« Monsieur Girard, pourquoi dites-vous ça ? », a demandé Luna avec confusion.Nicolas a reniflé froidement et a dit : « Vous avez invité David Girard à venir ici, comme KP Finance est forte ! »Luna a dit en souriant : « Mais non, nous nous sommes rencontrés par hasard. Ne reflechissez pas trop. »Nicolas s’est mis en colère, parce qu’il croyait qu’elle le prenait pour un idiot.Par hasard ?Juste au moment où David venait le voir, ils s’étaient rencontrés par hasard à l’entrée. D’ailleurs, David avait également pris l’initiative de lui serrer la main. S’ils ne faisaient pas cette pièce pour lui, ils le prenaient pour un con.Luna s’est avancée et a dit : « Monsieur Girard, je suis venue pour la libération sous caution de Jean, je vous en prie. »Nicolas a dit froidement : « Il ne peut pas encore partir. »Luna a froncé les sourcils et a dit : « Monsieur Girard, le service juridique de KP Finance a un surnom, est-ce que vous le connaissez ? »« Quel surnom ? », a demandé Nicolas.Lun
Jean a souri légèrement et a dit : « Nicolas est un policier juste, je suis sûr qu’il va certainement découvrir la vérité. »Luna était stupéfaite parce qu’elle était toujours en colère contre Nicolas. Cependant, pourquoi Jean avait-il dit qu’il était un policier juste ?Après réflexion, il lui a semblé que Nicolas n’ait pas tort. Il ne faisait que son travail. De plus, même après qu'elle ait demandé à David de le voir, il n'a pas changé d’avis. En termes d’éthique professionnelle, c’était vraiment un bon homme.Jean a dit à Luna : « Bon, au travail. J’ai déjà dit que Dieu rend la justice à l’innocent. Les mensonges se dévoilent un jour. »Luna a hoché la tête et est allée à KP Finance, où se trouvait un grand nombre de personnes, y compris elle-même, qui n’avait pas encore fermé les yeux depuis le nuit dernière. Elle devait s’occuper de ce qu’il fallait faire pour la suite. Ce n’était pas encore le moment de se détendre....Dans l’immeuble de la Société Legrand Flottant.Lina était a
Éléna avait l’air coupable, mais elle ne voulait pas l’avouer et a dit : « Comment ? Il a violé la loi et a été arrêté, n’est-ce pas de sa faute ? »En regardant sa mère, Lina a secoué lentement la tête et a dit : « Tu ne sais toujours pas combien il est puissant. Si tu l’as vraiment fait, va immédiatement auprès de lui presenter des excuses et clarifier les faits. Peut-être qu’ainsi, la famille Legrand aura un peu de chance de survivre. »« Je ne l’ai pas fait, ça ne me regarde pas. »À ces mots, Éléna s’est retournée et est partie en hâte.Cependant, à ce moment-là, Lina était déjà sûre que cela concernait sa mère.Néanmoins, elle connaissait très bien le caractère de sa mère. Si elle voulait que sa mère avoue ses erreurs, ce serait impossible.Lina a soupiré profondément. Elle s’est penchée faiblement sur la chaise. Elle avait peur que la famille Legrand fasse faillite....Après avoir mis tous ces ennuis derrière lui, Jean s’est rendu au marché du matin à quelques kilomètres de che
Jean a souri et est parti.En regardant les quatre plats et la soupe, Luna était anxieuse. Au début, elle avait envie de beaucoupbmanger, mais à ce moment-là, elle ne pouvait plus du tout manger. Jean n’a pas pris beaucoup de temps pour arriver à l’île de Mer qui se trouvait dans la banlieue du sud de la ville J.L’île de Mer était une île de loisirs et de vacances construite par la famille Salomon après avoir dépensé des centaines de millions d’euros.Sur la base du lac d’origine, ils avaient construit une petite île artificielle. Sur cette île, il y avait de végétations. Les paysages et l’hôtel de style original étaient très connus à la ville J.Jean a garé sa voiture à l’entrée, puis il s’est dirigé vers le pont couvert.À ce moment-là, sur la place au centre de l’île de Mer, il y avait déjà une douzaine de personnes assises.Sur une chaise au milieu, c’était un homme d’une soixantaine d’années. Avec de beaux yeux, il montrait sa bonne santé.C’était le patriarche contemporain de la
Après avoir regardé autour de lui, Jean a trouvé que tout le monde le regardait avec dédain, comme s’il était déjà mort.Immédiatement après, son regard s’est posé sur Martial. Il a lentement dit: « Tu as libéré un peu de pouvoir magique en pratiquant les arts martiaux, tu as un petit succès. »« Quelle audace ! »Kevin s’est soudainement levé, a pointé Jean et a dit : « On parle de la libération du pouvoir magique et tu dit que ce n’est qu'un petit succès. Quel est ton niveau ? »« Moi ? »Jean a secoué la tête et a dit : « Aucune idée. »À ce moment-là, Luc a pris la parole : « Il est vraiment éhonté. Martial, je vois que tu n’as pas besoin de lui parler. Donne-lui un coup de poing afin de l’envoyer aux enfers. »Martial a reniflé froidement, puis il s’est dirigé lentement vers Jean.Jean a froncé les sourcils et a dit : « Martial, écoute-moi, ne te fais pas tuer. »« Comme tu es arrogant ! »En entendant les mots de Jean, Martial était furieux et les autres personnes étaient égalem
Par rapport à son fils Martial, Arthur était beaucoup plus fort. Seulement avec ce pouvoir magique, il surpassait son fils En voyant l’aura puissante d’Arthur, tous les membres des trois grandes familles ne pouvaient pas s’empêcher d’applaudir.Jean restait toujours calme, regardant tranquillement Arthur.Les yeux d’Arthur étaient pleins de colère. Après avoir fait quelques grands pas, il s’est levé en l’air et s’est précipité vers Jean comme un gros aigle.Au moment où Arthur s’approchait de Jean, d’innombrables ombres de poing ont attaqué Jean depuis les airs.Tout d’un coup, le vent a soufflé fort et la poussière s’est envolé .Jean a attaché sa main gauche derrière lui, et a fait des gestes avec sa main droite, rendant instantanément l’attaque d’Arthur invisible.Arthur était tellement furieux qu’il a commencé une nouvelle attaque féroce après s’est tenue debout au sol. Avec ses poings et ses pieds portant le fantôme du vent, il n’a pas arrêté d’attaquer toutes les parties du cor
En entendant les mots d’Arthur, Jacques s’est immédiatement approché de lui avec une boîte en bois. Jacques s’est agenouillé et a mis la boîte en bois au-dessus de sa tête.Arthur a levé les mains pour ouvrir la boîte en bois. Il a sorti un rouleau de peinture et l’a déplié.Dans le tableau se trouvait un vieil homme vêtu d’une longue robe, debout au sommet de la montagne avec une longue épée sur le dos. Il avait l’air d’être un certain dieu flottant. C’était magnifique.Au même moment, une force puissante est sortie du rouleau de peinture, ce qui a surpris tous ceux qui étaient présents.À ce moment-là, Kevin s’est brutalement levé et a et dit avec étonnement : D’après la légende, on dit que la famille Salomon garde une image de leur ancêtre. Celui-ci avait le grand pouvoir d’un grand théatin et que c'est le trésor de la famille Salomon. Existe-t-il vraiment une telle chose ? »Évidemment, Kevin était vraiment choqué.Il n’était pas étonnant qu’il soit choqué, c’était un trésor légend
À ce moment-là, le visage d’Arthur était tout pâle. Le sang a jailli de sa bouche et son visage était plein d’horreur et d’incrédulité.Au bout d’un moment, Kevin et Luc ont enfin pu relever la tête.En voyant que Jean était sain et sauf, ils étaient encore plus choqués.Comment était-ce possible ?Cependant, Jean se tenait là et ils n’ont eu d'autres choix que de le croire.À ce moment-là, le rouleau qui se tenait dans la main d’Arthur s’est soudainement brisé morceau par morceau, puis il s’est transformé en cendres et s'est dissipé.En voyant cela, Arthur était d’abord stupéfait, puis il a perdu la tête et il a crié : « Ancêtre, mon vieux ! »« Arrête de crier. »Jean a froncé les sourcils et a dit : « L’ancêtre de ta famille, il voulait juste vous laisser ce tout petit pouvoir comme souvenir, mais tu l’as gaspillé. Il ne pouvait y avoir que cette fin. »Arthur a regardé Jean avec des yeux féroces et a dit avec haine : « Tu as détruit le trésor de ma famille. »Le visage de Jean e
Voyant que Méline était si surprise, sa deuxième tante Adeline Honneur a tapoté son épaule et a dit d’un air mécontent : « Pourquoi tu cries ? Quel âge as-tu déjà ? Tu n’as même pas de petit ami jusqu’à maintenant ! Celui que je te présente aujourd’hui, est un jeune entrepreneur de notre bourg, il a une usine alimentaire, et il a des dizaines de millions d’euros. N’est-il pas digne d’être ton époux ? »« Oui, Méline. » La mère de Méline, Mélisa Honneur, a également dit : « Il a une famille riche, il est beau, nous l’avons déjà tous vu. »Le père de Méline, François Morrice, avait l’air plus humble, il n’a rien dit.Mais comment Méline pouvait-elle être d’accord avec eux ? Elle a dit précipitamment : « Je n’ai pas encore envie de chercher un petit ami, Jean, arrête, je n’y vais plus. »Méline ne savait pas que ce repas était en effet une rencontre matrimoniale pour elle. Elle n’avait pas eu cette idée du tout. D’ailleurs, Jean était à ses côtés à ce moment-là, elle avait hâte d’avoir un
Quant à Jean, il ne voulait plus continuer sur ce sujet.Après tout, ils avaient déjà divorcé. Elle avait le droit de faire ce qu’elle voulait.Il a réconforté Stéphanie avec quelques mots. Il est parti après avoir demandé l’état d’avancement de la fusion de la Société Legrand Flottant avec le KP Fiance.De retour sur l’île de Mer, Jean s’est enfermé dans sa chambre pour méditerr pendant un jour et une nuit, jusqu’au lendemain matin quand Méline l’a appelé.« Et bien, Jean, tu as dit de retourner dans notre ville natale, est-ce que tu y vas toujours ? »La voix faible de Méline a retenti au téléphone.Jean a immédiatement dit : « Oui, où es-tu ? Attends-moi, j’arrive tout de suite. »Ensuite, Méline lui donné une adresse, et Jean est immédiatement parti pour s’y rendre.Quand il est arrivé sur le lieu, Méline l’attendait déjà sur le bord de la route.Ce jour-là, Méline portait une chemise blanche et un jean skinny, ce qui lui donnait l’allure d’une élite sur le lieu de travail.Jean a
« Non, non », a dit Méline en agitant la main.Après avoir réfléchi, Jean a pensé que ce n’était pas possible, parce que Méline était la directrice générale de cet immeuble commercial à ce moment-là, et Stéphanie la protègeait, qui osait lui faire du mal ?« Alors, qu’est-ce qui se passe ? » a demandé Jean. Il ne savait pas ce qui lui était arrivé.Voyant cela, Méline a jeté un coup d’œil à Jean, et les deux se sont retirés dans un coin éloigné.Méline a dit avec embarras : « Depuis que je suis devenue la directrice générale, il y a eu beaucoup de rumeurs dans le centre commercial, ce qui n’est pas très gentil, donc je suis un peu gênée de te voir. »Après avoir réfléchi un moment, Jean a enfin compris ce que Méline voulait dire.Globalement, il avait aidé Méline à devenir la directrice générale, et les rumeurs entre eux deux s’étaient répandues dans le centre commercial. Il se racontait que Méline avait dragué un homme riche, ce qui était normal sur le lieu de travail.Après avoir
Hélène s’est assise dans le bureau de la directrice. Pendant un moment, elle n’arrivait pas à croire que c’était vrai.Elle a caressé le grand bureau, un sourire s’étalant lentement sur son visage.Tout ce qu’elle avait fait en valait la peine.Mais quelques instants plus tard, elle s’est calmée et a commencé à analyser le tout attentivement.En fin de compte, son attention était sur la vidéo envoyée par Suzanne. Qui était l’homme qui l’avait codée.L’identité de cette personne n’était certainement pas simple. Même dans le KP Fiannce, il devrait être un directeur de haut niveau, parce que cet incident était arrivé à Emmanuel. Il pouvait être lié à Emmanuel. Pouvait-il être un homme ordinaire ?Après y avoir réfléchi, elle a immédiatement commencé un plan pour organiser une interview pour le KP Finance, et dont l’animateur devrait être Jeanne.Après avoir fait le plan, Hélène était très fière.Jeanne et elle étaient toutes les deux bénéficiaires de cette affaire, alors elle devait profi
« Ah non. » Jean n’a pas pu s’empêcher de laisser échapper un soupir. Quelque chose est arrivé ?« Entrez. »Julien est entrée.Jean a froncé les sourcils et a regardé Julien. Au bout d’un moment, il a dit : « Dois-je faire quelque chose tout de suite ? »« Selon les règles, veuillez vous rendre au bureau maintenant et définir votre mot de passe ». a dit Julien.Jean a soudainement poussé un soupir de soulagement et a dit : « Je me suis demandé ce qui se passait, vous m’avez fait peur. »Ensuite, Jean a demandé à Luna et aux autres de l’attendre, et il est allé au bureau avec Julien.À ce moment-là, les collègues sont partis après l’installation et l’ajustement des équipements. Seuls les deux sont restés dans la pièce.Julien a d’abord appris à Jean comment utiliser ces équipements, puis lui a demandé de définir divers mots de passe.Il devait définir les mots de passe pour se connecter aux satellites, les mots de passe de démarrage d’ordinateur, les mots de passe de niveau deux d’opér
À ce moment-là, les quatre collègues avaient déjà commencé l’installation des équipements.Tout d’abord, ils ont installé un radar circulaire sur le toit, puis divers instruments ont été déployés dans la chambre.« Qu’est-ce que c’est ? » a demandé Jean.Julien a répondu : « C’est un récepteur de signal satellite, le système d’accès au réseau T, un superordinateur pour le bureau de la Défense. »« Ah ! » a dit Jean, en montrant que c’était clair.Le récepteur de signal satellite, bien sûr que c’était pour se connecter au signal satellite. Cela était plus stable que la ligne dédiée.Jean connaissait également le réseau T qui s’agissait d’un projet de sécurité nationale, qui pouvait être connecté à toutes les caméras publiques du pays et on pouvait y regarder des vidéos à tout moment.Quant à ce superordinateur, Jean n’en savait pas grand-chose, pourtant il savait bien que c’était certainement un ordinateurs doté d’une super puissance de calcul et d’un fonctionnement extrêmement rapide.
Avec une valise dans la main droite et un bandage sur le bras gauche, cet homme-là se tenait debout comme une lance.En le voyant, Jean a demandé avec surprise : « Julien Ferrand ? »Il a rapidement traversé le pont couvert, s’approchant de Julien. Après avoir regardé son bras, Jean a demandé : « Pourquoi êtes-vous venu si vite ? »« Julien Ferrand, combattant de première classe du bureau de la Défense, à vos ordres, Monsieur Claudel », a dit Julien avec un salut militaire standard.Jean a regardé le véhicule derrière lui et a demandé en fronçant les sourcils : « Qu’est-ce que ça veut dire ? »« C’est les équipements de notre poste, et plusieurs collègues », a dit Julien.« Comment savez-vous que j’habite ici ? » a demandé Jean.Julien a répondu : « Notre chef a déjà donné un ordre aux départements concernés dans la province Q, donc je l’ai appris. »En entendant ces mots, Jean était impuissant.Ce devrait être Frédéric. Mais en même temps, il craignait que le pouvoir du bureau de la D
S’il était un proche de la famille Véran, il était fini ! Sa carrière serait foutue !Il s’est relevé malgré la douleur qui se faisait sentir partout et s’est mis à genoux devant Emmanuel et les autres, il a dit d’un air pitoyable : « Mesdames, messieurs, j’ai tort, j’ai tort, je n’aurais pas dû être aussi grossier, je vous présente mes excuses, pouvez-vous m’épargner ? Je vous prie la grâce ! »« Dégage ! Ne dérange pas notre dîner ! », a froidement dit Emmanuel.À ce moment-là, Guillaume a compris qu’il ne servait plus à rien de crier grâce, s’il restait toujours devant eux, il risquait d’avoir plus de conséquences que de perdre son emploi. Malgré la douleur physique, il s’est respectueusement penché sur Emmanuel et a présenté ses excuses, puis, il est parti d’un air angoissé avec ses amis.Cette scène choqué tout le monde dans le restaurant.Cette femme était une excellente combattante, et par quelques mots, ce jeune homme a fait son adversaire crier grâce en s’agenouillant. Qui ét
Jean a secoué la tête, cet homme avait évidemment trop bu et était pris par son désir, c’était vraiment un type chiant.Emmanuel a froncé les sourcils, il était déjà très mécontent.Céline a grondé : « Si tu as trop bu, rentre et repose-toi, ne te cherche pas de problèmes. »Luna s’est penchée sur Jean et a affiché un rire en couvrant sa bouche.L’homme portant un costume se sentait humilié, il était donc un peu en colère. Pourtant, avant qu’il ne finisse ses mots, deux hommes derrière lui se sont avancés et ont dit à Céline : « Montre un peu de respect, sais-tu qui il est ? »« Je m’en moque complètement. Peu importe qui il est, dégage immédiatement ! », a froidement dit Céline.Un homme a furieusement dit : « Merde, Guillaume travaille dans le département des commerces, et nous, beaucoup de personnes dans le quartier ont entendu parler de notre nom, comment oses-tu parler avec Guillaume d’un tel ton ? »« Ah bon ? Alors ? »Céline semblait avoir du mal à réprimer sa colère.Ces homme