« Jeanne, est-ce qu’elle va bien ? », a demandé Jean.Céline a répondu : « Jeanne va bien, mais Suzanne est gravement blessée. »Jean est allé auprès de Suzanne. Puisqu’il a protégé à temps ses organes de son pouvoir spirituel, bien qu’elle soit gravement blessée, ses blessures n’étaient plus fatales.En voyant Jean devant elle, Suzanne n’arrêtait pas de pleurer, elle n’arrivait plus à prononcer aucun mot.C’était à ce moment-là qu’elle s’est rendu compte qu’elle était piégée par un groupe de personnes extrêmement vicieux et terribles, elle a failli mourir à cause de ça.Il s’avérait qu’il existait des pouvoirs qu’elle n’avait jamais vus dans ce monde, et ces pouvoirs étaient si puissants et fatals.Ceux qui savaient utiliser ces pouvoirs étaient terrifiants.Jean a vu qu’elle avait peur, il a poussé un soupir et a dit : « Tu vois, le deal que tu as fait avec eux est très dangereux, ne fais plus ça à l’avenir. »Suzanne a hoché la tête. La prochaine dois, bien qu’on lui offre la double
À ce moment-là, Emmanuel a dit : « Bien qu’on n’ait pas les preuves contre le Groupe Jonathan, c’est déjà indéniable que Fernand a diffamé KP Finance et que Stéphane a essayé de tuer des témoins. Vu comme ça, le Groupe Jonathan sera obligé de céder un peu, sinon, KP Finance prendra certainement cette occasion pour le réprimer, pour lui chercher des troubles, et ça va causer des risques graves au sein du Groupe Jonathan, du coup, Jean a raison. »En l’entendant, Céline a compris, elle a doucement dit : « Il semble que KP Finance pourra tirer des avantages. »« C’est parce que Jean est assez compétent. Si Stéphane avait réussi à tuer tous les témoins et s’enfuir, les deux groupes auraient été quittes, le Groupe Jonathan n’aurait donc pas été obligé de céder », a dit Emmanuel.Céline a dit en haussant les épaules : « Bon, je ne pense pas à des sujets aussi complexes que ça. »Le visage d’Emmanuel s’est immédiatement rembruni, il a crié : « C’est la mode de penser dans le secteur politique
Jean a dit en hochant la tête : « Nous devons nous concentrer sur notre développement, les concurrences sont normales dans le secteur des affaires, et des tactiques méprisables ne sont toujours pas les meilleurs choix, tu as raison. »« Alors, nous allons les épargner cette fois. C’est une très bonne nouvelle, ne devons-nous pas la fêter ? », a dit Emmanuel.Luna a dit en riant : « Pas de problèmes, KP Finance payera les additions, on va faire la fête ! »« Oui ! », ont crié Emmanuel et Céline ensemble.Jean a affiché un sourire. Au quotidien, il était très difficile d’inviter ces deux personnes, mais vu qu’ils se souciaient autant pour ses affaires, il pouvait voir qu’ils se prenaient vraiment pour ses amis.À ce moment-là, Lucas était à la porte, il a demandé à voir Jean.« Monsieur Claudel, j’ai quelque chose à vous dire », a dit Lucas en regardant les gens dans la chambre, puis, il a avalé ses mots.Jean a dit : « Ne t’inquiète pas, ce sont mes amis très proches, vas-y. »« Oui »,
Jean a secoué la tête, cet homme avait évidemment trop bu et était pris par son désir, c’était vraiment un type chiant.Emmanuel a froncé les sourcils, il était déjà très mécontent.Céline a grondé : « Si tu as trop bu, rentre et repose-toi, ne te cherche pas de problèmes. »Luna s’est penchée sur Jean et a affiché un rire en couvrant sa bouche.L’homme portant un costume se sentait humilié, il était donc un peu en colère. Pourtant, avant qu’il ne finisse ses mots, deux hommes derrière lui se sont avancés et ont dit à Céline : « Montre un peu de respect, sais-tu qui il est ? »« Je m’en moque complètement. Peu importe qui il est, dégage immédiatement ! », a froidement dit Céline.Un homme a furieusement dit : « Merde, Guillaume travaille dans le département des commerces, et nous, beaucoup de personnes dans le quartier ont entendu parler de notre nom, comment oses-tu parler avec Guillaume d’un tel ton ? »« Ah bon ? Alors ? »Céline semblait avoir du mal à réprimer sa colère.Ces homme
S’il était un proche de la famille Véran, il était fini ! Sa carrière serait foutue !Il s’est relevé malgré la douleur qui se faisait sentir partout et s’est mis à genoux devant Emmanuel et les autres, il a dit d’un air pitoyable : « Mesdames, messieurs, j’ai tort, j’ai tort, je n’aurais pas dû être aussi grossier, je vous présente mes excuses, pouvez-vous m’épargner ? Je vous prie la grâce ! »« Dégage ! Ne dérange pas notre dîner ! », a froidement dit Emmanuel.À ce moment-là, Guillaume a compris qu’il ne servait plus à rien de crier grâce, s’il restait toujours devant eux, il risquait d’avoir plus de conséquences que de perdre son emploi. Malgré la douleur physique, il s’est respectueusement penché sur Emmanuel et a présenté ses excuses, puis, il est parti d’un air angoissé avec ses amis.Cette scène choqué tout le monde dans le restaurant.Cette femme était une excellente combattante, et par quelques mots, ce jeune homme a fait son adversaire crier grâce en s’agenouillant. Qui ét
Avec une valise dans la main droite et un bandage sur le bras gauche, cet homme-là se tenait debout comme une lance.En le voyant, Jean a demandé avec surprise : « Julien Ferrand ? »Il a rapidement traversé le pont couvert, s’approchant de Julien. Après avoir regardé son bras, Jean a demandé : « Pourquoi êtes-vous venu si vite ? »« Julien Ferrand, combattant de première classe du bureau de la Défense, à vos ordres, Monsieur Claudel », a dit Julien avec un salut militaire standard.Jean a regardé le véhicule derrière lui et a demandé en fronçant les sourcils : « Qu’est-ce que ça veut dire ? »« C’est les équipements de notre poste, et plusieurs collègues », a dit Julien.« Comment savez-vous que j’habite ici ? » a demandé Jean.Julien a répondu : « Notre chef a déjà donné un ordre aux départements concernés dans la province Q, donc je l’ai appris. »En entendant ces mots, Jean était impuissant.Ce devrait être Frédéric. Mais en même temps, il craignait que le pouvoir du bureau de la D
À ce moment-là, les quatre collègues avaient déjà commencé l’installation des équipements.Tout d’abord, ils ont installé un radar circulaire sur le toit, puis divers instruments ont été déployés dans la chambre.« Qu’est-ce que c’est ? » a demandé Jean.Julien a répondu : « C’est un récepteur de signal satellite, le système d’accès au réseau T, un superordinateur pour le bureau de la Défense. »« Ah ! » a dit Jean, en montrant que c’était clair.Le récepteur de signal satellite, bien sûr que c’était pour se connecter au signal satellite. Cela était plus stable que la ligne dédiée.Jean connaissait également le réseau T qui s’agissait d’un projet de sécurité nationale, qui pouvait être connecté à toutes les caméras publiques du pays et on pouvait y regarder des vidéos à tout moment.Quant à ce superordinateur, Jean n’en savait pas grand-chose, pourtant il savait bien que c’était certainement un ordinateurs doté d’une super puissance de calcul et d’un fonctionnement extrêmement rapide.
« Ah non. » Jean n’a pas pu s’empêcher de laisser échapper un soupir. Quelque chose est arrivé ?« Entrez. »Julien est entrée.Jean a froncé les sourcils et a regardé Julien. Au bout d’un moment, il a dit : « Dois-je faire quelque chose tout de suite ? »« Selon les règles, veuillez vous rendre au bureau maintenant et définir votre mot de passe ». a dit Julien.Jean a soudainement poussé un soupir de soulagement et a dit : « Je me suis demandé ce qui se passait, vous m’avez fait peur. »Ensuite, Jean a demandé à Luna et aux autres de l’attendre, et il est allé au bureau avec Julien.À ce moment-là, les collègues sont partis après l’installation et l’ajustement des équipements. Seuls les deux sont restés dans la pièce.Julien a d’abord appris à Jean comment utiliser ces équipements, puis lui a demandé de définir divers mots de passe.Il devait définir les mots de passe pour se connecter aux satellites, les mots de passe de démarrage d’ordinateur, les mots de passe de niveau deux d’opér
Voyant que Méline était si surprise, sa deuxième tante Adeline Honneur a tapoté son épaule et a dit d’un air mécontent : « Pourquoi tu cries ? Quel âge as-tu déjà ? Tu n’as même pas de petit ami jusqu’à maintenant ! Celui que je te présente aujourd’hui, est un jeune entrepreneur de notre bourg, il a une usine alimentaire, et il a des dizaines de millions d’euros. N’est-il pas digne d’être ton époux ? »« Oui, Méline. » La mère de Méline, Mélisa Honneur, a également dit : « Il a une famille riche, il est beau, nous l’avons déjà tous vu. »Le père de Méline, François Morrice, avait l’air plus humble, il n’a rien dit.Mais comment Méline pouvait-elle être d’accord avec eux ? Elle a dit précipitamment : « Je n’ai pas encore envie de chercher un petit ami, Jean, arrête, je n’y vais plus. »Méline ne savait pas que ce repas était en effet une rencontre matrimoniale pour elle. Elle n’avait pas eu cette idée du tout. D’ailleurs, Jean était à ses côtés à ce moment-là, elle avait hâte d’avoir un
Quant à Jean, il ne voulait plus continuer sur ce sujet.Après tout, ils avaient déjà divorcé. Elle avait le droit de faire ce qu’elle voulait.Il a réconforté Stéphanie avec quelques mots. Il est parti après avoir demandé l’état d’avancement de la fusion de la Société Legrand Flottant avec le KP Fiance.De retour sur l’île de Mer, Jean s’est enfermé dans sa chambre pour méditerr pendant un jour et une nuit, jusqu’au lendemain matin quand Méline l’a appelé.« Et bien, Jean, tu as dit de retourner dans notre ville natale, est-ce que tu y vas toujours ? »La voix faible de Méline a retenti au téléphone.Jean a immédiatement dit : « Oui, où es-tu ? Attends-moi, j’arrive tout de suite. »Ensuite, Méline lui donné une adresse, et Jean est immédiatement parti pour s’y rendre.Quand il est arrivé sur le lieu, Méline l’attendait déjà sur le bord de la route.Ce jour-là, Méline portait une chemise blanche et un jean skinny, ce qui lui donnait l’allure d’une élite sur le lieu de travail.Jean a
« Non, non », a dit Méline en agitant la main.Après avoir réfléchi, Jean a pensé que ce n’était pas possible, parce que Méline était la directrice générale de cet immeuble commercial à ce moment-là, et Stéphanie la protègeait, qui osait lui faire du mal ?« Alors, qu’est-ce qui se passe ? » a demandé Jean. Il ne savait pas ce qui lui était arrivé.Voyant cela, Méline a jeté un coup d’œil à Jean, et les deux se sont retirés dans un coin éloigné.Méline a dit avec embarras : « Depuis que je suis devenue la directrice générale, il y a eu beaucoup de rumeurs dans le centre commercial, ce qui n’est pas très gentil, donc je suis un peu gênée de te voir. »Après avoir réfléchi un moment, Jean a enfin compris ce que Méline voulait dire.Globalement, il avait aidé Méline à devenir la directrice générale, et les rumeurs entre eux deux s’étaient répandues dans le centre commercial. Il se racontait que Méline avait dragué un homme riche, ce qui était normal sur le lieu de travail.Après avoir
Hélène s’est assise dans le bureau de la directrice. Pendant un moment, elle n’arrivait pas à croire que c’était vrai.Elle a caressé le grand bureau, un sourire s’étalant lentement sur son visage.Tout ce qu’elle avait fait en valait la peine.Mais quelques instants plus tard, elle s’est calmée et a commencé à analyser le tout attentivement.En fin de compte, son attention était sur la vidéo envoyée par Suzanne. Qui était l’homme qui l’avait codée.L’identité de cette personne n’était certainement pas simple. Même dans le KP Fiannce, il devrait être un directeur de haut niveau, parce que cet incident était arrivé à Emmanuel. Il pouvait être lié à Emmanuel. Pouvait-il être un homme ordinaire ?Après y avoir réfléchi, elle a immédiatement commencé un plan pour organiser une interview pour le KP Finance, et dont l’animateur devrait être Jeanne.Après avoir fait le plan, Hélène était très fière.Jeanne et elle étaient toutes les deux bénéficiaires de cette affaire, alors elle devait profi
« Ah non. » Jean n’a pas pu s’empêcher de laisser échapper un soupir. Quelque chose est arrivé ?« Entrez. »Julien est entrée.Jean a froncé les sourcils et a regardé Julien. Au bout d’un moment, il a dit : « Dois-je faire quelque chose tout de suite ? »« Selon les règles, veuillez vous rendre au bureau maintenant et définir votre mot de passe ». a dit Julien.Jean a soudainement poussé un soupir de soulagement et a dit : « Je me suis demandé ce qui se passait, vous m’avez fait peur. »Ensuite, Jean a demandé à Luna et aux autres de l’attendre, et il est allé au bureau avec Julien.À ce moment-là, les collègues sont partis après l’installation et l’ajustement des équipements. Seuls les deux sont restés dans la pièce.Julien a d’abord appris à Jean comment utiliser ces équipements, puis lui a demandé de définir divers mots de passe.Il devait définir les mots de passe pour se connecter aux satellites, les mots de passe de démarrage d’ordinateur, les mots de passe de niveau deux d’opér
À ce moment-là, les quatre collègues avaient déjà commencé l’installation des équipements.Tout d’abord, ils ont installé un radar circulaire sur le toit, puis divers instruments ont été déployés dans la chambre.« Qu’est-ce que c’est ? » a demandé Jean.Julien a répondu : « C’est un récepteur de signal satellite, le système d’accès au réseau T, un superordinateur pour le bureau de la Défense. »« Ah ! » a dit Jean, en montrant que c’était clair.Le récepteur de signal satellite, bien sûr que c’était pour se connecter au signal satellite. Cela était plus stable que la ligne dédiée.Jean connaissait également le réseau T qui s’agissait d’un projet de sécurité nationale, qui pouvait être connecté à toutes les caméras publiques du pays et on pouvait y regarder des vidéos à tout moment.Quant à ce superordinateur, Jean n’en savait pas grand-chose, pourtant il savait bien que c’était certainement un ordinateurs doté d’une super puissance de calcul et d’un fonctionnement extrêmement rapide.
Avec une valise dans la main droite et un bandage sur le bras gauche, cet homme-là se tenait debout comme une lance.En le voyant, Jean a demandé avec surprise : « Julien Ferrand ? »Il a rapidement traversé le pont couvert, s’approchant de Julien. Après avoir regardé son bras, Jean a demandé : « Pourquoi êtes-vous venu si vite ? »« Julien Ferrand, combattant de première classe du bureau de la Défense, à vos ordres, Monsieur Claudel », a dit Julien avec un salut militaire standard.Jean a regardé le véhicule derrière lui et a demandé en fronçant les sourcils : « Qu’est-ce que ça veut dire ? »« C’est les équipements de notre poste, et plusieurs collègues », a dit Julien.« Comment savez-vous que j’habite ici ? » a demandé Jean.Julien a répondu : « Notre chef a déjà donné un ordre aux départements concernés dans la province Q, donc je l’ai appris. »En entendant ces mots, Jean était impuissant.Ce devrait être Frédéric. Mais en même temps, il craignait que le pouvoir du bureau de la D
S’il était un proche de la famille Véran, il était fini ! Sa carrière serait foutue !Il s’est relevé malgré la douleur qui se faisait sentir partout et s’est mis à genoux devant Emmanuel et les autres, il a dit d’un air pitoyable : « Mesdames, messieurs, j’ai tort, j’ai tort, je n’aurais pas dû être aussi grossier, je vous présente mes excuses, pouvez-vous m’épargner ? Je vous prie la grâce ! »« Dégage ! Ne dérange pas notre dîner ! », a froidement dit Emmanuel.À ce moment-là, Guillaume a compris qu’il ne servait plus à rien de crier grâce, s’il restait toujours devant eux, il risquait d’avoir plus de conséquences que de perdre son emploi. Malgré la douleur physique, il s’est respectueusement penché sur Emmanuel et a présenté ses excuses, puis, il est parti d’un air angoissé avec ses amis.Cette scène choqué tout le monde dans le restaurant.Cette femme était une excellente combattante, et par quelques mots, ce jeune homme a fait son adversaire crier grâce en s’agenouillant. Qui ét
Jean a secoué la tête, cet homme avait évidemment trop bu et était pris par son désir, c’était vraiment un type chiant.Emmanuel a froncé les sourcils, il était déjà très mécontent.Céline a grondé : « Si tu as trop bu, rentre et repose-toi, ne te cherche pas de problèmes. »Luna s’est penchée sur Jean et a affiché un rire en couvrant sa bouche.L’homme portant un costume se sentait humilié, il était donc un peu en colère. Pourtant, avant qu’il ne finisse ses mots, deux hommes derrière lui se sont avancés et ont dit à Céline : « Montre un peu de respect, sais-tu qui il est ? »« Je m’en moque complètement. Peu importe qui il est, dégage immédiatement ! », a froidement dit Céline.Un homme a furieusement dit : « Merde, Guillaume travaille dans le département des commerces, et nous, beaucoup de personnes dans le quartier ont entendu parler de notre nom, comment oses-tu parler avec Guillaume d’un tel ton ? »« Ah bon ? Alors ? »Céline semblait avoir du mal à réprimer sa colère.Ces homme