Juliette avait l’air arrogante, tenant le bras de Jules. Ils se sont assis. Jules avait également une expression hautaine, se faisant gloire de son identité.Les sourcils de Jean se sont légèrement froncés. Il ne les aimait pas dans son cœur.De toute évidence, ces deux étaient venus montrer leurs succès, mais c’était une fête des camarades de classe, ce n’était pas une occasion de se vanter.À ce moment-là, Juliette s’est couvert la bouche, puis elle a dit en souriant : « Ne nous regardez pas avec surprise. Même Jules a une certaine identité, mais il est mon petit ami. Vous n’avez pas besoin d’être surpris. »Ce qu’elle avait dit semblait être de bons mots, mais ce n’était vraiment pas poli de dire ça.La foule était impuissante, alors un certain camarade s’est levé et s'est versé du vin. Ceux qui ne voulaient pas boire se sont également versé du jus d’orange.Par la suite, Eric Offman, l’ancien chef de classe, a levé son verre et a dit : « Aujourd’hui, on se réunit ici, c’est une occ
Méline s’est précipitamment levée et a dit : « Ne vous fâchez pas, on fête la réunion de classe, c’est pour être heureux, ne soyez pas en colère. »Cependant, Jules a dit : « En colère ? Quelle blague ! C’est un ordre. Je suis venu ici grâce à Juliette, sinon, de quels droits pouvez-vous vous asseoir près de moi ? »Les mots de Jules ont énervé tous ceux qui étaient présents. Tous les anciens camarades de sa petite amie étaient mécontents, mais à cause de son identité, ils n’osaient vraiment rien dire, parce qu’ils travaillaient et vivaient tous à la ville J, alors ils ne pouvaient vraiment pas offenser le fils du chef d’un district.Néanmoins, un camarade de classe a pris son verre et a dit : « Monsieur Girard, ne vous fâchez pas, je vous porte un toast. »Jules a demandé avec arrogance : « Oh, qui es-tu ? »Le camarade de classe a dit à la hâte : « Je m’appelle Vincent Bernard, je viens d’être transféré pour travailler au poste de police du district Ouest. Monsieur Girard, veuillez m
En entendant les mots de Juliette, Jules a immédiatement arrêté cet homme-là et a dit froidement : « As-tu touché les fesses de ma petite amie ? »« Et alors ? », a dit cet homme d’un ton ferme.Jules a dit avec colère : « Putain, tu veux mourir. »Jules s’est avancé et a donné un coup de poing à cet homme-là.En voyant cela, Vincent s’est précipité vers cet homme-là, sans rien dire, il lui a donné des coups de poing et de pied.L’homme n’avait pas l’occasion de se battre parce qu’il était tout seul. Il avait deux adversaires en face de lui. Au bout d’un moment, il a été frappé au sol, et il a crié de douleur.À ce moment-là, Jules a froidement dit : « Merde, tu oses toucher ma femme ? Tu le mérites. »« N’oublie pas cette leçon, as-tu compris ? »Juliette l’a également grondé.Ensuite, ils sont partis d'un air triomphant.Il a fallu un long moment à l’homme pour se lever. En fixant leur salle privée, il a dit avec férocité : « Merde, on verra. »À ces mots, l’homme est retourné à sa
En entendant cela, Laurent a souri légèrement. Augustin a répondu : « Monsieur Royer, la famille Dublanc se développe à la ville J depuis des centaines d’années, le patriarche de la famille Dublanc est puissant dans cette ville. D’ailleurs, le jeune maître Marcel Dublanc est le secrétaire adjoint du premier secrétariat de la ville J, beaucoup de jeunes de la famille Dublanc travaillent dans des institutions gouvernementales. Non seulement ils sont puissants dans la politique, mais aussi forts dans la société. Même le Tigre de tonnerre doit nous respecter en nous rencontrant. Pensez-vous que nous avons peur d’un jeune gamin ? »Raymond s’était déjà renseigné sur la puissance de la famille Dublanc, sinon il ne serait pas venu en personne pour coopérer avec eux. Ils connaissaient tous très biens la raison pour laquelle il avait dit cela.Après avoir entendu les paroles d’Augustin, Raymond a dit en souriant : « La famille Dublanc est forte. Alors Monsieur Dublanc, comment devons-nous régle
Jules était tellement effrayé qu’il a beaucoup transpiré, mais Juliette a dit : « On y va, je n’ai pas peur de vous. Jules, appelle ton père si nécessaire. Ils se rebellent. »Jules avait du mal à parler, mais il devait régler ce problème. En regardant Augustin, Jules a dit : « Monsieur Dufour, j’y vais tout seul, d’accord ? »Jules voulait dire que s’il y allait seul, au plus, il perdrait de l’argent.De toute façon, la famille Dublanc le laisserait partir en faveur de son père, et il pourrait régler cette affaire. En tout cas, il ne pouvait pas se mettre dans l’embarras devant tant de gens.Cependant, à ce moment-là, Augustin ne voulait pas l’écouter, il a dit froidement : « N’avez-vous pas entendu ce que j’ai dit tout à l’heure ? »À ce moment-là, Vincent s’est levé et a dit avec colère : « Que voulez-vous faire ? Savez-vous quelle est l’identité de Monsieur Girard ? Comment pouvez-vous lui parler comment ça ? »De toute évidence, Vincent ne connaissait pas la puissance de la famil
Après avoir jeté un coup d’œil à Jules, Jean a dit d’un ton léger : « Tu ne peux pas te permettre de le provoquer, ça ne veut pas dire que moi non plus. Il n’ose pas me toucher même s’il est très audacieux. »En entendant cela, les anciens camarades étaient confus.À leur grande surprise, Jean qui était resté silencieux, était aussi audacieux.À ce moment-là, tout le monde pouvait voir que Jules ne pouvait pas offenser ce Monsieur Dublanc, pourquoi Jean avait le courage d’oser se débattre avec Augustin et son patron ?Méline a tiré à la hâte sur la manche de Jean et lui a fait signe de ne pas dire de bêtises.Jean a souri à Méline pour lui dire de se rassurer, et il a regardé Augustin avec indifférence.En un instant, Augustin a été choqué par l’élan de Jean.Au bout d’un moment, il a repris ses esprits et a dit avec colère : « Garçon, sais-tu que tu te causes des problèmes ? »Jean a dit d’un ton léger : « On verra qui se cause des problèmes. »« La famille Dublanc, il semble qu’elle
Laurent a regardé Augustin avec surprise. Augustin s’est incliné et a dit à Laurent : « Patron, au début, j’allais amener ces gamins, mais ce gars a osé dire du mal de la famille Dublanc, alors je l’ai fait venir en premier, en attendant que vous vous en occupiez. Bientôt, je vais donner une leçon à ces gamins. »En entendant cela, Laurent s’est soudainement mis en colère. En regardant Jean, il a froidement dit : « Garçon, comme tu es audacieux ! Tu oses provoquer la famille Dublanc ? »« Hum. »Jean a éclaté de rire et a dit d’un ton léger : « La famille Dublanc est-elle très forte ? Elle est seulement un valet qui suit les autres, agitant des drapeaux et criant. Tu as parlé comme si ta famille est vraiment très forte. »Jean avait déjà compris que la famille Dublanc dont Augustin avait parlé était la famille Dublanc des trois grandes familles de la ville J. Cependant, avant la la famille Dublanc ne pouvait pas du tout lever la tête devant la famille Salomon.Devant des gens ordinair
Voyant que c’était son père qui l’appelait, Laurent avait hâte de décrocher le téléphone.« Papa. »Kevin a dit d’une voix sérieuse au téléphone : « Laurent, rentre à la maison tout de suite, la famille se réunit pour une réunion importante. »« Eh bien, papa, j’ai encore quelque chose à faire maintenant, c’est très important », a dit Laurent.Pour être honnête, Laurent ne s’intéressait pas aux réunions de famille.En entendant cela, Kevin a immédiatement dit : « Cette réunion est très importante, les forces à la ville J doivent être redistribuées, tu dois y assister. »Laurent s’est figé. Pendant des centaines d’années, les trois grandes familles avvaient régné sur la ville J. Qu’est-ce qui s’était passé ?Laurent a demandé avec confusion : « Papa, qu’est-ce qui se passe ? »Kevin a soupiré et a dit : « Hier soir, quelqu’un a vaincu Arthur avec une force irrésistible. Nous nous sommes engagés avec la famille Salomon à être dévoués à cette personne. »« Quoi ? »Laurent était tellemen