements de notre poste, et plusieurs collègues », a dit Julien.« Comment savez-vous que j’habite ici ? » a demandé Jean.Julien a répondu : « Notre chef a déjà donné un ordre aux départements concernés dans la province Q, donc je l’ai appris. »En entendant ces mots, Jean était impuissant.Ce devrait être Frédéric. Mais en même temps, il craignait que le pouvoir du bureau de la D
S’il était un proche de la famille Véran, il était fini ! Sa carrière serait foutue !Il s’est relevé malgré la douleur qui se faisait sentir partout et s’est mis à genoux devant Emmanuel et les autres, il a dit d’un air pitoyable : « Mesdames, messieurs, j’ai tort, j’ai tort, je n’aurais pas dû être aussi grossier, je vous présente mes excuses, pouvez-vous m’épargner ? Je vous prie la grâce ! »« Dégage ! Ne dérange pas notre dîner ! », a froidement dit Emmanuel.À ce moment-là, Guillaume a compris qu’il ne servait plus à rien de crier grâce, s’il restait toujours devant eux, il risquait d’avoir plus de conséquences que de perdre son emploi. Malgré la douleur physique, il s’est respectueusement penché sur Emmanuel et a présenté ses excuses, puis, il est parti d’un air angoissé avec ses amis.Cette scène choqué tout le monde dans le restaurant.Cette femme était une excellente combattante, et par quelques mots, ce jeune homme a fait son adversaire crier grâce en s’agenouillant. Qui ét
Jean a secoué la tête, cet homme avait évidemment trop bu et était pris par son désir, c’était vraiment un type chiant.Emmanuel a froncé les sourcils, il était déjà très mécontent.Céline a grondé : « Si tu as trop bu, rentre et repose-toi, ne te cherche pas de problèmes. »Luna s’est penchée sur Jean et a affiché un rire en couvrant sa bouche.L’homme portant un costume se sentait humilié, il était donc un peu en colère. Pourtant, avant qu’il ne finisse ses mots, deux hommes derrière lui se sont avancés et ont dit à Céline : « Montre un peu de respect, sais-tu qui il est ? »« Je m’en moque complètement. Peu importe qui il est, dégage immédiatement ! », a froidement dit Céline.Un homme a furieusement dit : « Merde, Guillaume travaille dans le département des commerces, et nous, beaucoup de personnes dans le quartier ont entendu parler de notre nom, comment oses-tu parler avec Guillaume d’un tel ton ? »« Ah bon ? Alors ? »Céline semblait avoir du mal à réprimer sa colère.Ces homme